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    Drive
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    4 720 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2021
    Je n'ai jamais vu un film avec une aussi bonne mise en scène, les plans sont fabuleux, les acteurs tout autant et que dire des bandes sons qui sont tout simplement grandioses.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    Drive est le premier film américain de Nicolas Winding Refn. Auréolé du prix de la mise en scène au festival de Cannes 2011, il s’agit du film le plus populaire du réalisateur de Bronson. Un comble pour un artiste qui s’échine pourtant à diviser son monde à chacune de ses œuvres. La suivante, Only god forgive en sera d’ailleurs une réponse plus que jamais clivante. Pourtant, Drive est de la trempe des films cultes instantanés. Pourtant le pari de réaliser un film de voiture esthétique et contemplatif avec une économie de scènes musclées n’était pas gagné d’avance. Drive a su toucher car il parle d’amour à contre sens, et il ne le fait pas n’importe comment.

    Au premier plan, la maîtrise de l’espace et du temps sont les maîtres mots. Le protagoniste surplombe la ville. Par un travelling, nous voyageons d’une carte de la ville à la ville réelle surplombée en passant par des informations sportives mises en image via un écran téléviseur. Cette compilation de données aura une importance par la suite. Harmonie de l’image et du son, la préparation et la réalisation du premier casse est accompagnée par le thème musical du groupe électronique Chromatics « Tick of the clock ». Sur le tableau de bord du véhicule, les jauges sont omniprésentes. Le conducteur, notre protagoniste, est impassible, il installe une montre sur le volant. Ainsi, il devient maître des domaines visuels et auditifs. Au cours de la fuite en guise de braquage introductif, il se faufile partout. Son calme à toute épreuve tranche avec la désorganisation apparente de ses complices. C’est un homme de l’ombre qui utilise sa voiture de la même manière, comme un prolongement du corps. La poursuite se termine au stade, un écho à la minutie du premier plan.

    En dehors de son travail légal et de ses extras illégaux, le conducteur écume les routes. Dans son appartement, il n’est jamais à sa place. L’intérieur est toujours vide. De plus, il peine à communiquer avec les autres habitants de son immeuble. Lors de ses activités de doublure au cinéma, il porte un masque sans expressivité, et cela semble le caractériser au quotidien. Souhaitant engager la conversation avec sa voisine, il n’y parvient pas, malgré la lenteur de l’ascenseur et le long couloir à remonter pour gagner les appartements respectifs. Seul le hasard d’une panne de véhicule va l’amener à porter assistance à sa voisine, Irène. Cependant, la conversation reste inexpressive. Hors du véhicule, le conducteur n’est jamais dans son élément. La présence d’Irène est le seul élément qui rend distrait le conducteur. Par exemple, il oublie de mettre les roues de son propre véhicule lors de l’arrivée inattendue d’Irène au garage. Dans l’appartement, il fait souvent preuve de maladresse verbale. C’est seulement à bord du véhicule que l’on peut remarquer un sourire éclairant son visage. Symbole de leur relation nouvelle, leur première sortie commune les mènent vers une oasis au bout de l’asphalte. Lors de leur seconde sortie nocturne, les mains sont jointes. La voiture semble être l’unique mode d’expression de notre conducteur.

    La narration de Drive met notre protagoniste aux prises avec la grande criminalité de la ville de Los Angeles. Dans le monde des gangsters, on se plaint facilement qu’il n’y a plus de cendrier dans la ville. Malgré les bonnes manières apparentes, un juron amène vite à un coup de poignard planté. Depuis le film noir, la ville américaine s’est modernisée, mais les loups sanguinaires ne résistent pas à l’appel de la nuit (le titre de la chanson phare du générique). Le bassin cassé du garagiste employeur de notre protagoniste témoigne de la manifestation de la violence au moindre écart de conduite. De la même manière, le mari d’Irène, après avoir passé un séjour en prison, rêve de se racheter, de disposer d’une seconde chance. Il n’en sera rien. Les dettes sont fréquentes dans le grand banditisme, le mari doit replonger pour les solder. Il provoquera par ricochet l’entrainement du conducteur dans une spirale infernale. Car, dans le monde criminel, il faut savoir rester à sa place, mais surtout disposer d’une bonne étoile. En quelques scènes avisées, Refn lève le voile sur une Amérique régie par la violence à tous les étages. Le respect gagné par une poignée de main tendue et quelques bons coups réussis ne vaut pas grand-chose face à la compromission d’une respectabilité issue des castes de la mafia.

