AlloCiné
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Votre avis sur Gazon maudit ?
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Laurent trompe sa femme car un homme a des besoins à satisfaire. Mais quand c'est Loli qui se met à le tromper, et de plus avec une femme, l'affaire prend une tout autre tournure pour Laurent.
Je m'en souvenais comme d'une grosse comédie mais le film est bien plus dramatique qu'il n'y paraît. Bien sûr il y a des passages comme le coup de boule qui m'ont fait rire comme à l'époque, mais il y en a aussi d'autres qui m'ont beaucoup touché. Et notamment lorsque Antoine évoque la tromperie de trop qu'il a infligé à sa femme et qui l'a conduite à partir avec ses enfants il y a 12 ans.
D'ailleurs, Ticky Holgado est une fois de plus saisissant de sincérité; je m'en rends compte à chaque re-visionnage d'un de ses films quel grand acteur il était.
Alain Chabat est très bon. Son raisonnement de macho est totalement tordu mais combien ont le même discours ?
Bref, un chouette film, une chouette comédie dramatique.
Je m'en souvenais comme d'une grosse comédie mais le film est bien plus dramatique qu'il n'y paraît. Bien sûr il y a des passages comme le coup de boule qui m'ont fait rire comme à l'époque, mais il y en a aussi d'autres qui m'ont beaucoup touché. Et notamment lorsque Antoine évoque la tromperie de trop qu'il a infligé à sa femme et qui l'a conduite à partir avec ses enfants il y a 12 ans.
D'ailleurs, Ticky Holgado est une fois de plus saisissant de sincérité; je m'en rends compte à chaque re-visionnage d'un de ses films quel grand acteur il était.
Alain Chabat est très bon. Son raisonnement de macho est totalement tordu mais combien ont le même discours ?
Bref, un chouette film, une chouette comédie dramatique.
Le côté comique de ce film est sympathique mais les scènes sont répétitives, ce qui lasse et ennuie le spectateur au bout d'un moment.
Très belle comédie dramatique.
Une histoire peu commune finalement à laquelle on s'y attache avec quelques rebondissements qui permettent de rythmer cette comédie.
Les personnages ont très bien été interprété par les acteurs et actrices qui ont y joué.
On s'attend peut être à une comédie dramatique avec peu d'actions et bien au contraire, les séquences étaient remarquables et sans ennui.
Une histoire qui passe par tous les moyens, entre rire et peine qui nous laissent pas sans voix.
Très belle mise en œuvre d'un triangle amoureux qui n'échappe pas à la complexité du personnage de Loli parfaitement interprètée par Victoria Abril.
Une comédie à voir et ou à revoir, car on s'en lasse pas des répliques et des scènes comiques. Et qui laisse à croire qu'on est pas toujours prêt à ce qu'il nous arrive dans la vie.
Une histoire peu commune finalement à laquelle on s'y attache avec quelques rebondissements qui permettent de rythmer cette comédie.
Les personnages ont très bien été interprété par les acteurs et actrices qui ont y joué.
On s'attend peut être à une comédie dramatique avec peu d'actions et bien au contraire, les séquences étaient remarquables et sans ennui.
Une histoire qui passe par tous les moyens, entre rire et peine qui nous laissent pas sans voix.
Très belle mise en œuvre d'un triangle amoureux qui n'échappe pas à la complexité du personnage de Loli parfaitement interprètée par Victoria Abril.
Une comédie à voir et ou à revoir, car on s'en lasse pas des répliques et des scènes comiques. Et qui laisse à croire qu'on est pas toujours prêt à ce qu'il nous arrive dans la vie.
Mythique, drôle, très bien réalisé. Je ne me lasse pas de le revoir !
Un sujet très bien amené et des personnes plus vraies que nature.
Un sujet très bien amené et des personnes plus vraies que nature.
Très bonne comédie dramatique , qui a su mettre en avant à l époque un sujet qui aurait pu être très casse gueule. Les clichés que l’on peut y trouver , sont présents pour mieux être cassés. ( non Balasko n’a pas un regard primaire sur le milieu homosexuel féminin,bien au contraire ) les acteurs sont justes et je mettrai à l honneur ticky olgado qui dans ce rôle sait être aussi drôle que très touchant .
