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    Black Christmas
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    3,5
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    77 critiques spectateurs

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    Kill-Django
    Kill-Django

    42 abonnés 319 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2011
    Tout simplement un chef d'oeuvre du cinéma d'horreur, même maintenant il m'a fait vraiment très peur, surtout les appels du tueur, éffrayant ! Un film vraiment très bien fait, très réaliste, et qui n'a pas du tout vieillit ! A voir vraiment pour les amateurs du genre Slasher et qui aimes les films du même styles comme les Vendredi 13, ou Halloween ou autres.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 613 abonnés 12 377 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2019
    L'un des premiers slashers de l'histoire du cinèma! Bob Clark tournait parfois bien ("Murder by Decree") et parfois mal ("Baby Geniuses"). Mais personne ne pourra lui enlever d'avoir lancer le genre (vue subjective du boogeyman, meurtres d'anthologies, final oppressant...) par une mise en scène brillante et inventive! De plus il y a dans ce slasher du suspense et un air de fête de fin d'annèe, ce qui n'est dèjà pas si mal! Alors pourquoi "Black Christmas" version 1974 paraît vieillot et un poil surcotè même si son rèalisateur met en valeur quelques bonnes idèes ? A croire que le rythme et l'atmosphère lui ont ètè sacrifiès! Sans parler des seconds rôles : Margot Kidder qui cabotine en picolant sec ; Keir Dullea qui peine à convaincre ; John Saxon en flicard pas très concernè! Reste donc l'essentiel et Olivia Hussey, toujours aussi belle même dans la peur! Remake dispensable en 2006! En attendant le nouveau remake 2019 avec Imogen Poots...
    Peichan2
    Peichan2

    60 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2011
    Des scènes assez stressantes, l'effet à la première personne du tueur nous met dans l'ambiance et ce film est bien plus réussi que celui sorti en 2006. A choisir, préférez regarder celui ci !!
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    394 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2014
    Considéré comme le premier slasher de l'histoire du cinéma et étant une source d'inspiration pour bon nombre de cinéastes d'horreur ce "Black Christmas" a forcément attisé ma curiosité, et le résultat est à la hauteur des espérances.
    Le film débute par une séquence en caméra subjective rappelant inévitablement l'intro de "Halloween" de Carpenter, Big John a certainement été marqué par cette scène et cette technique sommes toutes très efficace pour débuter son long métrage. Une menace rôde sur une résidence universitaire, c'est la période de Noël et les étudiantes fêtent le début des vacances, des coups de téléphones sordides viennent perturber la soirée, d'abord peu méfiantes la situation devient macabre suite à la découverte par la police du corps d'une jeune fille non loin du bâtiment. Une de leur amie disparaît et elles se mettent à sa recherche ainsi que son petit ami, mais les forces de l'ordre se montrent impuissants et les meurtres continuent de plus belle, d'où vient cette menace ? Le film distille un suspense de manière efficace dès les premières minutes et ne nous lâche pas d'une semelle, les codes sont certes connus mais le charme de la simplicité du scénario et de la mise en scène opère parfaitement, de plus niveau interprétation pas de place aux clichés du genre, notamment avec une Margot Kidder excellente et un Keir Dullea (mister Dave dans "2001" avec la tignasse de Alex dans "Orange Mécanique") mystérieux, on remarque aussi John Saxon en lieutenant de police, rôle quasi similaire que celui qu'il tient dans "Les Griffes de la Nuit" de Wes Craven, le réalisateur est sans doute un autre vrai fan du film car il s'inspirera des coups de fils psychotiques pour son "Scream". Par contre niveau technique on constate des petites imperfections comme ceux très cliché 70s du steadicam tremblant, des zooms manuels ou du peu de soucis esthétique, mais ça ne reste qu'anecdotique fort heureusement car Bob Clark mise avant tout sur l'ambiance et ça marche admirablement bien. Le dénouement est certes un peu attendu mais demeure tout à fait efficace, la scène finale rappelle une nouvelle fois "Halloween", histoire de boucler la boucle pour l'inspiration de Carpenter envers cette œuvre. "Black Christmas" est un très bon thriller horrifique, il ravira les amateurs du genre, personnellement j'ai passé un agréable moment de tension et de suspense, tout ce que j'en attendais.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    Film canadien connu comme étant le premier slasher (tendance soft, rien de gore dans les scènes de meurtre). Je suis très loin d’être un spécialiste du genre, mais j’ai trouvé que le film ne commençait à faire vraiment peur que dans sa dernière demi-heure, très efficace parce qu’elle se passe à huis clos. Le reste du temps, il y a trop de personnages et de va-et-vient pour que l’atmosphère angoissante puisse s’installer. Le recours à la caméra subjective et aux appels anonymes est un peu trop systématique et paraît assez facile (presque parodique) aujourd’hui, même si j’imagine que ce film est un des premiers à avoir posé ces bases pour les héritiers du genre.
    Bobby Sander
    Bobby Sander