    Notre conducteur devient vite l’homme de trop. Dans l’appartement de la fille, le conducteur voit son reflet dans le miroir, mais il n’est que le troisième homme derrière une photo dévoilant la présence du fils et du mari. Derrière Irène, le mur est systématiquement tapissé d’une couleur chaude, le rouge. En revanche, c’est une tapisserie froide, c’est-à-dire, un bleu pâle qui est toujours à l’arrière du conducteur. La rencontre entre ces deux couleurs, ses variations alimentent l’essentiel du langage cinématographique proposé par le film. La menace semble venir de la course fomentée par le garagiste et ses farouches liaisons, mais cela concerne le domaine de prédilection de notre conducteur, et ce, malgré les menaces explicites des mafieux. Non, c’est le domaine privé et le retour du mari après un séjour en prison qui amènent les complications.

    Malheureusement pour la nouvelle relation émergeante entre le conducteur et Irène, c’est par le sang que ce dernier accèdera à la couleur rouge, donc à Irène selon le rapport décrit précédemment. C’est d’abord le sang qui éclabousse son visage dans le motel, puis la forte lueur rougeoyante dans l’ascenseur. Il est notable de relever que le baiser longtemps attendu n’a pas lieu lors d’une ascension, mais lors d’une descente vers le parking sous-terrain. Leur amour ne pourra jamais décoller, même après la mort du mari. L’irradiation provoquée par la violence des coups portés à l’assaillant de l’ascenseur est trop forte pour Irène. Elle dévoile le véritable visage de son ange gardien. Irène reste plantée au milieu du parking tinté d’un gris froid. Par opposition, le conducteur reste quant à lui dans l’ascenseur irradié de lumière. Nous assistons à une inversion du spectre des couleurs, mais pas à un mélange qui serait synonyme d’union pour nos deux protagonistes.

    Comme dans l’histoire du scorpion et de la grenouille, peu importe la volonté, il est dans la nature de celui qui porte le blouson au scorpion de piquer. La relation entre ces deux espèces représentées par le conducteur et par Irène n’est pas viable. Au final, le conducteur redevient anonyme en reprenant le masque de cascadeur pour faire le ménage au volant, ce qu’il sait faire le mieux. Après les confrontations, il ne sera plus qu’une ombre comme le suggère le plan où les deux derniers adversaires s’affrontent à l’arme blanche. Cette ombre renvoi déjà notre héros à une présence spectrale. Nous ne saurons jamais l’identité de notre protagoniste. Il ne s’agira que d’une présence arpentant l’asphalte de la cité des anges et ancrée dans le cœur d’une Irène délaissée et définitivement peu chanceuse avec les hommes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 janvier 2021
    magnifique. tout est si bien pensé. le jeu d'acteur est simplement époustouflant. les dialogues et les dimanches sont à tomber. a voir, revoir et rerevoir.
    Thierry Mompelat
    Thierry Mompelat

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    DRIVE... Un petit monument... Un film singulier... Un subtil mélange de niaises tendresses et de violences extrêmes mené par un Ryan Gosling muet et aux expressions du visage cantonnées aux mimic du gars qui fait la gueule ou du gars super vénèrrr... Certaines scènes sont et resteront cultes comme la scène où le héros enfile son masque et reste planté de longues et interminables secondes devant l’entrée du restaurant pour contempler les mafieuxxx avant leur mise à mort, le tout sublimé par une fantastique musique qui tient un rôle plus qu’important dans ce film aux faibles, rugueux et limités dialogues... Une belle photographie, une somptueuse mise en scène, très tendue et encore une fois, je me répète, une bande son aussi importante et emblématique que celle de SCARFACE ou des western spaghettis mis en musique par Ennio Morricone... J’aime voir et revoir ce film
    Denedrae
    Denedrae

