Derniers Avis sur Love Gourou

Passées les vingt premières minutes, la comédie n'a déjà que trop durée; Pourtant, Love Gourou avait de quoi séduire, à la manière de son délirant et chaleureux générique. Mais il y a bien trop de déchets à se fader entre deux morceaux réjouissants de country indou.

Oui c’est vachement surnoté mais c’est pour une bonne raison : ce film a permis de mettre fin à la carrière de Mike Myers, déjà qu’elle aurait jamais du commencer… Ben ouais le gars est cheum et pas marrant, mais il fait des comédies et le people adhèrent. Faut dire qu’il y a déjà plus de situations sensées être comiques que dans les productions françaises, mais c’est pas pour autant que c’est drôle. Enfin quand je parle d’humour on est dans le lourd, le gras, le limite raciste (tu le passes maintenant il se fait lyncher sur le net), le genre qui fait passer Jean-Marie pour un académicien quand même. Ah et bizarrement, le gros casting (Timberlake, Alba) ne se vante pas d’avoir tourné là dedans, un signe ? Avec 22 millions de pertes je pense que le verdict est tombé, enfin je peux dire merci à la masse.

Love Gourou était un film douloureux et sans fin tout le contraire de drôle. Un tas d'atroce blagues sur le sexe masculin enchaînés avec des scènes dégoûtantes. Mike Myers a perdu le charme qu'il montrait dans la franchise Austin Powers. Et il est clair qu'il a choisi un réalisateur inexpérimenté pour ce film afin qu'il puisse contrôler le tournage. Et pourquoi Jessica Alba continue-t-elle à faire des films comme celui-ci. Est-ce que quelqu'un lui a dit qu'elle était une comédienne. Et Justin Timberlake pas étonnant qu'il porte une perruque et une moustache aussi. Ironiquement bien que le matériel soit définitivement destiné aux adolescents ils ne le regarderont probablement pas à cause du titre. Ce film ne vaut pas la peine d'être regarder même dans le désordre...

A réserver absolument aux grands amateurs de l'humour "bon marché" de Mike Myers... Appréciant quelques films de cet humoriste (avant d'être acteur) comme Wayne's World ou encore Quand Harriet découpe Charlie, je n'ai pas vraiment accroché à cette comédie-ci, vraiment "too much" dans son style absurde. Le Gourou qui doit sauver le couple d'un joueur de hockey pour lui faire gagner un championnat, pourquoi pas. Ajouter quelques gags drôles comme les titres des livres improbables que ce charlatan de Gourou a écrit (comme "Ça fait mal ? Ne le faites plus.", très bien trouvé), une bonne idée. Mais dès que l'on voit Justin Timberlake en caricature ridicule du québécois, la fin incompréhensible tellement elle est expédiée et facile ( spoiler: la femme décide de revenir en une seconde après avoir vu le Gourou dans un bar... On ne sait pas ce qu'il a mis dans son verre, mais on veut le même cocktail...
), les gags en carton-pâte et surtout (mais alors : surtout !) l'omniprésence voire l'exclusivité des blagues scatophiles et bas de pantalon. Épuisant très vite, car trop redondant. On regrette le style habituel de Myers, moins versé dans le "kiki" que dans l'absurde (qui fonctionne). Les chansons ne sauvent pas le film du naufrage, quasiment tout est raté, même en le prenant au énième degré. Seuls les titres des livre m'auront faite rire, le reste est épuisant de scatophilie puérile.

"Love gourou" ne se caractérise pas par son scénario. Car celui-ci est si maigre qu’il tiendrait aisément sur un timbre-poste. Et encore ! Il resterait de la place tout autour…. Il est simple : spécialisé dans l’amour, Pitka veut devenir le gourou n°1 au monde. Voilà en quoi ça tient. Impressionnant, non ? A partir de là, tout est bon pour parvenir à "devenir calife à la place du calife". Ainsi donc, les facéties de Mike Meyers (qui lui s’est visiblement beaucoup amusé) prennent le pas sur le déroulé de l’histoire. Le résultat est… consternant, rythmé par un humour scato-érotique des plus douteux. La caméra n’a d’yeux que pour ses mimiques de fou du village, des mimiques ornées d’un regard halluciné. "Love gourou" se voulait une comédie caricaturale sur ces fameux meneurs spirituels ? Non seulement rien ne fait rire tellement c’est débile, mais en plus ce film s’est amené les foudres de certaines communautés hindoues. Franchement, il y a de quoi tant le propos va loin dans la potacherie. De grands noms figurent pourtant dans le casting. On notera entre autres un caméo de Val Kilmer. Et comme si cela ne suffisait pas, d’autres noms sont évoqués, comme Brad Pitt et Angelina Jolie. Mais à côté de ça, c’est à se demander ce que Ben Kingsley, Justin Timberlake et Jessica Alba sont venus faire là-dedans, si ce n’est de toucher facilement un cachet sans que le film ait besoin de rencontrer un succès commercial. Il n’empêche que Jessica Alba apporte un certain charme, et les poumons de Prudence (Meagan Good) ainsi que les attributs de Grandé (Justin Timberlake) un peu de relief. Cela ne suffit pas à donner un quelconque intérêt à cette comédie qui n’en a que le nom, bien que Timberlake se démène comme un beau diable sur les scènes dansées, et que Ben Kingsley surprenne son public avec un strabisme à faire détourner le regard du spectateur. Seul Romany Malco (dans la peau de Darren Roanoke) tire à peu près son épingle du jeu, mais son jeu est trop inégal pour sauver ne serait-ce qu’un peu cette pure merveille de débilité sans nom. Le seul avantage de ce film est de voir des phases de jeu de hochey époustouflantes d’adresse et de virtuosité. Bien que ce soit finalement le seule chose que le spectateur peut se mettre sous la dent, pas de quoi fouetter un chat quand même tant tout le reste est synonyme d’incommensurable néant. Il n’y a guère que les fans de Mike Meyers qui peuvent y retrouver leur compte, encore que l’acteur est encore ici dans la lignée des "Austin Powers", en pire. Fuyez donc ce nanar 100% pur jus qui n’a rien pour plaire malgré son côté décérébré pleinement assumé. Sinon, vous risqueriez de jeter votre télé. Pour une fois, la razzia faite aux peux enviables Razzie Awards en 2009 est conforme à la réalité, avec 3 récompenses obtenues (si on peut appeler ça des récompenses) sur 6 nominations (ah ben oui, quand même !) : pire film (Marco Schnabel), pire acteur (Austin Powers) et pire scénario (Austin Powers encore, en partage avec le co-scénariste Graham Gordy).

