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    Un homme et une femme
    Note moyenne
    3,9
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    106 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2023
    Palme d'or à Cannes, Oscars à Hollywood, et un air de « chabadabada » pour l'èternitè. "Un homme et une femme" (1966) est l'oeuvre la plus cèlèbre de Claude Lelouch! Mais si vous savez...le coureur automobile qui roule en Ford Mustang, la sèduisante scripte de cinèma, les week-ends d'autoroute, la plage de Deauville...Lelouch l'instinctif filme avec une libertè et une virtuositè technique une histoire d'amour simple et belle comme la vie! Un homme (Jean-Louis Trintignant), une femme (Anouk Aimèe), une passion pour ces deux êtres inconsolables hantès par la mort de leur conjoint! Ça donne à l'arrivèe un duo inoubliable de cinèma, irradiant de dèlicatesse et de sèduction! C'est à la fois beau, èmouvant, toujours filmè avec tendresse par un cinèaste au sommet de son art! Classique intemporel du cinèma français, "Un homme et une femme" connaîtra d'ailleurs deux suites en 1986 et 2019! Mais jamais aussi emblèmatique que l'original...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juin 2014
    Malgré ses nombreux défauts, Un Homme et une Femme n'es demeure pas moins un beau et important film. Alors oui certes, les scénario tient sur un timbre-poste : un homme et une femme ont perdu leurs conjoints respectifs, ils se rencontrent et tombenat amoureux. Lui est pilote, elle est script-monteuse. La réalisation aussi, a assez vieilli : les plans sont souvent assez sales, le tout est très vite fait et on sent que le budget était serré. Enfin, les dialogues sont aussi en général peu riches, ce qui est dommage.
    Or, malgré tous ces défauts, le film reste simple et beau, sublimé par la musique de Francis Lai, car une histoire d'amour sur les plages infinies de Deauville est toujours émouvante. Une Palme d'Or somme toute bien méritée. Enfin, mention spéciale à Trintignant oui, mais surtout à Anouk Aimée qui livre une interprétation toute en beauté, adouci par son visage éclairé.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 mai 2011
    Des rares Lelouche que j'ai vus, celui-ci est le moins pénible, malgré un scénario tartignolle, une bande-son qui m'excite autant que Margaret Thatcher en bikini et une mise en scène lelouchienne, c'est-a-dire lassante de maniérisme exacerbé. Seuls la photo et les acteurs sauvent ici ce qui peut l'être. Lelouche est un artiste, sa démarche est sincère et son cinéma peu conventionnel dans sa forme, mais c'est un mauvais artiste. Il devrait méditer la leçon de Woody Allen dans coup de feu sur Broadway: tout le monde ne peut pas être artiste et ce n'est pas si grave. Remarquez, nous autres glandus d'allociné, on est encore pire que des cinéastes ratés, on est des critiques de cinémas ratés, ce qui doit représenter le degré zéro de l'évolution humaine.
    Estonius
    Estonius

    3 335 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2016
    Globalement c'est beau et attachant ce qui constitue un tour de force puisqu'il ne se passe vraiment pas grand-chose, mais l'historiette évite le pathos et l'eau de rose, la photographie est fabuleuse, Anouk Aimée n'a jamais été aussi belle que dans ce film. Evidemment il faut supporter quelques longueurs et notamment le premier clip avec Pierre Barouh assez moche. Un film en deçà de sa réputation, mais qui vaut le coup d'œil
    Bruno TEF
    Bruno TEF

