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    Là-haut
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    4,3
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    2 068 critiques spectateurs

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    ER  9395
    ER 9395

    86 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2012
    Encore un très bon film d'animation avec beaucoup de rire et d'émotion.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 décembre 2012
    Pas transcendant mais sympathique, Là-haut aborde des thèmes un peu inhabituels pour un film d'animation. Les deux premiers tiers sont dans cette lignée, assez drôles et enthousiasmants. Le dernier tiers vire vers un aspect blockbuster peut-être plus conventionnel. Bien plus agréable au final que les Shrek et autres.
    Wolverine1992
    Wolverine1992

    115 abonnés 405 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2015
    Ce film d'animation est tout simplement merveilleux, tant par sa beauté visuelle que par son histoire magnifique. Pixar nous fait voyager dans un monde extraordinaire en nous faisant passer de la joie à la tristesse. Le film est bourré de bonnes idées, la réalisation est des plus bluffantes et la composition de Michael Giacchino est sublime ! Les personnages sont tous aboutis, le vieux Carl et le jeune Russell sont complémentaires mais tout aussi pugnaces face à l’aventure qui s’ouvre à eux. Quant à Kevin, l’oiseau multicolore et Doug le chien « parlant », ils sont absolument hilarants. Bref je trouve que ce Pixar est tout simplement un bijoux, et n'entre pas dans la catégorie "grand film", mais directement dans "chef d'oeuvre" !
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2021
    Avec ce film d'animation, techniquement réussi comme d’habitude, les studios Pixar jouent sur la nostalgie, notamment avec les émotions causées par le spoiler: vieillissement
    du héros, la spoiler: mort de sa femme
    , et par spoiler: leur rêve d’enfance non réalisé
    . Tout ça est renforcé par des images et un rythme un peu désuets. Malheureusement, le sentiment de tristesse qui touche le spectateur fait rapidement place à une aventure fofolle peuplée d’animaux grotesques tout droit sortis des pires séries Z ( spoiler: les chiens qui parlent avec des colliers émetteurs…
    ). Forcément, cela gâche les bonnes intentions de départ.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    284 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2012
    Après quelques films, Pixar connut un succès critique ravageur et décida donc d’arrêter les sujets bateaux de société (société de jouets, d’insectes, de poissons…) pour oser des choses bien plus poétiques.

    Là-Haut en est la parfaite démonstration, l’archétype du concept pixarien, improbable mais très alléchant. On sent parfaitement l’évolution du studio à travers ce film, tant la différence de ton entre Là-Haut et un 1001 Pattes, par exemple est flagrante. Jamais auparavant un dessin animé pour enfants avait conté la mort d’une personne avec une telle beauté. Les 10 premières minutes, qui font défiler la vie de la femme de notre héros, Carl Frederiksen, jusqu’à sa mort, sous une musique fabuleuse de Michael Giacchino, sont touchantes jusqu’aux larmes et mettent dans l’ambiance d’un film qui sera mélancolique, mais jamais assommant.

    Dans sa deuxième partie, certaines idées sont particulièrement jolies, comme les chiens qui parlent, le méchant qui est le héros de jeunesse de Carl, le rapport entre ce même Carl et l’adorable Russell, véritable personnage de comédie comme Pixar sait les faire ou même ce final assez épique, dans un dirigeable. C’est alors dommage que les péripéties soient bateaux et que le film ne tienne pas son excellent niveau de sa séquence d’ouverture. Il fonctionne comme son Carl, qui reste dans son niveau de confort dans sa deuxième partie, sans jamais vraiment tenter un changement de rythme. Heureusement pour lui, sa fin est absolument magnifique, prévisible certes, mais tout aussi touchante que son ouverture.

    Là-Haut est un film Pixar dans toute sa splendeur : de réels moments de cinéma, de poésie mais aussi une sorte de confort duquel ils ne se sortent pas vraiment. A partir d’un postulat vraiment original, ils ne tentent plus grand-chose après. Un peu décevant.
    AliceL
    AliceL

