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Yannickcinéphile
Wes Craven est en total roue libre dans ce métrage d’une bizarrerie complète ! Il est difficile de dire si le film est réellement nullissime parce qu’on sent que le réalisateur a fait quelque chose d’unique. Une expérience. Ca se révèle lorsqu’il y a plus de morts que de minutes de films dans les dix premières minutes ! Le film est un enchainement de plans très courts, sans respiration, d’actions et de rebondissements jusqu’à l’incompréhensible, la réalisation déjà est très étrange. Wes Craven a indubitablement voulu faire quelque chose, mais quoi ? C’est vite saoulant à suivre, d’autant que ça sent vraiment l’effet de style gratuit.
On pourrait à la limite passer dessus, si le film était enthousiasmant côté intrigue, mais là aussi, c’est quoi cette histoire ? Emberlificotée, mélange de légende urbaine, de slasher, de film parapsychologique… ce métrage est un gros fourre-tout qui n’a pas su choisir et le résultat est indigeste. Tantôt doté d’un rythme survolté qui donne l’impression d’assister au résumer d’un film de 2 heures, le film s’avère pourtant d’une étonnante lenteur dans le déroulé de son histoire. La raison en est simple : c’est du vide en réalité ! Si l’on enlève les intrigues secondaires totalement inutiles et grotesques (les conflits lycéens), on se retrouve avec juste des ados qui meurent, et le pire, c’est qu’ils meurent si vite qu’on les voit surtout bavarder, se disputer, faire leur petite vie (et ils sont 7 !) plutôt que mourir, ce qui est souvent une satisfaction ! My Soul to Take n’a rien à raconter, et sa conclusion, qui s’étire, qui s’étire, est d’une bouffonnerie incroyable.
Le casting ne rattrape rien. Déjà le film a le tueur le plus anti-charismatique que j’ai jamais vu. Il n’apparaît quasiment pas, et heureusement. La bande de jeunes est très clichée et fait hyper datée ! On dirait que Craven n’a pas quitté les années 80. Sincèrement, la seule bonne surprise pour moi c’est l’actrice qui joue Pénélope. Personnage touchant, assez attachant, joué par une actrice moyenne mais qui a une chevelure rousse magnifique, et oui, j’assume mon fétichisme ! Sans plaisanter, c’est la seule qui a un personnage un peu excentrique et qui suscite un peu de compassion ! Tous les interprètes sont approximatifs, les personnages sans relief.
Là-dessus faut ajouter que le film est très pauvre en effets horrifiques, alors même que le début pouvait laisser espérer un peu plus de violence, et que la bande son est inexistante.
Craven se plante avec ce film. Foutraque au possible, dilué en multiples sous intrigues sans intérêt pour cacher le minimalisme de l’idée principale par ailleurs très commune, doté d’un casting quasiment transparent, porté par une réalisation des plus bizarres qui dès le début donne la mauvaise impression d’un film où il manque des plans, My Soul to Take est probablement le pire métrage du réalisateur. Rien à sauver. 0.5
On pourrait à la limite passer dessus, si le film était enthousiasmant côté intrigue, mais là aussi, c’est quoi cette histoire ? Emberlificotée, mélange de légende urbaine, de slasher, de film parapsychologique… ce métrage est un gros fourre-tout qui n’a pas su choisir et le résultat est indigeste. Tantôt doté d’un rythme survolté qui donne l’impression d’assister au résumer d’un film de 2 heures, le film s’avère pourtant d’une étonnante lenteur dans le déroulé de son histoire. La raison en est simple : c’est du vide en réalité ! Si l’on enlève les intrigues secondaires totalement inutiles et grotesques (les conflits lycéens), on se retrouve avec juste des ados qui meurent, et le pire, c’est qu’ils meurent si vite qu’on les voit surtout bavarder, se disputer, faire leur petite vie (et ils sont 7 !) plutôt que mourir, ce qui est souvent une satisfaction ! My Soul to Take n’a rien à raconter, et sa conclusion, qui s’étire, qui s’étire, est d’une bouffonnerie incroyable.
Le casting ne rattrape rien. Déjà le film a le tueur le plus anti-charismatique que j’ai jamais vu. Il n’apparaît quasiment pas, et heureusement. La bande de jeunes est très clichée et fait hyper datée ! On dirait que Craven n’a pas quitté les années 80. Sincèrement, la seule bonne surprise pour moi c’est l’actrice qui joue Pénélope. Personnage touchant, assez attachant, joué par une actrice moyenne mais qui a une chevelure rousse magnifique, et oui, j’assume mon fétichisme ! Sans plaisanter, c’est la seule qui a un personnage un peu excentrique et qui suscite un peu de compassion ! Tous les interprètes sont approximatifs, les personnages sans relief.
Là-dessus faut ajouter que le film est très pauvre en effets horrifiques, alors même que le début pouvait laisser espérer un peu plus de violence, et que la bande son est inexistante.
