Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,0
Publiée le 20 février 2011
Jewish connection est un film qui se laisse facilement regarder sans forcément marquer les esprits ! Ce qui est sur , c'est que jesse eisenberg montre encore une fois tout son talent d'acteur.Cette histoire de trafic de drogues est linéaire et se déroule sans grands rebondissements d'où le manque de relief du film ! Malgré cela , la réalisation est bonne et propose de beaux plans et une bonne bande son !
Il semble qu'il y ait une obsession dans le cinéma d'auteur, peut-être par faute de moyen, va savoir? l'image est moche un peu comme si la technique n'avait pas évoluer depuis 100 ans...C'est sans doute pour donner plus de réalité au thème abordé...Parlons-en, le dealer...le mot est lâché. C'est obsessionnel et rabâché mais on continue à l'utiliser comme sujet de film. Bravo, c'était courageux!!! Économiser vos sous...
Se laisse voir mais sans plus. Sur un jeune juif orthodoxe new yorkais qui passe d'apprenti rabbin à dealer inspiré de fait réel. c'est correct, mais ça ne m'a pas transporté.
Au lieu du thriller documenté par des faits réels sur le trafic d'extazy mené par un groupe de juifs orthodoxes le réalisateur a choisi le thème classique du choix cornélien entre le destin tracé et la culpabilité de ce jeune garçon très naif. Certes, ce choix narratif brise tout suspense mais permet d'accompagner plus facilement le spectateur dans les coulisses de la contrebande entre Amsterdam et New-York. La mise en scène est minimaliste mais les interprétations sont très bonnes.
Premier Film . Trop narratif . Limite Document vu la façon dont ça été filmé . Heureusement Jesse Eisenberg crève l'écran et la dualité entre son avidité et sa cupidité est très bien rendue . Mais l'ensemble reste plat et les personnages sans envergure . On ne ressens rien . Dommage !
En voila un film indépendant qui fait plaisir à voir ! Tous les ingrédients de ce type de cinéma sont présents, à savoir des personnages finement écrits, auxquels on s'accroche dès les premières minutes, une réalisation qui sait s'effacer pour laisser les comédiens s'exprimer et des dialogues qui sonnent justes ! De plus, l'histoire de base est assez atypique, et se trouve être inspirée de faits réels ! Jesse Eisenberg confirme les grands espoirs placés en lui dans le fabuleux "The social network", et a des chances de devenir un acteur important dans les années à venir ! Dommage que le récit manque parfois d'intensité dramatique et fasse parfois du sur place, car on manque de peu le grand film ! Mais il n'est pas difficile d'oublier ces quelques menus défauts devant la grande qualité du résultat final ! Prenant et parfois drôle, il mérite de trouver son public !
Kevin Asch a eu la bonne idée de ne pas faire de cette histoire vraie un thriller, et préférer suivre le cheminement personnel d'un jeune hassidique vers le trafic d'ecstasy. C'est d'autant plus une bonne idée que Jesse Eisenberg se montre une nouvelle fois très convaincant (on n'a probablement fini d'entendre parler de cet acteur). Là où le film pêche un peu, c'est par son aspect brouillon ; on n'explore le sujet finalement qu'en surface, ce qui limite un peu la possibilité pour le spectateur de s'immerger dans ce film. Bonne photo et bonne musique, cependant.
Attention, ce film est vraiment à ne pas louper!! Je vais voir presque tous les polars US et celui ci sort vraiment du lot. Il se déroule à un rythme d'enfer et me fait penser à LITTLE ODESSA du grand James Gray. Et oui, rien que ça! Là aussi, c'est une plongée dans un New York que nous ne connaissons pas. Le film est porté Jesse Eisenberg vu dans SOCIAL NETWORK. Il est juste formidable!!
"Jewish Connection" est né d'un fait divers méconnu mais très original puisqu'il situe son contexte dans les années 1970 au coeur d'une communauté elle même méconnue, puisqu'il s'agit de celle des juifs ultra orthodoxes de New York. La grande intelligence du scénario réside dans son point de vue: celui du jeune Sam Gold qui se lance dans une carrière de dealer alors qu'il est en plein questionnement sur son identité. Récit d'un passage à l'âge adulte difficile, portrait d'une famille soumise à la tradition, "Jewish Connection" est un excellent premier film : on attend le prochain Kevin Asch avec impatience!
