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    La Fille du RER
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    229 critiques spectateurs

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    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 106 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2024
    Cette histoire sous forme de drame social a bien du mal à se distinguer malgré la présence de Catherine Deneuve et Michel Blanc. Certes les quatre acteurs principaux (une romance avec la fille du RER et un jeune garçon) s'en sortent bien mais le film est aussi léger qu'un téléfilm. La réalisation n'est pas folichonne, à coup de scenes fusionnées avec la prochaine tel un film amateur, drôle de choix. Pourquoi la fille du RER? Parce qu'elle prend le RER pour aller quotidiennement de son pavillon de banlieue à Paris, c'est tout. L'histoire est plate et retombe comme un soufflet une fois mise en place.Vraiment moyen tout ça...un film qui a mal vieilli.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 350 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juin 2024
    Inspiré d'un fait divers récent qui connut un retentissemnt médiatique et politique, le film d'André Téchiné évoque le cas d'une jeune femme inventant son agression dans le RER par des voyous antisémites.
    A l'évidence, ce n'est pas le fait divers qui intéresse Téchiné: la dimension policière et le scandale médiatico-politique sont quasiment occultés. Le réalisateur -on n'en est pas surpris- ne cherche qu'à comprendre, dans ce cas précis, le mécanisme psychologique qui conduit Jeanne, jolie banlieusarde de bonne famille, à imaginer son mensonge. On ne sait pas si Téchiné absout Jeanne de sa faute mais sa démarche est très certainement bienveillante, ni stigmatisante ni moralisatrice.
    En deux parties distinctes nommées Circonstances et Conséquences, Téchiné reproduit un contexte humain et social anecdotique -qui semble même digressif par moments- et dont on voit qu'il ne prédispose pas forcémént l'héroine à l'imposture ou à la mythomanie en général. Sa mère (C.Deneuve), un avocat juif (M.Blanc) et le nouveau petit ami de Jeanne, élément déclencheur peut-être, sont trois personnages déterminants.
    Le réalisateur reussit ses portraits et la qualité des protagonistes, aussi ordinaires soient-ils, consolide l'argument initial, réduit, dans sa forme, à sa plus simple expression. On comprend moins en revanche l'importance et l'intérêt que le cinéaste portent à certains seconds rôles appartenant notamment à la communauté juive.
    Anonyme M
    Anonyme M

    60 abonnés 1 655 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 décembre 2021
    AFFREUSEMENT BANAL bon....de la part d'un film français ont s'y attendait: des longues scènes de discutions TOTALEMENT inutiles, d'autres scènes de bureau longues et pas intéressantes, le scénario et d'une banalité sans non et je parle même pas de l'actrice a chaque plan qui sert de figuration tellement ont la voit piqué au pied de grue a chaque plan, a tel point qu'ont fini par ce demander ce qu'elle fou là.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 avril 2021
    Jeanne (Emilie Duquenne) est orpheline de père. Elle vit avec sa mère Louise (Catherine Deneuve) dans un modeste pavillon de la banlieue parisienne. Sans emploi, elle rencontre Franck (Nicolas Duvauchelle), un sportif séduisant hélas mêlé à de louches combines qui sera bientôt victime d'une agression.
    Plus jeune, Louise avait été courtisée par Samuel Bleistein (Michel Blanc) devenu depuis un avocat célèbre. Samuel a un fils Alex (Mathieu Demy), sur le point de divorcer de son épouse (Ronit Elkabetz), et un petit-fils Nathan.
    Le jour où Jeanne simule une agression antisémite dans le RER, vite montée en épingle dans les médias, c'est vers Samuel que Louise se tourne pour la conseiller et la défendre.

