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Un film mafieux assez sympathique (tiré d’une histoire vraie), sur les commerces juifs illicites. Bonnes interprétations et bonne mise en scène. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
Le seul intérêt du film est qu’il est tiré d’une histoire vraie à savoir des juifs « orthodoxes » qui font passer de la drogue, à partir d’Amsterdam, à de jeunes juifs naïfs qui croient transporter des médicaments. La drogue, toujours la drogue, n’y a t’il pas des sujets plus intéressants ?
Une histoire un peu fade malgré une thématique vraiment intéressante. Le tout manque d'intensité et d'intérêt. VF assez horrible et à proscire
Pour une des rares fois que le cinéma met en images le "milieu" juif de Brooklyn, hélas le film est plutôt raté. Au-delà de l'originalité de voir des Juifs en passeurs d'ecstasy, il faut bien avouer qu'on est guère captivé par leurs tribulations entre N-Y et Amsterdam (qui aurait pu être mieux mise en valeur), et ce malgré le jeu impeccable et l'énergie de Jesse Eisenberg et Justin Bartha. Peut-être la faute à un scénario linéaire, aux ficelles très téléphonées, vues 1000 fois dans d'autres films bien meilleurs. Le thème de la drogue ayant été tellement abordé (et aussi à la TV, notamment après des séries comme Breaking Bad), il faudrait une touche particulière, un style pour le rafraîchir.
Jewish Connection est un des films les plus clichés de la terre. Un juif habillé Loubavitch qui cherche l'appât du gain en vendant illégalement des médicaments à New York. Un complot, une culpabilité et un retour aux sources. Non, le scénario ne sauvera pas le film, même si les techniciens qui y ont participé ont fait du très bon boulot, et notamment le directeur de la photographie. 2/5
J'ai regardé ce film pour Jesse Eisenberg. C'est le film qui est sorti, avec Jesse Eisenberg, après sa performance dans The Social Network (où il a explosé en tant qu'acteur même si on avait déjà pu le remarquer ailleurs, chez Noah Baumbach par exemple, avec les Berkman se séparent). Bref. Bon, malheureusement je n'ai pas accorché au film. J'aime bien cette idée de montrer un jeune homme, enfermé dans une communauté dont il ne peut pas échapper aux codes, aux règles et aux traditions. On le voit vraiment "pris au piège" presque, et ce trafic est presque pour lui une porte de sortie, c'est du moins la seule qu'il a vraiment trouvé. J'aime bien cette idée de confronter ces deux mondes, mais le résultat est quand même pas terrible à voir, ça tourne très vite en rond et en terme de mise en scène c'est pas terrible non plus.
C'est pas mal mais cela aurait pu etre beaucoup mieux ! L'histoire était vraiment trés interessante.
Histoire : 4/5
Originalité : 3/5
Jeu d'acteur : 2.5/5
Bande son : 1.5/3
Realisation : 1/2
Total : 12/20 = 3/5
Histoire : 4/5
Originalité : 3/5
Jeu d'acteur : 2.5/5
Bande son : 1.5/3
Realisation : 1/2
Total : 12/20 = 3/5
Mise en image d'un dilemme qui traverse les communautés juives de la diaspora depuis, disons 300 ans : intégration au monde des Gentils et à quel prix ou préservation intégrale d'un mode de vie ancestral ? Bon, disons le tout net, le film prend parti et apporte une réponse toute manichéenne, la réalité étant infiniment plus complexe. Heureusement qu'entre l'Ultra-orthodoxe crispé et l'assimilé-délinquant la palette des choix est bien plus vaste ! Point fort : le thème du film, tout de même assez original et l'actrice Ari Graynor, excellente (bien plus que M. Facebook que j'ai trouvé assez pâlichon). Points faibles : la réalisation se cherche et ne se trouve que trop rarement : un bon passage dans une boite de nuit, une prière apaisante à l'arrachée dans la rue quand le héros est déjà à la dérive... et c'est à peu près tout. Et formellement, la qualité des images - franchement hideuses - relève de l'amateurisme. Au final, très moyen donc.
Un bon film assez original sur un trafic de drogues pour le moins inattendu. L'histoire est plutôt bonne même si elle aurait pu être un peu plus poussée. L'évolution du personnage principal est bien faite, même si au départ, il est particulièrement naïf. Peut être même trop pour paraitre réaliste. Ce film est également l'occasion de voir Jesse Eisenberg qui est incontestablement l'un des meilleurs acteurs de sa génération. On le découvre ici, dans un genre de film différent. Jewish connection est un bon film à découvrir.
