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Un visiteur
3,0
Publiée le 12 novembre 2014
On passe un bon moment mais même si Dujardin est génial le film est loin du chez d oeuvre. L histoire est assez prévisible ; on se lasse des rebondissements et blagues à répétition.
Dans ce nouvel opus de OSS 117, Hubert Bonisseur de La Bath nous revient au meilleur de sa forme. Pour notre plus grand plaisir, il se révèle plus misogyne, raciste et bête que jamais. Après Le Caire, l'agent secret incarné par l'excellent Jean Dujardin est envoyé au Brésil, sur les traces d'un ancien nazi en fuite. L'occasion pour lui de croiser pleins de méchants de pleins de nationalités différentes, de tenter de déjouer leurs pièges (souvent avec insuccès) et surtout de nous offrir de francs moments de rigolade. Avec une réalisation toujours aussi élégante, un deuxième épisode peut-être encore plus réussi que le premier.
Aimable et distrayant pastiche de la série des James Bond, s'appuyant sur un des héros de la littérature française des romans d'espionnage des années 60, mais en le caricaturant. On passe un bon moment. Dujardin est très efficace en macho niais et pédant et il y a quelques bonnes trouvailles, comme par exemple "double 1, 7"... surtout si on sait que Jean Bruce a créé OSS 177 un peu avant que Ian Fleming n'imagine James Bond 007
J'ai bien aimé ce film, avec quelques scènes vraiment marrantes et une intrigue qui arrive toujours à maintenir l'attention, ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas. Ce que j'ai vraiment beaucoup aimé, c'est l'ambiance "sixties", que ce soit au niveau des décors, des accessoires, des costumes ou de la mise en scène, c'est vraiment très réussi : jusque dans les plus petits détails. La bande son est également excellente, ce qui ne gâche rien. Une plutôt bonne surprise!
Une suite de très bonne facture, peut-être meme meilleure que la première, qui nous fait passer un agreable moment devant les déboires de cet espion miso. Des repliques cultes, des moments cultes, un personnage culte ! J espéré vraiment qu il y aura un troisième épisode.
Pour ce second opus, OSS 117 s'exile à Rio, en emportant dans ses valises le même humour dévastateur et son catalogue de répliques machos poilantes. Jean Dujardin, toujours en grande forme, rempile avec une certaine réussite. Cependant, on dénote un scénario assez pauvre et un humour qui s'essouffle sur la fin. OSS 117 : une franchise divertissante où l'on rit de bon cœur.
Après le succès commercial et critique du premier volet des aventures de notre héros au long nom, il était à prévoir qu'une suite sortirait. On prend donc les mêmes, devant (Jean Dujardin) et derrière la caméra (Michel Hazanavicius), et on recommence. Les mêmes recettes sont appliquées, avec un humour identique et un résultat similaire. Par contre le vent de fraîcheur provoqué par le premier opus a disparu, ce qui diminue un peu l'intérêt que l'on peut porter au long-métrage. On a plus l'impression d'assister à une redite des évènements du Caire, sauf que là on se trouve à Rio et les ennemis sont des nazis. L'ensemble fonctionne clairement moins bien, mais quelques scènes valent tout de même le détour : la course-poursuite dans l'hôpital entre OSS 117 et le méchant. Au final, pas de quoi en faire tout un plat.
Si le premier film était excellent en tout point, celui ci malheureusement ne l'est pas autant. Jean Dujardin rempile toujours aussi bien dans le rôle, toujours loufoque, toujours l'humour bof c'est bon. La réalisation elle aussi est plutôt sympa mise a part l'over dose de scènes mosaïque. Au début sa passe mais a force sa devient lourd. Coté histoire c'est moins bien que le premier à mon gout, on y retrouve certaines touches par si par là mais c'est pas aussi pertinent. C'est dommage car sa aurait pu être beaucoup mieux.
Encore plus absurde, encore plus politiquement incorrect le meilleur agent secret français revient pour traquer du nazi au brésil. On trouve des répliques vraiment hilarantes et Jean Dujardin joue parfaitement le mec de plus en plus à la ramasse dans un monde qui change. La parodie des anciens films d espionnage est toujours aussi amusante. Le soufflet retombe légèrement dans les 20 dernières minutes mais Rio ne répond plus reste une formidable comédie.
Passé la surprise du début (quand on n’a pas vu le premier OSS), on se laisse facilement emporter par ces aventures brésiliennes. Du rire, de l'action, de la belle mise en scène, une ambiance rétro parfaitement reconstituée, un personnage misogyne, réac, raciste, et pas très intelligent (ce qui change du politiquement correct) que l’on continue de trouver sympathique grâce au charme de Jean Dujardin et parce que le trait n’est (presque) jamais forcé, des beaux décors, des répliques qui font mouche, des scènes d’anthologie (la course-poursuite à l’hôpital ou le barbecue de crocodile par exemple). Enfin une comédie drôle, décalée, originale et intelligente. Un bon moment.