En effet, Jewish Connection est d’abord un film sur le tiraillement et le déchirement : entre le bien et le mal, le pur et l’impur, le poids de la religion et la dénégation de celle-ci. Volontairement ramassé, tourné avec de faibles moyens, le film se singularise par son rythme qui élimine l’arrêt prolongé sur les personnages, y compris le principal, et qui crée aussi certaines ellipses (les allers-retours entre l’Amérique et l’Europe, le recrutement des autres jeunes juifs). Le réalisateur nous fait également entrer sans préliminaires ni difficultés dans la communauté de Sam et les siens dans cette banlieue pavillonnaire de Brooklyn, sans doute parce qu’il la connait bien lui-même. L’esthétique, en prise directe avec les rues et les quartiers de Big Apple, n’est pas sans rappeler celle prisée par le cinéma des années 70 (Martin Scorsese et Sydney Lumet en tête). La confrontation entre les principes religieux et l’univers de la criminalité sert donc de canevas à un long-métrage accrocheur et cadencé, en tenant jusqu’au bout le choix du point de vue de son protagoniste, oscillant entre deux mondes. Le manque ou le refus d’approfondissement nuit néanmoins à l’incarnation de son héros et annihile tout développement romanesque.
Holy Rollers est un drame où un jeune juif orthodoxe , coincé dans un monde écrasé par les traditions et destiné à être rabbin , va devenir un passeur de pilules d'ectasy , fasciné par l'argent gagné et les possibilités qu'il apporte . Le film malheureusement souffre d'un grand manque d'originalité et accumule les clichés communs à ce style de film : l'ascension et la chute du "héros" , l'ami jaloux de la réussite du personnage principal , l'idylle avec la copine du patron ... L'ensemble des acteurs est convaincant et Jesse Eisenberg fait du bon boulot comme d'habitude , sans être transcendant . Holy Rollers est un film qui se laisse regarder sans déplaisir mais n'apporte rien de nouveau au genre .
Du bon petit cinoche qui ne paye pas de mine, avec une histoire traitée d'une manière simple mais accueillante. Le film vaut surtout pour la prestation de Jesse Eisenberg, visiblement capable de changer de registre après le rôle charnière qu'il interprétait dans The Social Network : plus sympathique et moins monolithique , le héros de Jewish Connection permet au jeune acteur de développer une facette plus humaine de sa personnalité. Sinon la mise en scène vaut ce qu'elle vaut : sans audaces, sans dépassements quelconques, elle a toutefois le mérite de se tenir au plus près de ses personnages et du sujet qu'elle traite. Tiraillé entre ses principes religieux et le monde de l'argent facile et de la tentation, Sammy a quelque chose de dostoïevskien dans son ambiguité morale, semblant de complexité qui permet au spectateur de suivre le métrage avec intérêts. Un assez bon film au final, certes mineur et peu audacieux mais tout de même généreux dans le propos qu'il illustre humblement. A voir, donc.
Quoi de mieux qu'un nouveau film communautariste pour me faire plaisir ? Avec Jewish connection, j'ai le droit à totu ce que j'aime pas dans la religion. Le communautarisme donc, le manque complet de liberté, la régression sociale. Penser qu'on puisse aujourd'hui encore avoir un système de mariage arrangé aussi présent, ça me donne des frissons dans le dos.
Enfin, faudrait pas non plus qu'on me fasse dire tout et n'importe quoi. Je ne cautionne pas, c'est tout !
Quoiqu'il en soit, ce qui m'a le plus gêné ici, c'est que le film semble durer bien longtemps... Alors qu'il ne fait même pas 1h30!Sans avoir l'impression de franchement m'ennuyer, je me susi juste rendu compte que ça traîné un peu et que ça me paraissait un longtemps moment depuis notre entrée en salle. Ce qui n'était absolument pas le cas. C'est donc, sans partir dans de graaaaaaaandes analyses, un constat flagrant d'échec.
Il y a quand même des points positifs. Jesse Eisenberg en tête... Finalement, depuis son 1er passage télé dans Get real et même temps, il a bien grandit ! Mais qu'est-ce qu'il parle vite ! Quoiqu'il en soit, il a un je ne sais quoi dans son visage qui le rend crédible. J'espère que lui aussi, on va lui accorde beaucoup de confiance dans les jours à venir.
Dernier point, je suis déçu de la fin. J'espérais qu'il n'y ait aucun partie pris... Avant la fin, je me disais : Bon faudrait qu'il s'arrête là, s'il continue, le héros va partir dans une direction bien précise par rapport à la religion et ça va tout gâcher ! Ça donnera une vrai sensation de partie pris. Ça a finalement était le cas. Et je le regrette ! Bon après, on m'a rappelé que c'était une histoire vraie. Donc peut-être que ce partie pris était obligatoire. ;o)
Bref, je m'attendais à mieux et ne mettrais que 3 étoiles. Je ne dirais pas que c'est un mauvais film, mais c'est juste un film. Je n'ai pas réussis à complètement accroché, juste regardé.