    3 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2021
    Un film unique en tout point, dérangeant, haletant, violent. Ryan Gosling y est incroyable (il faut aimer Ryan Gosling sinon vous allez détester ce film). La BO vaut le détour.
    Thefilmhater
    Thefilmhater

    3 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    J'ai vu ce film il y a longtemps, mais je me souviens tout de même de son audace ainsi que de son originalité. En effet, j'avais d'abord été surpris, si ce n'est déçu de sa lenteur, mais cela n'était dû qu'aux bande-annonces mensongères qui vendent le film comme un simili fast and furious. Or il n'en est rien. Nous avons affaire à un film contemplatif et noir, chose qui manque de nos jours.
    Gosling est très bon, et campe à vrai dire très bien son personnage, mono-expressif, taiseux. Il semble presque ne pas jouer tant c'est ce que dégage l'acteur en temps normal. Il tient le film, et le sublime plus que l'inverse. Car oui, l'ambiance du film l'emporte sur l'histoire et permet de nous accrocher malgré une intrigue un peu cliché des années 70. A la fois noir et beau, le film tire parti de cette dualité pour nous offrir quelques séquences assez marquantes (les scènes avec Irene, les scènes gores très graphiques et crues). D'ailleurs, on se souvient vraiment de l'aspect thriller du film, alors qu'il en représente à peine la moitié, c'est dire l'intensité du film. La bande-son aide beaucoup, car elle apporte une touche de mélancolie très pertinente. Le reste des personnages fonctionne, et chacun apporte sa touche au film, comme Irene, qui représente le côté dramatique de l'œuvre. Rien n'est superflu, tout a un sens.
    Un bon film donc, marquant et trop rare dans le cinéma moderne. Peut-être est-ce en cela qu'il se démarque. A voir.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 décembre 2020
    J’ai trouvé que c’était un très bon film d’action. Au risque de m’attirer les foudres du public, je dois vous dire que je n’aime pas du tout Ryan Gosling. Sa façon de jouer m’insupporte un peu. Pourtant, je ne peux que reconnaitre que sa prestation est réussite ici. Sa manière d’être collé plutôt bien à la psychologie du personnage. Sa nonchalance naturelle va se mettre au service de la personnalité mystérieuse de ce chauffeur. Finalement, on ne connaît pas grand-chose sur lui. Dans plusieurs films ce genre de paramètre est un défaut, mais là c’est plutôt une qualité. Au lieu de le voir par son histoire personnelle, notre regard est formé uniquement par son présent et son art du pilotage. On ne le sens vivant que lorsqu’il est derrière son volant. Les scènes de voiture sont d’ailleurs extrêmement bien faites et prenantes. Il n’y a que là qu’il est lui-même. Un paramètre déstabilisé lorsque débarque Carey Mulligan. Cette jeune femme vient ajouter de l’humanité à un contenu qui est volontairement froid. J’ai aimé l’ambiance qui s’instaure avec notamment une bande originale assez étonnante. Dès la première scène, elle construit une bulle autour de ce récit intéressant. Il y a certes des passages un peu mous, mais ils ne sont pas nombreux. J’ai apprécié les pics de violence venant remettre un côté dur et réaliste. Les seconds rôles apportent aussi une vraie force avec notamment l’incontournable Bryan Cranston, un Oscar Isaac méconnaissable et le charismatique Ron Perlman.
    Bibine
    Bibine

    18 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 décembre 2020
    Scénario incohérent, violence gratuite, musique omniprésente et énervante au point que j'ai failli balancer ma TV par la fenêtre. Un vrai navet.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 décembre 2020
    Magnifique ! Ryan Gosling très juste... ambiance urbaine très réussie, bande son de qualité, haletant jusqu'à la dernière minute. Top !
    Ben romdhane Kamel
    Ben romdhane Kamel