Cette comédie à trois personnages, qui tourne au ménage à trois, s'attache autant à défendre la cause de l'homosexualité qu'à s'en amuser. Dans le premier cas, Josiane Balasko décrit un modèle de société aux allures caricaturales mais sans doute répandu: l'attitude d'un époux volage imbu de ses prérogatives masculines au point de trouver légitime la soumission conjugale de sa femme.Jusqu'au jour où celle-ci découvre la tendrese d'une autre femme.
Balasko n'est jamais pontifiante, pas plus qu'elle n'est vulgaire. Parfois même des moments d'amertume se glissent dans la comédie pour signifier le désarroi amoureux du trio. Cette rupture de ton, où l'on devine de la sensibilité, n'est pas cependant nécessairement touchante parce qu'elle provient, d'une part, d'un regard convenu, et que, d'autre part, Alain Chabat a quelques difficultés à passer de la comédie à plus de rigueur sentimentale. En revanche, le comédien échappé des Nuls est très drôle quand il incarne sans retenue l'homme blessé dans son orgueil, le macho destabilisé et incapable de gérer une situation inattendue. C'est sur lui que repose en grande partie la comédie, indépendamment du talent de Josiane Balasko et de Victoria Abril dont les personnages sont soit trop caricaturaux (Balasko en camionneur) , soit peu crédibles (Abril cédant complaisammant au charme de la nouvelle venue et intruse)
Sur la forme, le film se regarde comme un vaudeville.
Balasko n'est jamais pontifiante, pas plus qu'elle n'est vulgaire. Parfois même des moments d'amertume se glissent dans la comédie pour signifier le désarroi amoureux du trio. Cette rupture de ton, où l'on devine de la sensibilité, n'est pas cependant nécessairement touchante parce qu'elle provient, d'une part, d'un regard convenu, et que, d'autre part, Alain Chabat a quelques difficultés à passer de la comédie à plus de rigueur sentimentale. En revanche, le comédien échappé des Nuls est très drôle quand il incarne sans retenue l'homme blessé dans son orgueil, le macho destabilisé et incapable de gérer une situation inattendue. C'est sur lui que repose en grande partie la comédie, indépendamment du talent de Josiane Balasko et de Victoria Abril dont les personnages sont soit trop caricaturaux (Balasko en camionneur) , soit peu crédibles (Abril cédant complaisammant au charme de la nouvelle venue et intruse)
Sur la forme, le film se regarde comme un vaudeville.
J'aime énormément ce film, il est pour moi, un classique de l'humour. Des punchlines inoubliables. Chabat magnifiquement drôle et de mauvaise foi, une victoria abril d'une beauté absolue, Balasko dans le rôle de la lesbienne camioneuse et ticky holgado drôle et émouvant à la fois. Un excellent moment que je ne me lasse pas de révisioner.
C'est plutôt drôle, c'est très cliché mais en même temps assez réaliste d'une certaine partie de la communauté lesbienne. Les personnages sont tous très caricaturales ce qui donne une allure niaise et kitsch selon moi assumé. Cette fin absurde est un marqueur de la légèreté du film qui n'a aucune autre ambition que de faire rire. L'image est très très classique et le scénario n'a rien d'intéressant. Donc voilà ça se regarde comme un téléfilm dont on n'attend rien :)
ce film est pour moi un de mes meilleurs. pleins d humour de tendresse et d amour... la période adulte, l amour et la passion sont des éléments difficiles à maîtriser. il a beau avoir plus de 20 ans il ne se demode pas. bravo aux acteurs
Je n'ai pas aimé, c'est un des mauvais films lesbienne que j'ai vu, le scenario , du n'importe quoi, des lourdeurs à tout instant, meme le jeu des acteurs en est affecté, Victoria Abril , J Balasko sauvent un peu la mise, j'ai trouvé le jeu d'Aalin Chabat tres moyen
Un film qui a très mal vieilli, dialogues mauvais. Dommage pour les acteurs, que j'aime beaucoup et qui s'en sortent comme ils peuvent.
Un quatuor d'actrices -acteurs incroyablement bien joués, dans une comédie cynique assez bonne, qui n'a pas pris une ride, et dont le thème est toujours autant d'actualité !
Coup de chance ou révélation tardive ? Avec De l’autre côté du lit, voici la deuxième comédie française que je vois en peu de temps où les réflexes culturels s’en prennent plein la figure et où l’on se voit proposer des solutions progressistes à des problèmes ancrés depuis looooongtemps dans notre culture du couple. Et oui, on va parler de sexe et de tromperie (que serait le genre sans ça), et si la présence de Balasko derrière la caméra et le scénario laisse à tout le moins présager de la provocation, c’est une autre paire de manches de deviner que le film va parler d’homosexualité et surtout... de polyamour (à moins qu’on le connaisse sous le titre allemand bien fétichisant de "Une femme pour deux").