    6 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juin 2014
    Un film magnifique, réalisé avec peu de moyens, Claude Lelouch va a l'essentiel tout simplement. De fait, la lenteur et la simplicité du film pourront décourager certains ... pas d'effets spéciaux, pas d'explosions, pas de scènes scabreuses, juste une histoire entre un homme et une femme.
    Je pense que le film a fait le tour de la question et qu'il le fait à la perfection, on pourra toujours faire d'autres films sur le sujet bien sûr, mais aucun, à mon avis, n'atteindra une telle perfection.
    La musique célébrissime complète à merveille ce pur chef-d’œuvre. Je ne me lasse pas de la scène où J.L. Trintignant retrouve Anouk Aimée sur la plage à bord de sa Ford Mustang et où la musique s'emballe ...
    Un monument à voir absolument ... plusieurs fois si possible !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 mai 2008
    Je suis vraiment étonné de ne pas avoir été séduit par ce mélo si réputé, qui m'a semblé terriblement simpliste et flasque (la petite touche Jean-Louis Trintignant, sans doute).
    calamarboiteux
    calamarboiteux

    28 abonnés 440 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 octobre 2007
    Elle est veuve et a une petite fille, il est veuf et a un petit garçon. La petite fille et le petit garçon vont à la même école à Deauville; que croyez vous qu'il arriva?
    Sur ce scénario simpliste, Lelouch greffe des personnages sans profondeur, dont on ne souligne que les côtés anecdotiques. L'ennui guette donc. Pour l'éviter, le metteur en scène utilise la technique: côté image, c'est appréciable, des zoom plaquant les personnages sur le décor (assez original à l'époque) aux contre-jours appuyés. Le reste est également intéressant, mais tourne au procédé, à la démonstration, sans concourir au développement de l'intrigue, avec pour but avoué de créer une atmosphère, mais sans y parvenir vraiment. On a donc droit entre autre:
    - à une histoire présente en noir et blanc et passée en couleurs;
    - à une séparation fréquente du son et de l'image: la voix des personnages se perd dans la musique ou le bruit des vagues; pensant une séquence où Trintignant conduit on entend un bruit de train, car sa dulcinée a pris le chemin de fer (attention symbole!)
    Intéressante musique, mais tellement jouée depuis que la saveur en est affaiblie.
    On se demande comment la vacuité d'une telle production a pu donner lieu a tant d'engouement à l'époque.
    Fritz L
    Fritz L

    181 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juin 2007
    Ce n’est pas pour rien que « Un homme et une femme » reste à ce jour le plus célèbre film de Lelouch. Car il dépasse les frontières de l’univers du réalisateur, plus encore celle des codes cinématographiques de l’époque et même encore d’aujourd’hui. Il vient transcender une histoire d’amour tout ce qu’il y a de plus simpliste en une romance universelle qui parle à toute personne.

    Le film évoque la passion amoureuse à travers l’absence, qu’elle tienne du deuil ou de la séparation, mais aussi dans ce qu’il a de plus anodin, un regard, un geste ou les non dits. De ce jeu du hasard émane une vraie liberté de ton. Chez les acteurs dont les improvisations accentuent l’embarras, dans les cadrages avec une caméra proche des personnages, dans l’image avec un jeu de noir et blanc/couleurs surprenant et un ensemble des scènes filmées sans complexe avec audace.


    Le duo Aimée / Trintignant fonctionne à merveille. Elle tout en réserve et d’une beauté féline, lui, maladroit et éperdument amoureux.


    L’autre originalité du film repose également sur l’incrustation de musique venant ponctuer chaque temps fort… Bien sur il y a le Chabadabada, mais surtout des chansons de Lai et Barouh comme « A l’ombre de nous », l’une des plus belles jamais écrites pour le cinéma ...

    « Un homme et une femme » personnifie l’amour l’amour à l’écran dans ce qu’il a de plus sacré, de douloureux et merveilleux.
    tixou0
    tixou0