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 décembre 2020
    Franchement je m'attendais pas du tout à cela a la fin du film jme suis dit ouai c un film banal mais en même temps un chef d'œuvre se qui rend ce film exceptionnel c'est le travail qui est fait sur l'ambiance les lumières et la musique ont est littéralement plongé dans le film ce film est une expérience.
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    16 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    Lorsque l’on cite un réalisateur au style visuel marqué, plusieurs noms peuvent venir en tête mais j’en retiens surtout un : Nicolas Winding Refn. J’ai découvert son travail il y a quelques années sur Drive qui a été un véritable coup de cœur, aussi bien contemplatif que pour son histoire. C’est l’histoire de « The Driver », un homme solitaire qui conduit le jour pour des cascades de films et la nuit pour des bandits. Professionnel et silencieux, sa vie bascule lorsqu’il rencontre Irène, dont le mari qui vient de sortir de prison va lui attirer des ennuis… C’est le film qui lance Nicolas Winding Refn (NWR) auprès du grand public, mais très vite le réalisateur sera relégué au second plan avec ses échecs critiques suivants : Only God Forgives en 2013 et The Neon Demon en 2016. Pourtant, Drive truste régulièrement les tops des meilleurs films récents. Que dire, c’est excellent et ça se comprend. Rien que cette scène d’introduction d’une dizaine de minutes est d’une maitrise absolue. Montre attachée au volant et cure dent dans la bouche, Ryan Gosling pilote hors pair est attentif. Sa mission consiste à escorter deux voleurs hors de portée de la police juste après un casse. Grâce à une photographie aboutie, un sens aigu du montage et une interprétation tout en charisme de l’acteur principal, le réalisateur parvient littéralement à créer un mythe dès le début de son film. De plus, comment parler de cette première séquence sans mentionner la bande originale de Kavinsky, sur des plans aériens de nuit de Los Angeles. Il inscrit dès le départ son récit dans un genre proche du film noir (qui s’inclue plus précisément dans le « néo noir »), un style généralement tragique et violent, se déroulant dans un environnement ténébreux. La nuit est une période privilégiée du réalisateur pour mettre en scène son histoire, particulièrement bien écrite. En effet, il n’y a aucun temps mort durant 90 minutes, qui se laissent visionner avec grand plaisir. Pourtant le rythme général est assez lent et NWR en profite pour laisser exprimer sa créativité visuelle. Une histoire ultra-stylisée, un esthétisme à tomber par terre, et ce sens du détail se ressent aussi dans la manière dont les plans sont ordonnés. Son style d’une noirceur grandiose sonde les différentes facettes de l’être humain. D’une violence parfois destructrice, le métrage prouve qu’il ne veut pas rentrer dans la zone de confort habituelle. C’est très graphique et incisif quand il le faut, le personnage principal est toujours rattrapé par ses démons. En effet, si « The Driver » est un homme simple en apparence, il se dégage en lui un être profond, terré derrière ce sourire charmeur. Il change drastiquement lorsqu’il rencontre Irène. Il tombe amoureux, et c’est réciproque, d’une femme douce, mère de famille qui attend avec appréhension le retour de son mari de prison. C’est Carrey Mulligan qui donne la réplique (ou pas vu le peu de dialogues !) à Ryan Gosling pour un couple à l’écran qui fonctionne très bien. On peut aisément dire que l’histoire ne serait pas la même sans eux, tant ils sont investis. Le très bon Oscar Isaac officie en tant que second rôle aux côtes de Ron Perlman et Bryan Cranston qui ne sont en revanche pas forcément marquants. Néanmoins, grâce à l’habileté des situations présentés, le film ne perd jamais en souffle. Un thriller poétique profond, réaliste, posé, et c’est tout ce qui fait son charme. NWR ne cesse d’expérimenter, de tester des effets, des ralentis, et autres surprises qui rendent le tout ingénieux. Si j’encense beaucoup ce film, c’est aussi parce qu’il fait du bien. Il apporte une fraicheur dans le cinéma, il y a un avant et un après Drive, et cela se remarque encore aujourd’hui. Le long métrage se laisse regarder de nombreuses fois, et les musiques de Cliff Martinez nous transportent dans ce Los Angeles sombre et surréaliste. Une proposition d’auteur, on filme le sale et la violence avec style, avec un propos, une idée conductrice, celle d’un homme dépassé par les évènements et surtout par ses propres actes. Ryan Gosling, personnage unique parvient à retranscrire cette idée avec force dans le récit et excelle dans cet exercice, avec un jeu minimaliste et empreint de réalisme, non sans un charisme ravageur. Ce pilote saura marquer son temps, Nicolas Winding Refn réussi son pari. C’est une histoire qui tient la route avec une atmosphère particulière, les silences remplacent les mots et NWR prouve que le cinéma est avant tout un art de l’image. C’est à mon sens une aussi bonne conclusion que celle du film. La nuit noire envahit l’écran, le long-métrage se termine comme il a commencé. Les lettres roses néons indiquent le générique, et on se dit qu’on vient de voir un sacré morceau de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 décembre 2020
    Difficile de comprendre ce que ce film peut avoir à dire. Le fait que beaucoup mettent 5 étoiles pour ajouter que '' kavinsky, il est trop génial '' me guide un tout petit peu vers le genre de cerveaux post-lycéens qui trouvent un intérêt à ce flot de vide (je ne peux pas dire Flow pour faire jeune, les dialogues sont moitié ridicules, moitié inexistants) . Un imitateur de Michael Mann raté, un polar prévisible, une histoire cousue de plastique, celle du beau gosse qui ne connaît que deux expressions de visage, la '' j'ai plus de jus d'orange pour ma vodka'' et la "j'ai bu de la vodka sans jus d' orange c'est pas pour les mauviettes ". C'est long, ça ne bouge pas, c'est sanglant pour rien genre '' il n'y a que la vérité qui doit sortir de ta bouche, sinon je te cogne '' et la tête autour de la bouche qui se fait éplucher au fusil à pompe une minute plus tard. Mais à quoi ça sert, franchement ?
    Et cet espèce de bébé charmeur qui tenterait de faire croire à un psychopathe .. Rah la la, n'est pas Dexter qui veut hein. Ça sonne faux, ça sonne même pas d'ailleurs, il n'y a rien à tirer de ce truc. Kavinsky ne pouvait pas trouver film plus pourri pour y associer sa musique, elle a vraiment été faite pour lui.
    Zeplin
    Zeplin