Un film vraiment très moyen et c est bien dommage car le scénario tire d une histoire vraie avait vraiment un très fort potentiel . Cependant ça reste un film qui se laisse voir mais il y a mieux dans le genre .
Film intéressant, nous suivons le parcours d'un jeune homme se préparant à devenir rabbin et que rien ne destinait à rencontrer le chemin de la drogue. Le principal atout du film est cette confrontation entre deux mondes par essence incompatibles, d'un côté le monde "pur", celui de la communauté juive, celui de l'étude de la Torah et de la Prière et de l'autre celui de la "débauche", celui des boîtes de nuits, de la drogue etc...Et l'on suit ainsi, ce jeune homme perdu, en transition entre ces deux mondes.
La fin est malheureusement assez prévisible, mais le film est bon dans l'ensemble.
Vu le 21/12/12
La fin est malheureusement assez prévisible, mais le film est bon dans l'ensemble.
Vu le 21/12/12
L'Amérique, la drogue, les putes et l'oseille. Il ne manquait plus que les juifs pour compléter le tableau.
A travers ce film qui relate une histoire véridique, Kévin Asch joue la carte de la solidarité et se conforme à dépeindre sa communauté comme étant pure, innocente, fragile, saine, mais aussi comme une communauté qui souffre et qui lutte corps et âme pour résister à la tentation de la débauche et à l'appel du vice de notre société d'ignobles goys décadents. Et si elle doit succomber, alors elle se dédouane de toutes responsabilités sous des alibis de "péchés par naïveté" en raison de sa pureté spirituelle. Un film qui pue la bien-pensance comme tant d'autres, donc qui n'apporte strictement rien d'original. On reconnaitra néanmoins la justesse du jeu de Jesse Eisenberg, non responsable du rôle qui lui est imposé, mais qui permet de faire passer la pilule pour les réfractaires au lobbying.
A travers ce film qui relate une histoire véridique, Kévin Asch joue la carte de la solidarité et se conforme à dépeindre sa communauté comme étant pure, innocente, fragile, saine, mais aussi comme une communauté qui souffre et qui lutte corps et âme pour résister à la tentation de la débauche et à l'appel du vice de notre société d'ignobles goys décadents. Et si elle doit succomber, alors elle se dédouane de toutes responsabilités sous des alibis de "péchés par naïveté" en raison de sa pureté spirituelle. Un film qui pue la bien-pensance comme tant d'autres, donc qui n'apporte strictement rien d'original. On reconnaitra néanmoins la justesse du jeu de Jesse Eisenberg, non responsable du rôle qui lui est imposé, mais qui permet de faire passer la pilule pour les réfractaires au lobbying.
Dans le New York des années 90, et c’est véridique, des millions de cachets d’ecstasy ont été importés d’Amsterdam grâce à de jeunes membres de la communauté juive orthodoxe naïfs et souhaitant s’émanciper des obligations strictes de leur religion. Nous suivons donc le parcours de l’un d’eux, Sam Gold, ainsi que son évolution sociale et comportemental pendant ce changement radical de style de vie. Kevin Asch, dont c’est la première incursion dans le milieu, réussit à filmer New York de façon originale et underground, avec des plans qu’on a seulement pu voir dans la série "How to make it in America". Cependant l’histoire, en apparence captivante, de ce trafic est mise en scène de manière beaucoup trop plate. En effet le metteur en scène ne fait que survoler la plupart des sujets qu’il choisit de traiter. Malgré un scénario un peu faiblard et une morale beaucoup trop évidente, "Jewish Connection" réussit à relever le niveau grâce à un casting de qualité (Jesse Eisenberg, Justin Bartha et Mark Ivanir surprenant dans ce genre de rôle). Pour un premier film c’est plutôt bien engagé mais Kevin Asch n’arrive pas à nous faire complètement adhérer à cette histoire, dommage.
Pas mal, sans plus. "Jewish Connection" c'est une oeuvre qui vaut essentiellement pour son sujet. Effectivement l'histoire est captivante, mais le tout manque de profondeur. On aurait aimé que le film creuse plus certains thèmes et personnages. On effleure a peine l'attirance entre Sam et Rachel, on voit l'ampleur qu'il prend dans le trafic, mais rien n'est poussé jusqu'au bout. Et c'est un handicap pour le film, étant donné qu'il souffre de ce côté mollasson et n'arrive pas à nous prendre aux tripes. Cependant "Jewish connection" n'est pas un mauvais film, mais il manque d'ampleur ! C'est comme si le scénariste avait été limité à la réalité des faits. Cette réalisation manque franchement de mordant.
pas mal, comme les étoiles
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