    49 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2011
    4sur5 Largement moins populaire que les Halloween et Vendredi 13, Black Christmas est tenu pour le premier slasher officieux. Il utilise avant eux la révolutionnaire ''caméra subjective'', permettant à l'auditoire d'évoluer dans l'univers du film depuis l'oeil de l'assassin. Pourtant, ce film canadien ne répond pas tout à fait aux clichés qu'imposera sa descendance, en particulier parce que, quoique très cruelles, les morts sont peu nombreuses (et non accompagnées d'artifices sonores), mais aussi parce que le film n'est pas si méthodique ou didactique, encore moins cartésien (il cherche le sens, pas le rationnel pur – aussi personne ne peut penser à inspecter la maison lors d'une disparition, ce n'est pas un problème, l'enjeu et la cohérence du récit ne sont pas là). Il prend son temps, sème le doute (jusqu'à la fin, terriblement tendue, au moins pour le spectateur) et insinue une langueur qui fera défaut dans le genre, ou bien sera confondu avec la propension à scruter chaque détail insignifiant concernant la progression du bourreau ou des victimes (c'est le cas des épouvantables Vendredi 13). Si Black Christmas semble épargné de toutes les graisses attribuées au slasher contemporain (alors même qu'il en est précurseur), c'est parce qu'il est, comme Bloody Bird (italien et autrement plus dionysiaque), loti entre deux univers.
    Le contexte (tueur sadique s'en prenant exclusivement à des femmes, qui plus est dans un lieu confiné) évoque le giallo [dont les codes ont été initiés et sublimés par Mario Bava puis Argento] et Black Christmas pourrait d'ailleurs être considéré comme le pendant américain de ce genre italien. Moins gore et violent, le film n'en demeure pas moins radical par ses choix esthétiques, son climat anxiogène, ses plans serrés et sa mise en scène relativement baroque. En outre, le mode opératoire des crimes est similaire, l'acte comme l'objet de la prise de vue (fixation sur les mains du tueur, à l'occasion son visage dans l'ombre).
    L'intrigue se déroule quasi exclusivement à l'intérieur d'une sororité ou moralité et rigueur sont bannies. Ces filles boivent, baisent éventuellement, profitent de la vie, avortent parfois ; certaines sont effrontées et irresponsables et leur ''mère-supérieure'' est une alcoolique totalement débonnaire et insouciante. L'assassin est comme le bras droit des valeurs morales ; on nous laisse croire que cette absence d'éthique est le déclencheur de ses méfaits. Ce tueur pervers et désaxé ressemble peu à ses successeur Jason et Michael Myers. Alors que ceux-ci sont invincibles et mutiques, lui est déséquilibré, émotionnel, expressif, et inquiète d'abord par ses effusions délirantes et ses menaces obscènes
    Pas totalement oublié, le film a eu le droit à son remake lors de la vague des 2000's (en 2006), lequel a reçu un très mauvais accueil, mauvais au point de ne pas trouver de distributeur en France.
    Mulder13
    Mulder13