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 décembre 2020
    De la pure daube. Comment les producteurs ont pu dépenser le moindre cent là-dedans sérieux ? De plus le perso principal a des réactions de gros c*nnard en plus d'être muet (je crois qu'il dit peut-être 2-3 phrases entières dans tout le film). Si vous voulez exploser votre TV aidez-vous en regardant ça.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 décembre 2020
    Contrairement à beaucoup de gens si j'en crois les avis, je n'ai pas vraiment apprécié ce film. Ryan Gosling est peu expressif et peu charismatique. Il n'a au fond que deux modes d'expression : le quasi-mutisme et l'ultra-violence. Les gerbes de sang parcourent le film plus encore que les poursuites en voiture. Certes la musique est plutôt bonne, le réalisateur sait tenir une caméra, certains acteurs s'en sortent bien (Albert Brooks par exemple). Mais je n'ai pas été emballé par ce scénario simpliste qui n'a rien à dire, dont les déchaînements de violence sont filmés complaisamment, et dont la romance entre Gosling et Mulligan se traînait de demi-sourires en regards vaguement enamourés...
    Max Du22
    Max Du22

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2020
    Il film très bien réalisé et très beau a voir l'histoire est sympa les scènes de course-poursuite, a coupé le souffle..
    En revanche la violence est étonnamment exagéré a mon sens et est donc destiné à public adulte
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