    Un fait divers avait fait sensation en juillet 2004. Une jeune femme, lacérée de coups de couteaux, le ventre tagué de trois croix gammées, avait porté plainte au commissariat d'Aubervilliers. Elle affirmait avoir été attaquée dans le RER D par une bande de six jeunes de banlieue sans susciter de réactions des autres voyageurs. L'information, relayée par l'Agence France presse, enflamma l'opinion publique et la classe politique. "Le Monde", "Le Figaro", "Libération" firent leur une sur la résurgence de l'antisémitisme, la violence des "nazis de banlieue" maghrébins et africains et "l'odieuse passivité" des autres voyageurs. Mais deux jours plus tard, la jeune femme avoua à la police avoir tout inventé pour attirer l'attention de son compagnon. Elle fut condamnée à quatre mois de prison avec sursis et à une obligation de soins pour "dénonciation de crime imaginaire".

    André Téchiné adapte la pièce de théâtre, "RER", que Jean-Marie Besset avait tiré des faits. Deux options s'offraient à lui. Il écarte la première : il ne dira quasiment rien de l'emballement médiatique suscité par le faux témoignage de la jeune femme - ni du mea culpa piteux auquel la révélation de la vérité a obligé les rédactions quelques jours plus tard. Il se concentrera sur la pseudo-victime et sur son entourage proche.

    Ce parti pris n'est en rien critiquable. La question que soulève cette affaire est en effet fascinante : comment une jeune femme de vingt-trois ans peut-elle en arriver à simuler une telle agression ? Hélas, l'option retenue par André Téchiné pour y répondre déconcerte. Au lieu de se focaliser sur son héroïne, au lieu de traquer dans son histoire, dans son comportement, les motifs de son geste, le réalisateur - qui comme dans chacun de ses films cosigne le scénario - noie son héroïne dans une foule de caractères parasitaires et d'intrigues secondaires. Particulièrement inutile apparaît l'histoire de Samuel Bleistein, de son fils, de sa belle-fille et de son petit-fils, qui occupe pourtant un bon tiers du film.

    Il aurait fallu ne pas lâcher d'une semelle Jeanne, interroger chacun des petits mensonges avec lesquels elle se plaisait à enjoliver sa vie, scruter le point de bascule où ces petits mensonges vont se muer en un plus gros, comprendre pourquoi elle utilise le ressort, diablement explosif, de l'antisémitisme (on la voit seulement verser une larme devant un documentaire sur la Shoah). Faute de n'en rien faire, "La Fille du RER", malgré la qualité de sa distribution plaqué or, se condamne à rester à la surface des choses et des êtres.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 521 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    La Fille du RER d'André Téchiné se concentre sur une fille naïve Jeanne (Émilie Dequenne) qui fabrique une histoire sur l'attaque d'un train de banlieue parisienne par des jeunes noirs et arabes qui l'ont supposément prise pour une juive. L'histoire est basée sur un événement réel qui a eu lieu en France en 2004. Téchiné affirme que l'histoire est devenue le miroir de toutes les peurs françaises et une révélation de ce que nous appelons l'inconscient collectif. Comment le mensonge d'un individu se transforme en vérité à l'égard de la communauté dans son ensemble et de ses peurs. Le film dissèque les circonstances psychologiques et les conséquences entourant un mensonge audacieux dans un drame riche. Jeanne vit avec sa mère célibataire Louise (Catherine Deneuve) qui gère les finances de la famille en tant que gardienne. Jeanne passe la plus grande partie de son temps à faire du roller et c'est lors d'une de ses excursions qu'elle rencontre le plutôt mystérieux Franck (Nicolas Duvauchelle). Un jeune lutteur qui tente aussitôt d'attirer l'attention et l'affection de Jeanne malgré les insécurités de Jeanne. Téchiné sait prendre des personnes et des circonstances apparemment ordinaires et montrer l'effet profond du mal partout. Le film est rehaussé par la photographie de Julien Hirsch et la partition musicale de Philippe Sarde...
    mx13
    mx13