    23 abonnés 866 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2010
    J'ai découvert ce classique (un peu oublié?) de l'épouvante suite au du visionnage de son calamiteux remake. Dans ce film, on voit poindre les futurs Halloween (dont l'intrigue est proche) et autres. L'ambiance des années 70 colle parfaitement au genre, on ne voit plus des films aussi marquants de nos jours, dommage. Le film en lui-même reste un peu trop "soft", je n'ai pas vraiment ressenti d'angoisse.
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 225 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2013
    Ca se regarde,mais le film a quand meme pris un sacré coup de vieux.
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2009
    une espèce d'Alien au pensionnat de jeunes filles, très bonne surprise que ce film réellement horrifique quoique pas dénué d'humour (très noir bien sûr), il mérite d'être bien davantage connu, le scénario est très habile, les bonnes idées ne manquent pas, et on est vraiment effrayé !
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2013
    Un des premiers slashers de l'histoire(à vérifier) en provenance du Canada,et qui démontre désormais à quel point "Halloween" et surtout "Scream" ont été influençés par lui. "Black Christmas"(1974) se déroule presque à huis clos dans un pensionnat de jeunes filles,où un tueur se met à sévir de façon incontrôlée. Ce boogeyman est particulièrement inquiétant entre sa multi-personnalité,sa planque dans le grenier et sa vision subjective. L'atmosphère est particulièrement soignée,le décor du manoir rococo agissant comme un catalyseur des forces néfastes. Les appels téléphoniques incessants représentent la clé du récit,les différentes voix du tueur sont déconcertantes. On navigue entre schizophrénie complète et infantilité morbide. Les jeunes filles se font bien évidemment décimées les unes après les autres dans des meurtres des plus inventifs(la licorne en cristal...). Il y a aussi un humour souvent bien vu,qui balançe par exemple sur la police incompétente,et sur la soi disant virginité de ces filles. Entre tension légère soulignée par la musique et aspects plus ludiques,ce slasher n'a rien à envier aux plus connus des années 70.
    Oxymetal
    Oxymetal

    86 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juillet 2014
    Considéré par les experts comme étant le véritable 1er "Slasher" de l'histoire, "Black Christmas" pose effectivement les bases d'un genre aujourd'hui largement représenté. On retrouve notamment un "Boogeyman" énigmatique assez suggéré avec des plans subjectifs à travers les yeux du tueur (Rappelant forcément "Halloween") ou encore des appels téléphoniques obscènes avant de passer à l'acte (Rappelant aussi un certain "Scream"). Si l'histoire principale tient plutôt la route, le film du Canadien "Bob Clark" souffre malheureusement de quelques longueurs intempestives et de meurtres finalement assez en retraits. Mais pour un métrage datant de 1974, "Black Christmas" assure le minimum syndical en distillant un Suspense et une ambiance bien sentie sans trop en rajouter. Et même si l'œuvre n'arrive jamais à hauteur des ténors du genre, "Black Christmas" reste bel est bien l'ancêtre du "Slasher Movie" !
    Thibault F.
    Thibault F.