Craven se plante avec ce film. Foutraque au possible, dilué en multiples sous intrigues sans intérêt pour cacher le minimalisme de l’idée principale par ailleurs très commune, doté d’un casting quasiment transparent, porté par une réalisation des plus bizarres qui dès le début donne la mauvaise impression d’un film où il manque des plans, My Soul to Take est probablement le pire métrage du réalisateur. Rien à sauver. 0.5
Wes Craven déçoit avec ce slasher movie qui nous rappelle que les scream, souviens toi l'été dernier et autres nous manquent terriblement, mais peut être que le genre s'est essoufflé tout simplement...
un wes craven du pauvre , il a veritablement rate son film , scenario , direction artistique reste quelque
s passage sanglant qui releve un peux le niveaux
s passage sanglant qui releve un peux le niveaux
Côté scénario (signé Craven lui-même !), c’est carrément la catastrophe ...et pour être tout à fait honnête, on s’en fiche un peu, tant le scénario déroule péniblement tous les artifices les plus attendus du cinéma d’horreur. Coincé par son studio qui a visiblement choisi de vendre son film aux moins de seize ans, Craven ne peut même pas se laisser aller aux délires les plus gore : à l’heure où même des séries télévisées visibles par tous s’autorisent des décapitions en tout genre, on se demande bien qui pourrait frémir devant un film aussi benêt, quand n’importe quel ado américain connaît l’intégrale des Destination finale sur le bout des doigts. My Soul To Take ne peut pas vraiment revendiquer un quelconque signe distinctif. Pire, non seulement il n’invente strictement rien et se contente de suivre une trame de slasher déjà vu un million de fois, mais en plus, il se paye le luxe d’être d’une rare lenteur et donc d’un ennui catastrophique. Avec son casting de teens inconnus, sa mise en scène plate et son histoire vraiment old school, prévisible et jamais effrayante, ce faux dernier Wes Craven n’est ni plus ni moins qu’un nanar de seconde zone qui n’aurait pas dû dépasser le stade du direct-to-dvd, et devient au passage le plus mauvais film du réalisateur…
il n est pas beau de vieillir de nos jours ...mmddrrr
il n est pas beau de vieillir de nos jours ...mmddrrr
Après cinq ans d'absence (sept pour la France et sans compter son joli segment dans Paris, je t'aime), l'ex-maître de l'horreur Wes Craven revient avec le joliment nommé My Soul to Take, un nouveau slasher pour ados écrit par ses soins pour l'occasion, chose rare puisqu'il n'avait pas scénarisé de films depuis Freddy sort de la nuit. Revenant donc sur ce qui l'avait ressuscité en 1997, le metteur en scène américain filme une bande de jeunes adolescents affrontant inévitablement leurs problèmes existentiels, leurs amours compliqués et leurs amitiés à deux sous. Paumé martyrisé, bimbo blonde de seize ans, manipulatrice gothique, religieuse fanatique, black aveugle et tortionnaire sportif : rien ne manque pour savourer ces stéréotypes éculés depuis des lustres déblatérant des dialogues niais dans des scènes peu reluisantes. Hélas, le long-métrage est très mal interprété, mal fichu et surtout mal écrit. En effet, on s'ennuie vite dans ce slasher périmé aux meurtres ridiculement mis en scène (Wes Craven, ou l'homme qui ne vivait pas avec son temps), à l'interprétation douteuse et au scénario vu et revu. Revenant sur ses fameux thèmes de possession, le metteur en scène réitère ce qu'il faisait de mieux autrefois à travers un twist-ending prévisible malgré quelques fausses-routes qui peuvent enduire en erreur. Quoiqu'il en soit, le mal est fait : My Soul to Take est un film raté, annonçant par conséquent un énième retour cette fois-ci sacrément manqué pour le réalisateur des Griffes de la nuit et plus récemment du quatrième opus de la saga Scream qui réussit, lui, à tout de même rester un agréable spectacle... Arrête les frais Wes, tu te fais du mal !
darkvash
Pas le meilleur Wes Craven, mais se laisse regarder, même si l'histoire est bancale.
Il faut toujours se méfier des titres de film contenant le mot "âme" dans le titre, mais enfin c'est du Craven et on regarde. La première demi-heure n'est pas si mal avec quelques épisodes sanglants assez absurdes mais bien dans le ton de ce genre de film, après ça se met à blablater grave et on se fiche un peu des états d'âmes et des rapports compliquées de cette bande de pitres d'autant que côté casting, ça craint un maximum. On attend une surprise qui ne vient jamais… Ah si, le méchant se déguise avec une panoplie hirsute qui fait 40 centimètres de plus que lui. En voilà un mystère que le film n'explique point !
Je n'ai pas très bien compris ce qui s'est passé dans la tête de Wes Craven, réalisateur de la colline a des yeux, scream et la dernière maison sur la gauche lorsqu'i a réalisé "my soul to take". En effet le film cumule les erreurs, ce qui est surprenant de la part d'un vieux briscard comme lui:
-scénario inutilement compliqué,
-galerie de personnages inintéressants et sans relief,
-absence de vraisemblance dans de nombreux domaines (SPOILER taille du tueur par rapport à celle de celui qui est derrière le masque).