    241 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2020
    Fait divers bien représenté avec ce récit fictif mené au Michel Blanc et Catherine Deneuve. Malgré de mauvaises critiques, je pense qu il y a des séquences attirantes à conserver. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2017
    Avec La Fille du RER, André Téchiné renoue avec une certaine simplicité, et c'est tant mieux. Sans prétention, son film aime à donner de l'épaisseur à une floppée de personnages empli d'humanité et d'amour pour son prochain. Bon certes, l'histoire est cousue de fil blanc mais on aime à regarder la belle Emilie Dequenne évoluer dans la peau d'une femme nommé désir. Un joli film.
    Anna_
    Anna_

    23 abonnés 743 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 novembre 2016
    Le film aurait pu être bien mais il est très plat. L'histoire principale passe presque au second plan et c'est dommage. spoiler: J'ai bien aimé la scène avec la valise au départ, elle m'a bien fait rire.
    gandalf001
    gandalf001

    17 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2015
    Le cadrage et la prise de vue sont très désagréables car trop rapides à la manière d'une caméra portée. La réalisation est bonne : le contexte est bien amené, le rythme est bon, le film ne s'attarde pas sur la partie médiatique de l'affaire, elle est à peine relatée.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 janvier 2015
    J'ai toujours adoré le jeu d'Emilie Dequenne, un actrice qui selon moi choisit toujours bien ses films, et là : quelle déception...
    Au delà d'une histoire relativement décousue (scènes qui manquent cruellement de profondeur), et de dialogues que j'attendais plus riches que ça, le jeu est mauvais...
    On n'arrive pas à entrer dans cette histoire, même les acteurs semblent distants. Tous les dialogues nous laissent sur notre faim, et, que ce soit Deneuve, Blanc, Dequenne ou Duvauchelle, c'est mal joué... Dommage .
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 novembre 2014
    Vraiment trés ennuyeux, mis a part E Dequenne aucun acteur n'est à sa place. Aucune crédibilité, que fait C Deneuve l'éternelle bourgeoise dans ce rôle improbable de mère banlieusarde qui gagne sa vie en élevant des enfants? que vient faire M Blanc dans ce rôle bancale d'avocat friqué récitant ça leçon? Ce casting est foireux, les acteurs n'ont aucune crédibilité, aucune conviction, une multitude de sujets et de scènes qui vont qui viennent et qui disparaissent. On a du mal a suivre l'idée maîtresse malgré le sujet connu. Pour moi, et c'est surprenant, Téchiné fait dans la facilité, la comodité, en baclant son film sur un fait divers hyper médiatisé et en utilisant un casting racoleur. Même E Dequenne ne mérite pas ses biscuits: combien de mots a- t-elle prononcé dans ce film?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 13 novembre 2014
    Un film ennuyeux, où rien ne dépasse. Les acteurs ne montrent rien, sont en roue libre, pour ne pas dire "jouent mal", et déroulent leur texte. Je suis sorti perplexe de ce film, qui n'apporte strictement rien pour moi à ce fait divers. Faut-il faire un film de tout?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2014
    Peu soucieux du volet médiatico-politique lamentable de ce fait divers Téchiné mène sa propre réflexion. Cependant si l'on comprend son travail et que l' on suit avec plaisir le film grâce à son talent et la présence de bons acteurs il semble manquer quelques passerelles dans le scénario pour en faire une oeuvre aboutie .
    Jonathan M
    Jonathan M

    130 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Téchiné et son verbe, c’est quand même quelque chose. Un film d’une durée d‘1h30 en paraît ici une de plus. Il n’y pas, ou très peu, de plans morts, que j’ai l’habitude de nommer fioritures indigestes. On va à l’essentiel, on se consacre au récit. Dans son précédent opus, «Les témoins», André, pour les intimes, avait établit un rapport de force en faisant passé un sujet tabou tel que l’homophobie et le VIH, qui étaient des sujets centrales, passé au second plan derrière, avant tout, une histoire de coeur. Sauf que dans «La fille du RER», l’idée de base est certes bonne, mais trop friable.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2013
    Comme presque toujours chez Téchiné, il y a quelques moments intéressants en matière de cinéma, mais surtout, par ailleurs, beaucoup de déchet et de moments creux. Téchiné n'est vraiment pas un grand cinéaste !
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