    4 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 décembre 2012
    Le début du film est un modèle du genre, mené de main de maître : en un quart d'heure de cinéma muet de haute volée, tout le cours d'une vie d'amour est résumé, jusqu'à la mort d'un des tourtereau. A la fin de ce moment de bravoure et du deuil qui le conclut - assez peu courant dans les films destinés en partie aux bambins - on est littéralement muet d'émotion. Le reste du film est plus conventionnel quoique brillamment conduit. Pixar n'a rien perdu de sa créativité, de sa capacité à raconter des histoires intelligentes et pas forcément consensuelles, à monter des gags efficaces et émouvants (les chiens qui parlent, un must), et à imaginer des personnages qu'on est pas prêts d'oublier. On notera aussi l'influence manifeste du dessin animé japonais sur l'imaginaire pixarien. Miyazaki ne cracherait pas sur certaines images du film (comme celle de la maison transportée dans le ciel par les ballons multicolores). "Là haut" atteint ainsi des sommets poétiques sans se départir d'une humanité et d'un humour réjouissants.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2013
    Une merveille des studios Pixar (la dixième). Première originalité, le "casting" : un papy triste, bougon, peu bavard, et un p'tit gars grassouillet tiennent les premiers rôles. Comme antihéros, on ne fait guère mieux. On trouve aussi un bestiaire très particulier : un oiseau de paradis irrésistible et une horde de chiens qui parlent (grâce à de mystérieux colliers). Anthropomorphisme classique ? Non, car les scénaristes et dialoguistes ne se sont pas contentés d'attribuer des propos d'hommes à ces animaux : ils ont imaginé ce que pourraient être leurs pensées... C'est inédit et hilarant. Dernier personnage important : le vieil explorateur revanchard et machiavélique. Pour lui, il y a manifestement un problème d'âge : il ne se différencie pas assez de M. Fredricksen, qui l'idolâtrait étant petit. Mais ce n'est pas bien important.
    L'intrigue, elle aussi, ne manque pas d'étonner. Commencer le film par le récit de la vie du papy, récit empreint de mélancolie (où l'on apprend par exemple que sa femme et lui n'ont jamais pu avoir d'enfants) et qui se conclut par un deuil, c'est pour le moins audacieux dans un dessin animé. Du jamais-vu. Ensuite, le voyage aérien est un enchantement, les paysages sont superbes et les prouesses techniques d'animation touchent à la perfection (extraordinaires en 3D). La maison-ballon et autre Zeppelin n'ont rien à envier aux machines volantes de Miyazaki. Le spectacle est au rendez-vous. Et l'humour n'est jamais bien loin, notamment lorsque M. Fredricksen entre en action. La scène de combat contre le vieil explorateur (ralentie par quelques rhumatismes), avec canne et jet de dentier, vaut le détour.
    Enfin, Là-haut témoigne d'un sens formidable du détail. Sur le plan visuel, cela va des poils blancs de la barbe naissante de M. Fredricksen à l'expressivité incroyable des visages ou des gueules d'animaux. Et sur un plan sociétal, le film est truffé de petites scènes apparemment anodines, mais qui sonnent justes et reflètent l'air du temps : lorsque l'on intente un procès au papy pour un simple coup de canne, lorsqu'il dit vouloir faire un dernier tour dans sa maison avant de l'abandonner (semble-t-il) définitivement pour une résidence spécialisée, lorsque le gamin raconte le seul moment d'intimité avec son père, assis sur le trottoir, à compter les voitures rouges et bleues... Déshumanisation et solitude (à tous les âges de la vie) sont peut-être les sujets centraux du film.
    On regrettera juste que la fin soit assez prévisible et un peu "gentillette". Mais l'ensemble reste de haute volée : coloré, poétique, drôle, tendre et divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 décembre 2012
    Un film en état de grâce, qui conjugue avec un brio incroyable l'humour, l'émotion et la poésie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 novembre 2012
    Excellent film d'animation. Rire, tristesse, joie.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 novembre 2012
    Un grand manque de rythme et film parfois ennuyeux mais certains passages sont vraiment très drôles !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Je me suis dis c'est un film d'animation ou un vrai film je me suis poser cette question car le scénario est tellement énorme certe on se rencontre que c'est un film d'animation mais quesqu'il est magnifique avec une fin triste et belle a la fois !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 novembre 2012
    Là-haut est un Pixar, l'avant-dernier a être sorti au cinéma. Étant donné que le studio est associé à la qualité de ses productions, on espère le meilleur pour ce dessin animé. Le début est un mélange de tendresse et de tristesse : on suit durant une séquence de 5-10 minutes très réussie, la vie d'un couple jusqu'à la mort de la femme, moment chargé d'émotion, qui mettrait même la larme a l'oeil a un collecteur d'impôts. Vient ensuite l'humour grâce aux personnages hauts en couleurs de ce film : le grincheux Carl, l'insupportable Russel et le chien stupide Doug. A côté de ces persos marquants viennent s'ajouter des seconds rôles, plus ou moins drôles ou utiles à l'histoire : l'oiseau Kevin, la horde de chiens parlants et le grand méchant, l'aventurier Charles Muntz . Le film use également de l'humour de répétition,ce qui se révèle être très efficace. Quand au scénario, celui-ci est très original et vraiment bien pensé. Les graphismes,eux, sont tout simplement superbes, tant au niveau des personnages qu'au niveau des décors. La maison, par exemple, avec ses ballons colorés, est magnifique. Mais un dessin animé sans paroles, c'est comme un Fanta sans bulles, ça existe mais c'est plus rare ! Voilà pourquoi je vais parler des artistes qui ont donné la parole aux personnages. Tout d'abord, Charles Aznavour alias Carl qui donne au personnage une voix bougonne et qui montre la personnalité du veuf. Tom Trouffier , inconnu du public, donne au personnage de Russel une voix un rien agaçante mais enthousiaste , ce qui correspond au jeune scout. Enfin, Guillaume Lebon donne au chien Doug une voix naïve et drôle. En résumé, Là-haut est un très bon Pixar , peut-être même un des meilleurs !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Ce film d'animation est un pur chef-d'oeuvre, une merveille. On en prend plein les yeux pendant toute sa durée, à un point tel qu'on est triste au final que le film soit déja terminé, je le recommande à tous.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 décembre 2012
    Un fabuleux film poétique pour les enfants, le flash-back qui dure 10 minutes est superbe. Décidement Pixar a le don pour faire des film fabuleux
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 octobre 2012
    Ces deux dernières années, la meilleure note estivale de ces critiques a chaque fois été raflée par les productions Pixar : "Ratatouille" en 2007, et "WALL-E" en 2008. Il y a de fortes chances qu'il en soit de même cet été, sauf si le Tarantino ou l'Audiard sont à la hauteur des attentes qu'ils suscitent. Pourtant, la bande-annonce ne m'avait pas donné très envie : un papi qui part en voyage aérien avec sa maison encombré d'un scout grassouillet, ça ne me semblait pas du niveau d'un rat chef dans un grand restaurant ou d'un robot ramasseur d'ordures.