    697 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 novembre 2016
    Occasion "historique" de découvrir le tant vanté (et tant récompensé) "Un Homme et une Femme" - sa resortie, en "version restaurée", pour le cinquantenaire (1966/2016). Oui, "découvrir", car bien trop jeune pour ma part à l'époque de la sortie originale. Il est pilote automobile et s'appelle "Jean-Louis", elle est script et se prénomme "Anne" - on est bien près des acteurs-mêmes, Trintignant et Anouk Aimée. Ils ont vécu chacun un drame spoiler: (elle est veuve - mari mort pendant une cascade ; il est veuf - épouse suicidée, elle croyait qu'il ne survivrait pas à un terrible accident arrivé pendant les 24-Heures du Mans)
    et se rencontrent dans la pension chic où leurs (très jeunes) enfants respectifs passent leur scolarité, au bon air marin de Deauville (un garçon pour lui, une fille pour elle). Vont-ils (en fait surtout elle...) réussir à oublier l'ombre des défunts ?.... Voilà le seul enjeu de cette romance pour (grands) trentenaires, façon Lelouch... Avoue n'avoir pas un instant accroché à ces "chaba-bada-eries".... Et si Trintignant est supportable en jouvenceau prolongé, en revanche AA est absolument imbuvable, ne sachant que minauder sur tous les tons. Reste la maîtrise technique lelouchienne - une étoile pour cela seul !
    Kincaid
    Kincaid