On aime ou on déteste Mike Myers, car ce love gourou est un pur Mike Myers comme le sont les Austin Power. Donc les mêmes ingrédients, Mike Myers omniprésent, décadent, aux blagues lourdes assumées en dessous de la ceinture, de la vulgarité, du mauvais goût, de l'humour potache ,le tout dans un second degré jubilatoire. On ajoute cependant une vraie histoire, des filles sexy et une multitudes de guest stars. Un film aux moyens conséquents avec de magnifiques costumes et décors et des scènes où on rit vraiment même si ça ne vole pas très haut. Ce love gourou est bonifié par l'interprétation toujours talentueuse, souriante, douce, charmante et ravissante de Jessica Alba et le sex appeal de Meagan Good. Un film et une comédie sympa et légère avec les défauts inhérents au cinéma de Mike Myers.

J'aimais bien Michael Myers dans les "Austin Powers" parce que son personnage se rendait compte de sa ringardise voulue. Ici, son personnage est également ringard. Mais surjoué, l'humour est bas de gamme, poussif et les scènes exagérément longues. L'acteur s'amuse sans nous amuser.

Ce film est une de mes comédies préférées... Ceux qui n'ont pas aimé sont des fans de Céline Dion... A voir en V.O absolument car ce film souffrent du syndrome du doubleur français...

Après les péripéties de Wayne Campbell et de Austin Powers, Mike Myers revient avec un personne de Gourou : le Gourou Pitka.

Il ne faut pas juger ce film ( comme une bonne partie des films made by Mike Myers) comme des films avec un once de subtilité, si on regarde un film de Myers, c'est pour rire, que ce soit graveuleux ou pas.

Ici Love Gourou rempli très bien son boulot, avec des blagues en dessous de la ceinture et des histoires de nains, un film divertissant et rigolo, à regarder sans hésitation avec une bande de pote en fin de soirée (même si les Wayne's World et les 2 premier Austin Powers sont plus réussis).

C'est quoi l'intérêt du film ? Nan parce-que j'ai ri devant Spartatouille, mais là... Ya vraiment RIEN de drôle...

Un film à oublier.

Ce film est un concept : on filme n'importe quoi au hasard pendant de longues minutes, avec des dialogues insensés et Justin Timberlake au milieu. Et Jessica Alba dans le fond à droite. Le but est de faire croire au spectateur que le film est mauvais, mais regardable, alors qu'en fait tes yeux et tes oreilles saignent tellement que tu demandes au ciné de te rembourser ta place (véridique)(mais ils ne m'ont jamais remboursé, soi-disant ils ne sont pas garants de la qualité des films qui passent dans leurs salles...). Alors les producteurs, ils s'en mettent quand même plein les poches.

Nul du début à la fin, rien ne fait rire, il n'y a absolument rien à en tirer. Comment peut-on produire de tels films, on peut se poser la question...

Le navet par excellence ; Marco Schnabel frappe ici très fort !
C'est d'une rare nullité , on se fait chier pendant plus d'une heure et demi et on parvient à se demander ce que font Jessica Alba et Justin Timberlake dans ce genre de sous production à la noix .
Si vous avez l'intention de le voir , un petit conseil : faites une sieste à la place , on s'ennuie moins !!

Quoi qu'on en dise, ce n'est pas ce genre de film qui enchantera la totalité des amateurs de comédie tant la stupidité la plus profonde semble y être bel et bien présente. A la fois bête, crétin, idiot mais aussi puéril, "Love Gourou" s'oublie directement une fois vu ! Rien à en redire de plus, si ce n'est que le réalisateur Marco Schnabel aurait clairement du éviter ce projet qui nuira pour toujours à sa réputation.

Mike Myers n'a pas su aller plus loin que son humour Austin Powers. Et ça fait bien longtemps que ça ne me fait plus rire. A réserver uniquement aux plus gros fans. L'histoire est plus digne d'un téléfilm qu'autre chose. Le casting, de seconde zone, y compris en ce qui concerne les "stars". Un seul passage sort du lot, si on peut dire: le passage avec Mariska Hargitay en guest, c'est d'ailleurs elle, au final, la vraie star du film...!