    Les premières minutes ont suffi à me débarrasser de cette appréhension : tout d'abord une bande d'actualités Movietone présente les exploits de l'explorateur Charles Muntz, permettant de placer des indices pour l'action qui va suivre immédiatement, mais aussi pour celle qui se déroulera sept décennies plus tard. Puis la rencontre entre le tout jeune Carl, un peu empoté et malchanceux, et la non moins jeune Elie, gamine survitaminée qui va bouleverser la vie du garçon.

    Leurs soixante ans de vie commune nous sont montrées en quelques minutes virtuoses, tout en ellipse set en subtilité. L'infertilité du couple est évoquée en un traveling latéral de quelques secondes, mêlant délicatesse et émotion. Dans cet épisode aussi sont posés des jalons qui expliqueront la suite de l'histoire, comme le dessin bigarré de la maison au bord des Chutes du Paradis, qu'on retrouvera dans la décoration de leur pavillon, mais aussi dans la grappe de ballons multicolores et dans le plumage chamarré du Dabou.

    On retrouve un peu l'opposition de WALL-E et d'EVE dans ce couple si attachant ; Carl est maladroit et cubique : tête, mâchoire, oreilles, alors qu'Elie est aérienne et courbe. Même leurs fauteuils présentent ces caractéristiques géométriques. Et puis, face ou aux côtés d'un héros aussi atypique, il y a une galerie de personnages réjouissants : Russell, le jeune scout qui cherche à obtenir son badge d'aide aux personnes âgées, délaissé par son père, bavard, agaçant, mais touchant quand il découvre qu'il ne raconte rien d'intéressant ; Kevin (nom donné par Russell, forcément...) le dabou, sorte de croisement entre un dodo et un vélociraptor, en beaucoup plus pacifique ; Doug, l'incarnation du bon toutou affectueux, gaffeur et dévoué. Les méchants ne sont pas en reste, avec une mention spéciale pour le chef de la meute, à qui les dessinateurs ont fait une tête de Batman.

    Comme toujours chez Pixar, les citations directes ou implicites ne manquent pas, comme Carl tirant sa maison pour atteindre le haut des chutes et qui évoque Rodrigo Mendoza traînant le filet de son attirail de mercenaire dans "Mission", ou les biplans sortant du zeppelin de Charles Muntz et qui rappellent la scène du duel aérien dans "Indiana Jones et la dernière Croisade".

    Le demi-point supplémentaire accordé à "Là-haut" par rapport à ses deux prédécesseurs se justifie par la constance du rythme : il n'y a aucun fléchissement dans la narration, avec une alternance de scènes d'action et de moments plus tournés vers les personnages, et des surprises renouvelées, même si la morale de l'histoire reste assez prévisible.

    Une nouvelle fois, Pixar offre un spectacle intelligent pour tous, avec un récit visible au premier degré par les enfants, et une lecture adulte passionnante, entre citations cinématographiques, plaisir de l'analyse filmique et bonheur esthétique. Même si c'est évidemment un film à montrer aux enfants, "Là-haut" fait partie de cette nouvelle génération de dessins animés où il n'est plus besoin de prendre en otage un fils ou un neveu pour légitimer son plaisir de savourer un tel régal : un grand merci à M. Lasseter et ses acolytes.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
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