Ce n’est pas le mot utilisé, mais le concept est le même : les personnages convergent tous malgré eux vers un couple à trois que la jalousie et l’insécurité, néanmoins, leur rendent inaccessible. L’ironie des critères de genre est attaquée brièvement ("fantasmer sur les couples lesbiens c’est sympa, mais une femme qui fantasme sur les gays c’est vulgaire"), mais c’est avant tout la masculinité toxique du personnage de Chabat qui est terrifiante quand elle atteint son paroxysme. Pourtant c’est censé faire rire (sans subtilité aucune d’ailleurs), mais c’est d’une violence grinçante qui porte longtemps l’histoire.
Le tout devient lourd et bizarre à la longue ; car trop progressiste peut-être, mais avant tout parce que le besoin du film de trouver son public a voulu qu’on le badigeonne de caricatures jusqu'au ridicule, au point qu’il semblera presque s’excuser d’avoir touché aux ô combien précieuses habitudes françaises. Les situations se suivent et ne se ressemblent pas, dans le but sans doute de proposer le maximum de pistes de réflexion, mais on se disperse jusqu'à perdre le fil. Il n’y aura pas de morale, juste un happy end qui recoud tout en vitesse pour alléger l’atmosphère après une heure et demi de colère et de frustration. Dommage que les idées socialement visionnaires de Balasko doivent retomber finalement dans un fantasme puéril avec un ton fétichiste borderline, mais elles ne sont pas tombées dans l’œil d’un sourd.
Ce n’est pas le mot utilisé, mais le concept est le même : les personnages convergent tous malgré eux vers un couple à trois que la jalousie et l’insécurité, néanmoins, leur rendent inaccessible. L’ironie des critères de genre est attaquée brièvement ("fantasmer sur les couples lesbiens c’est sympa, mais une femme qui fantasme sur les gays c’est vulgaire"), mais c’est avant tout la masculinité toxique du personnage de Chabat qui est terrifiante quand elle atteint son paroxysme. Pourtant c’est censé faire rire (sans subtilité aucune d’ailleurs), mais c’est d’une violence grinçante qui porte longtemps l’histoire.
Le tout devient lourd et bizarre à la longue ; car trop progressiste peut-être, mais avant tout parce que le besoin du film de trouver son public a voulu qu’on le badigeonne de caricatures jusqu'au ridicule, au point qu’il semblera presque s’excuser d’avoir touché aux ô combien précieuses habitudes françaises. Les situations se suivent et ne se ressemblent pas, dans le but sans doute de proposer le maximum de pistes de réflexion, mais on se disperse jusqu'à perdre le fil. Il n’y aura pas de morale, juste un happy end qui recoud tout en vitesse pour alléger l’atmosphère après une heure et demi de colère et de frustration. Dommage que les idées socialement visionnaires de Balasko doivent retomber finalement dans un fantasme puéril avec un ton fétichiste borderline, mais elles ne sont pas tombées dans l’œil d’un sourd.
GyzmoCA
C'est avec un réel plaisir que j'ai revu Gazon Maudit, un des premiers films LGBT du cinéma français. Victoria Abril est sublime et sexy en femme perdue entre son mari (Alain Chabat) et la nouvelle venue Lesbienne au physique de camionneur (Josiane Balasko). Les répliques claquent et nous font rire très souvent. Alain Chabat, est dans un des ses premier rôles, a gardé son fort coté marrant de "Les nuls". Son jeu s'améliorera avec ses films suivants.
Josiane Balasko livre une comédie hilarante avec une vraie histoire de fond. Bravo !
Josiane Balasko livre une comédie hilarante avec une vraie histoire de fond. Bravo !
Réalisée et interprétée par Josiane Balasko, cette comédie sortie en 1995 aborde sans complexe l’homosexualité féminine. Une épouse délicate (Victoria Abril), délaissée par son mari infidèle (Alain Chabat), tombe amoureuse d’une lesbienne très virile (Josiane Balasko dans ce qui reste l’un de ses meilleurs rôles au cinéma). Cette situation débouche sur la cohabitation d’un ménage à trois. Proche de la caricature mais jamais vulgaire, le récit possède un fond à la fois drôle et émouvant. Bref, une œuvre fraiche, libertaire et délicieusement comique.
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