Jean Dujardin en mode Belmondo, références au film ''la mort aux trousses'' de Alfred Hitchcock, autant vous le dire tout de suite .. si vous avez aimé le premier volet vous avez peu de chances de ne pas adhérer à celui-ci. Primo, Michel Hazanavicius est un bon réalisateur Français, on retrouve la richesse et la fraicheur qu'avaient les films d'antan en France, au mélange d'espions Anglais ect... Même à Rio, le Nazisme qui était le cas de première figure dans le précédent revient dans cet opus pour une aventure déjanté, encore plus décalé et poussif, et c'est en cela que le film est réussi. Les acteurs sont très bons, le scénario captivant, les dialogues exquis, l'humour toujours aussi jouissif et les musiques une fois de plus entrainantes et sympathiques. Difficile de dire s'il est supérieur ou inférieur à son prédécesseur, et si Hazanavicius à fait mieux à ce jour (The Artist) il ne faut en aucun cas bouder son plaisir pour celui-là, si vous avez apprécié le premier je vous conseille de voir: Rio ne Répond Plus. Quelques fous rires seront au rendez-vous, avec son coté parodique et second degré.
Une suite aussi drôle que le premier volet avec un Jean Dujardin parfait, Louise Monot bonne actrice également, belle ambiance, beaux paysages, beaux Chinois et beaux nazis. Une bonne dose d'humour noir également. Juste l'effet de surprise en rien et les rôles secondaires sont moins intéressants (sauf Alex Lutz).
Après un premier volet parfaitement réussi, Michel Hazanavicius parvient à se renouveler tout en conservant l’essence de ce qui faisait le succès d’OSS 117. Mieux encore, il se repose encore plus sur l’humour caustique et la critique de la société française réactionnaire, aboutissant à d’exquis dialogues dignes de Jacques Audiard. Il faut dire que le caractère de l’agent secret, peu contesté dans les années 50, paraît tout à fait incongru quand il est confronté aux hippies, magnifiant encore plus sa crétinerie butée. Mais ce qui fait la qualité de ce film, c’est aussi la façon qu’il a de rendre hommage au genre étudié sans sombrer dans la parodie. Le réalisateur fait ainsi intervenir une infinité de procédés typiques du cinéma français populaire des années 60, que ce soit au niveau de la mise en scène, des costumes, des éclairages ou des rebondissements scénaristiques, à tel point qu’on croirait sans problème avoir affaire à un de ses représentants, et l’un des plus réussis qui plus est. Là est le grand talent de Hazanavicius, cet œil et cette cinéphilie qui, associées, l’autorisent à recréer à la perfection des univers chers au septième art mais qui se sont effacés suite à sa fatale évolution. De "Le grand détournement – La classe américaine" à "The Artist", sa filmographie est un témoin de cet amour éprouvé pour le cinéma.
Presque encore mieux réussi que le premier , L'humour est toujours au rendez vous et les répliques sont cultes ! Cette fois-ci direction Rio avec forcement de nouveaux décors et une ambiance différente du caire. On se régale , on en demande un troisième tant on comblé après vu le film . si vous aimez le premier , le deuxième vous ravira a coup sur !
Une suite qui assure. On reprend les mêmes éléments que le premier mais c'est plus varier en réalité. L'histoire se déroulant à Rio, OSS 117 ( Hubert ) se doit de coopérer avec le Mossad pour retrouver une liste de collaborateurs durant la Seconde Guerre. L'histoire me plaît déjà. On sait que la maladresse de l'espion français fera ( une nouvelle fois ) des ravages. Le meeting entre les dirigeants du renseignement d’Israël est hilarant. " Le nez... La bouche... " Le regard suspicieux qu'on lui lance ne fait que renforcer notre attachement à ce film. Hazanavicius ose tout, mais pas en mal. Il y aurait pu y avoir une polémique autour de ce film mais non. Cette comédie fait rire et ne cherche seulement qu'à faire rire. Plusieurs scènes demeurent mémorables : La plus culte me semble être celle où Hubert retrouve son vieux pote Bill, et du trajet qui s'ensuit juste après... Que dire ? Qu'est ce qui est le plus poilant ? La série d'insultes ? Le rire niais d'OSS 117 ? Ou encore le fameux " Kiss my ass " et la réponse qui vient ? Si vous ne rigolez pas à cette scène, il y en a forcément une qui vous plaira. C'est sans doute ça la force de cette suite : Jamais l'absurde ne s'estompe. Tout est encore parodié à merveille : Les combats, les phrases cucu, les femmes des 60's, les Nazis... On ne s'en lassera sans doute jamais. Le potentiel de cette suite est inouïe, on aurait pu craindre une suite des plus décevantes, qui ne trouverait pas les ressources suffisantes, mais que nenni, le film assure et conquis.