    51 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 décembre 2017
    Black Christmas est la pierre angulaire des slashers. C'est surtout une source d'inspiration importante de John Carpenter pour son Halloween. Disons que l'oeuvre de Bob Clark est un brouillon qui ne déroule pas suffisamment son potentiel. Black Christmas est assez mauvais. Par le ridicule de sa situation, par la naïveté de ses personnages ou pas le manque de moyen. C'est une oeuvre qui laisse le spectateur dubitatif malgré quelques bonnes idées mais qui seront exploités successivement par d'autres franchises plus efficaces. A commencer par son introduction intrigante autour d'un cadre unique, une maison isolée qui s'apparente à une colocation entre filles pour noël. Sauf que rapidement, cette période des fêtes n'apporte aucune plus-value au récit. Mais alors, pourquoi donc proposer ce film à cette époque ? Pour la douceur des lumières et la chaleur de son foyer ? Il faut creuser (encore) plus loin. Les appels téléphoniques obscènes et dérangeants apportent un vent de fraîcheur sur cette production. C'est un moyen de "réveiller le spectateur" entre des longueurs interminables constituées de dialogues creux. Le film n'est absolument pas terrifiant et ronronne après 10 mn. Un black Christmas qui ne tient qu'à son nom. Affligeant, obsolète. Il y a franchement mieux dans le genre même si celui-ci conserve le titre de pionnier.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    680 abonnés 2 990 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 décembre 2019
    En dépit des œuvres aujourd’hui fort célèbres qu’il a enfantées, Black Christmas demeure un choc à part entière qui n’a rien perdu de son impact esthétique et dramatique. Car le propos développé par le long-métrage de Bob Clark résonne encore dans notre actualité : une femme refuse de porter l’enfant qu’elle a conçu avec son compagnon et prend la décision d’avorter ; autour de ce choix s’articule le récit tout entier, récit qui s’apparente à une tragédie contemporaine où l’espace de la maison – que nous ne quittons qu’à de rares occasions – reflète le drame maternel qui s’y joue. Les pensionnaires de la maison incarnent toutes des déclinaisons de cette femme qui refuse d’être mère et qui affirme son droit à disposer de son corps comme elle l’entend ; elles semblent en effet sans attaches et déambulent librement, allant jusqu’à planifier un voyage au ski. Dès lors, le corps masculin s’offre à elle(s) comme un danger qui n’a de cesse de roder dans la maison comme le loup dans une bergerie. Lorsqu’il découvre la chambre de sa fille, le père entend corriger cette dernière, la faire rentrer dans le droit chemin afin de remédier à ses affiches provocatrices, à ses amours de jeunesse synonymes de perversion. De même le petit-ami que l’héroïne refuse d’épouser représente-t-il une menace : nous le voyons détruire un piano, supplier celle qu’il aime de garder l’enfant. Et si le doute sur l’identité du meurtrier persiste en fin de long-métrage, c’est justement parce que du tueur il n’y a ici que l’idée, l’abstraction qui traduit la lutte à mort d’un masculin violent contre un féminin soucieux de s’émanciper. Du tueur nous ne percevons que l’œil, organe voyeur qui surveille les résidentes. Drame intestin où les adolescentes sont étouffées – symbole de leur condition suffocante –, Black Christmas n’oublie pas de livrer une petite leçon de mise en scène : outre son idée géniale de suggérer la focalisation interne par le recours à une caméra embarquée – John Carpenter la reprendra dans Halloween –, il met en tension le mouvement balbutiant de la menace avec la stabilité apparente qui règne dans la maison. Le téléphone apparaît comme l’élément perturbateur qui relie menace extérieure et for intérieur, signe d’un investissement de la maison par la thématique d’un mal endémique, d’une tragédie de l’enfantement comme miroir tendu à un âge tiraillé entre aspirations libertaires et vie de famille rangée. La sonnerie remplace la musique, compose une ambiance anxiogène et curieusement familière ; elle préfigure également ce que la femme peut avoir de mécanique, à l’instar de ses règles ou, dans le cas du personnage principal, des règles qu’elle n’a plus. Le rythme naturel du corps se voit mutilé par les sons stridents d’un appareil qui envahit peu à peu l’espace, légitime une mise sur écoute des femmes par la police, jusqu’à cette question indiscrète mais exigée par le contexte : « qu’est-ce que cela veut dire ? Il va falloir nous expliquer »… Petit bijou d’irrévérence, Black Christmas marche contre les traditions, brosse le portrait d’un Noël sanglant et infécond qui refuse la venue du Messie au nom d’un droit de la femme à disposer d’elle-même. La clausule enferme le film et son thème dans une boucle tragique qui empêche le cauchemar de se résoudre : le plan de fermeture rejoint celui d’ouverture. Quelques longueurs viennent étirer inutilement une œuvre par ailleurs audacieuse et très intelligente qu’il convient de (re)découvrir de toute urgence.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 avril 2014
    J'ai été agréablement surpris: l'ambiance est particulière et on stress. C'est l'ancêtre de scream. On se met dans la peau du tueur comme dans Halloween.
    christophe117
    christophe117

    8 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2015
    Quand on découvre ce film en 2015, la camera subjective n'est plus une innovation captivante ou effrayante. Aussi, avec le papier-peint jaune à fleurs, l'ambiance New Age, les revers des costumes extra-larges et les téléphones d'époque, le film a pris un sérieux coup de vieux. La ficelle du tueur qui appelle ses victimes ou les manières de les tuer ne peuvent être que redondantes après des centaines de films faits depuis. Le scénario et la psychologie est à peine au-dessus de beaucoup de navets actuels dans le genre.
    J'étais par exemple persuadé, lorsque le couple principal du film (Peter et Jessica) discutent dans la salle de piano, qu'il s'agissait de théâtre tant la pose et les répliques étaient caricaturales... "La" discussion sur l'avortement : "c'est mon corps, je décide" vs. "tu vas pas tuer mon bébé"...
    La fin est habile néanmoins, et l'on sourit quelques fois.
    A voir plus pour la culture que pour se faire peur.
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