L'ensemble de ces défauts nuisent à la qualité du film et à la lisibilité du peu de choses qui s'y passent notamment dans la première partie.
C'est en revanche l'occasion de découvrir Max Thieriot que l'on retrouvera par la suite dans l'excellente série "Bates motel".
-scénario inutilement compliqué,
-galerie de personnages inintéressants et sans relief,
-absence de vraisemblance dans de nombreux domaines (SPOILER taille du tueur par rapport à celle de celui qui est derrière le masque).
L'ensemble de ces défauts nuisent à la qualité du film et à la lisibilité du peu de choses qui s'y passent notamment dans la première partie.
C'est en revanche l'occasion de découvrir Max Thieriot que l'on retrouvera par la suite dans l'excellente série "Bates motel".
Aïe, aïe, aïe, aïe…je pense que notre ami Wes Craven est à bout de souffle. Après le succès phénoménal des deux premiers "Scream", il a commencé à sombrer avec l’affligeant troisième volet de sa saga, cherchant à sortir de l’ombre de "Scream" en explorant d’autres rivages que ceux du slasher mais pour un résultat plus que médiocre ("Cursed", "Red Eye"). Alors, à l’annonce du tournage de "Scream 4", on pouvait commencer à flipper…et ce n’est pas ce "My Soul to Take" qui pourra nous rassurer : un nouveau slasher mais cette fois teinté de fantastique (comme ça, on évite que tout le monde dise que Mr Craven ne s’est faire que du "Scream" !!)…au final on a juste un film certes bien réalisé (Craven n’est pas non plus un jeunot qui débute), mais totalement sans intérêt : le fait de mélanger les genres (teenagers movie, slasher, possession, fantastique) est assez indigeste et rend le récit parfois dur à comprendre (surtout pour des non mordu de ce type de genres !), le meurtrier est totalement dépourvu de charisme (on aurait utilisé une peluche flashy à la place ça aurait eu plus de gueule !), les meurtres sont plutôt cools (dans le sens où ils manquent de sauvagerie) et quasiment tous subjectifs ou hors champs (le pire c’est que le film est classé R alors qu’on a vraiment l’impression d’être devant un vulgaire PG-13 !), et le twist final est tellement prévisible qu’on est à peine étonné de savoir qui fait tout ça (sans déconner : jouer la carte des fausses pistes c’est bien, mais dans ce cas, on en crée pour TOUS les protagonistes…comme dans "Scream"…si on fait des fausses pistes pour tout le monde sauf UNE personne, même si cela apparaît comme totalement incohérent, il est évident que c’est la réponse au whodunit du film !! Merde Craven : tu le sais ça depuis le temps !!!) On aurait pu s’attendre à mieux tout de même avec un budget de près de 25 millions de dollars : il est passé dans quoi le fric ??!! Bon tout n’est pas non plus à jeter, il y a de bonnes idées comme l’utilisation originale des miroirs pour le côté fantastique (pour une fois que des miroirs ne servent pas à des jump scare à la con avec quelqu’un derrière le héros !!) mais surtout un casting de jeunes plus que convaincants. Toujours paumé, Wes Craven rate une nouvelle fois le coche avec ce pseudo slasher bancal...cela faisait même peur pour "Scream 4", heureusement, celui-ci, il ne l’a pas loupé.
FaRem
Ça démarre fort puis on assiste malheureusement à un genre de slasher classique sans rebondissement et avec un scénario au final peu intéressant.
Clémentine K.
Très décevant après une telle attente. Ca ne tourne parfois pas rond et le film manque de réalité. Les effets spéciaux ne sont pas terribles.
Un petit petit Wes Craven, une bonne idée d'âme ect.. mais pas assez développé, au final un film un peu trop long et pas assez horrifique. Mention au générique de fin qui est beau.
Que Dieu me pardonne, je cède mes critères de qualité à mon plaisir cinéphilique. Si My soul to take a tout du thriller lambda entre étudiants (vraiment tout), il conserve aussi tout l’enthousiasme que ce type de projet peut susciter auprès du public. Et autant vous le dire, on redevient volontiers un lycéen pendant une heure trente. Si la psychologie est parfois assénée avec un burin, les caractères sont carrément jubilatoires (on veut immédiatement trucider les trois quarts du casting et sympathiser avec le reste), et Wes reste dans la continuité de ce qui a fait le succès de Scream : un tueur accros au téléphone et potentiellement partout, des meurtres sanglants et une certaine virtuosité : l’intro du film est l’une des meilleures qu’il m’ait été donné de voir dans un slasher. Si il semble hélas condamné à une sortie à la sauvette (comme le mésestimé Sonority row), My soul to take mériterait, si ses clichés n’étaient pas aussi connus, d’être un des slashers les plus enthousiasmants en milieu étudiant. Carrément inespéré.
il faut au moins 50 caractères pour un film qui n'en a pas! la bonne blague
Un espèce de scream hallowen pour pré-ado loin d'être exécrable mais qui ne vaut pas le détour, c'est du réchauffé surtout pour Wes Craven qui parodie son propre film.
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