    2 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2024
    Encore une magistrale daube, pour ne pas dire pire, de Lelouch, le génie du cinéma cucul à la française. Une tarte qui se traîne, avec des scènes longues et inutiles, car hors sujet. Une musique horripilante, pour une histoire d’amour insipide et ennuyeuse au possible. Et puis, la voix nasillarde de Trintignant, ajoutée à la voix informe d’Aimée, achèvent cette sous-œuvre injustement primée.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 août 2024
    Un film somptueux, lyrique et tendrement romantique. Deux personnes qui s'aiment, se cherchent, s'oublient, se retrouvent. C'est superbe
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 avril 2012
    Révolutionnaire pour l'époque, la mise en scène et le montage des films prirent une autre ascendance (...ou pas !).
    "Un homme et une femme" est un film mythique dont l'aura n'est plus à démentir. Son réalisateur, Claude Lelouch, présente en 1966 une toute autre manière de filmer le caractère et les points de vue de ses personnages, en particulier, mais aussi les décors et les tourments d'une histoire banale (le script, l'idée originale).
    Basé sur un scénario pas des plus inventifs (un veuf et une veuve vont s'aimer par à coups) mais pris de haut par le jeune réalisateur en herbe (avec seulement cinq films à son actif dont "L'amour avec des si" et "La femme spectacle" avec le regretté Jean Yanne notamment), cette histoire d'amour et de pasionara a déchiré le monde entier. Sur une règle d'écriture toute simple, Lelouch fait de ce long-métrage le déclenchement des foudres des critiques sur sa manière de filmer. D'abord adulé par la critique, il est ensuite rejeté par le mouvement d'époque, la "nouvelle vague", concept sorti de la plume de Françoise Giroud, journaliste, en 1957 et repris par Pierre Billard l'année suivante. "A bout de souffle" de Godard en 1960 en est le film témoin.
    1966 marque pour Lelouch l'année de la consécration : entre Cannes et Los Angeles, la pluie de récompenses (Grand Prix, Oscar du meilleur film...) n'est mérité que par le fruit de son travail, grâce notamment à la rencontre Jean Louis Trintignant-Anouk Aimée, apportant toute leur fraîcheur et leur sensualité au service du thème (de l'amour), diablement bien maîtrisé.
    Trintignant est ici tout en retenu et apporte à son personnage une touche indécise en mari veuf. Les sentiments qu'il éprouve envers Anouk Aimé sont si pieux que le spectateur arrive à les capter. Idem pour Anouk envers Jean-Louis. Deux coeurs indécis pour deux âmes en peine ...d'être perdues à jamais ! Trintignant, qu'on avait déjà vu dans les Vadim ("Et dieu créa la femme", "Les liaisons dangereuses") et "Compartiments tueurs" de Costa Gavras impose son jeu et l'on retient une performance notable de son charisme, pris à parti par un Lelouch étincelant. Claude laisse aussi son autre partenaire de jeu improviser, et Anouk Aimé, juste après le triomphal et sublimissible "Dolce Vita", forme avec Trintignant un couple irrésistible sur les affres du convolage, thème difficilement abordable à l'époque, et bien souvent censuré.
    Les seconds couteaux sont eux aussi bien affutés, car emmenés par Pierre Barouh (rencontré sur les tournages de "D'où viens tu Johnny", "Le gendarme de St Tropez", et plusieurs Lelouch, "Le courage d'aimer" par exemple), Valérie Lagrange (vue dans "La jument verte" et "Un homme à abattre" de Philippe Condroyer notamment) et Souad Amidou (découvert sur "Un homme et une femme" et revue dans "Maladie d'amour" de Deray, "Munich"...).
    Sur une réalisation tonitruante et une interprétation décapatante, la musique incontournable et désormais culte de Francis Lai, Pierre Barouh et Nicole Croisille a fait le tour du monde pour les inconditionnels et les nostalgiques de l'année 1966.
    La scène la plus culte est sans conteste celle où Trintignant et Anouk courent et s'embrassent sur la plage de Deauville.
    Pourquoi je n'ai pas adhéré ? Bien que l'ensemble soient bien amené et construit, on se sent à l'écart de l'histoire de part l'étonnante virtuosité technique qui ne nous accroche pas vraiment. La réalisation de Claude fait aujourd'hui vieillote (montage technique, travellings légèrement longs à la Melville, un N&B certes crépitant mais émouscaillé et donc forcément décrépi), l'ennui nous guette un peu malgré les relances généreuses du thème musical et des partitions un brin décalé de l'interprétation générale (la direction de Claude, sans doute). On suit finalement aujourd'hui ces marivaudages de situations uniquement pour un film (culte, il faut bien le dire !) qui fit parler de lui en son temps. Uniquement. Vraiment dommage.
    Spectateurs, asseyez vous bien car Claude pourrait vous tendre un piège à Deauville ce soir. Lequel ? Celui de vous endormir en N&B !!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2011
    Avec une Palme d’Or remportée lors du 19ème Festival de Cannes, deux Oscars (du Meilleur Film Etranger et du Meilleur Scénario), ainsi qu’une quarantaine de récompenses dans le monde, on reste dubitatif et pantois, ne sachant pas quoi penser, surtout si on n’a pas adhéré une seule fois au film. Un Homme et une femme (1966) suit les errances de deux individus, d’un côté un coureur automobile et d’un autre une script-girl, tous deux veufs (la femme du premier s’est suicidée et le mari du second, qui est cascadeur au cinéma, s’est tué lors d’un accident). Ils s’aiment mais se repoussent constamment, c’est ainsi que l’on va suivrent leurs ballade amoureuse durant plus de 100 minutes, à la fois interminable et lassante. La mise en scène est mollassonne et les dialogues se font rares, faute de moyen le film alterne entre les prises de vues en noir & blanc et certaines en couleurs (entre le jaune fade et le bleu "nuit américaine"), comment parvenir à y trouver un semblant d’intérêt ?
    Pour la petite anecdote, Claude Lelouch à convié les deux principaux acteurs dans une suite intitulée Un Homme et une femme : vingt ans déjà (1986).
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    205 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 janvier 2017
    Lelouch est sur tous les fronts. Il filme tout et invente pleinement un cinéma. Est-ce cela qu'il faut retenir pour expliquer un succès à Cannes? L'authenticité et l'enhardissement. Peut-être pas seulement, puisque le film triompha également aux Oscars en présentation du meilleur film étranger en 67. Paris, Deauville...De fausses notes en paroles sous la douche, de silences lourds en textes figés, de jolis plans en objectifs sales... et surtout un ennui profond.
    Antonin T.
    Antonin T.

    37 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Tout est beau dans le film, sauf peut-être le film lui même.
    Anouk Aimée, trintignant et le passage de la couleur au noir et blanc, ne suffise pas à faire un bon film.
    Les meilleurs films de tous les temps
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