AlloCiné
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Votre avis sur Une Vérité qui Dérange ?
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Documentaire ou Al Gore parle des urgences climatiques, urgence, je me marre, Picard nous averti en 1970, là on est averti en 2006 et même 20 après, toujours rien, Nous avons la solution mais vous n'en voulez pas, foutu nous sommes.
Le film "Une verité qui dérange" est un film documentaire à la fois interessant et frissonnant... Ce film aborde le thème sur le réchauffement de la planète, expliqué clairement par Al Gore, l'ex-futur président des Etats-Unis. Al Gore nous montre très bien les conséquences de la pollution dans un avenir prochain et nous encourage à changer de comportement envers la planète pour éviter le dérèglement des climats, la disparition des espèces et la prolifération des nouvelles maladies. Très instructif, ce film! Les photos ou les images sont surprenantes et inquiétantes.... Al Gore critique implicitement le laxisme et l'indifference des Etats Unis à l'écologie. On y apprend beaucoup de choses. Le but de ce film est de nous déclencher la prise de conscience des terribles conséquences du réchauffement climatique pour les futures générations. Par contre, je ne vois pas d'intéret à parler de la vie privée d'Al Gore, de l'histoire de la famille des Al Gore... C'est un peu maladroit mais bon... à voir, ce film !
Une présentation pédagogique illustrée d'images saisissantes, d'études scientifiques probantes et de projections révoltantes. Al Gore, au-delà d'une attaque politique (matinée d'humour!) contre l'indifférence ou les contre-vérités du gouvernement américain, utilise cette tribune pour questionner chaque citoyen quant à l'impact individuel sur le réchauffement climatique indéniable qu'il peut (et doit!) initier. Même si la forme de cette tribune est fort peu cinématographique, se résumant en majorité à une conférence, son intérêt civique et l'urgence de son message prévalent sur toute considération d'ordre rythmique ou esthétique. Indispensable.
Le documentaire prend aux tripes. Monsieur Gore fait tout ce qu'il peut pour sauver la planète et par son exemple donne le courage, et pour moi la rage pour lutter contre les forces destructrices de l'humanité. Cette bataille il est vital de la gagner.
Une révélation d'une évidence (catastrophique). un chamboulement dans mes convictions et pour mon chemin de vie : la réalité dérange toujours les (climato)sceptiques
Une vérité qui dérange est un bon documentaire sur l'environnement.
Les informations sont bien renseignées. Le présentateur (Al Gore) est assez charismatique.
Alors, certes, le message est relativement traditionnel, un peu démagogique et peu surprenant (on ne demande pas de la part de ce genre de film qu'ils nous surprennent en prônant le climato-scepticisme).
On ne s'ennuie pas trop, mais on ressort du film surtout affligé que George W. Bush ait été élu à la place d'Al Gore (et ce, de manière très très contestable).
Les informations sont bien renseignées. Le présentateur (Al Gore) est assez charismatique.
Alors, certes, le message est relativement traditionnel, un peu démagogique et peu surprenant (on ne demande pas de la part de ce genre de film qu'ils nous surprennent en prônant le climato-scepticisme).
On ne s'ennuie pas trop, mais on ressort du film surtout affligé que George W. Bush ait été élu à la place d'Al Gore (et ce, de manière très très contestable).
4.5, pourquoi ? Avant tout pour remonter la note descendue par les climatosceptiques qui n'attaquent le film que par des "c'est pas un film" ben non c'est une conférence filmée, on le dit dès le début et le synopsis mais faut savoir lire, ou "Al Gore a un ranch où il dépense de l’électricité" et ta dernière facture EDF c'est 12€ ? Bref pas d'arguments tangibles, pertinents ou sur le contenu, bref du vide.
On peut reprocher le côté monologue, mais c'est le propre d'une conférence donc non. Du coup c'est un peu chiant, certes, un peu alarmiste aussi, mais sans les opposants si nombreux, si bornés et si acharnés, peut être que cela irait mieux aussi. Perso ça m'a plu car ça repose sur des faits, non démentis jusqu'à présent, mais se cacher derrière un écran est plus facile qu'agir...
On peut reprocher le côté monologue, mais c'est le propre d'une conférence donc non. Du coup c'est un peu chiant, certes, un peu alarmiste aussi, mais sans les opposants si nombreux, si bornés et si acharnés, peut être que cela irait mieux aussi. Perso ça m'a plu car ça repose sur des faits, non démentis jusqu'à présent, mais se cacher derrière un écran est plus facile qu'agir...
Alexarod
Allez on essaie de remonter un peu la note, vu que beaucoup qui ne veulent pas faire d’efforts niveau écologie aiment descendre ce genre de documentaires. Certes Al Gore n’a rien fait quand il était en poste pour endiguer le phénomène, et oui pour filmer il faut agir un peu et donc polluer, mais le casser pour ça me parait trop abusé. On parle de l’argent qu’il a gagné, mais on zappe celui que se fait Sarkozy avec des conférences moins importantes, démago ? Propagande ? Pourquoi faire ? Beaucoup de critiques de frustrés et de grands mots mal utilisés. De plus, ce n’est pas un coup de pub puisque 10 ans après le gars agit toujours pour la réduction des gaz à effets de serre, le réchauffement climatique, et autres joyeusetés que les mauvaises critiques provoquent.
Niveau qualité intrinsèque il faut avouer que c’est bien renseigné, belle conférence, poussée, documentée, expliquée, spoiler: avec analyse des causes et des conséquences (je ne savais pas où mettre le spoil pour que ma critique soit acceptée donc voici)
, tous ne le font pas. Par contre on peut arguer du fait que ce soit trop intellectuel par moments, trop élitiste peut être, et qu’il n’y a spoiler: pas assez de solutions concrètes proposées (rien de précis, pas trop d’exemples). Certains aspects sont peut être exagérés,
l’avenir le dira (enfin j’espère pas), mais bon, vu les mentalités actuelles sans sensationnalisme rien ne se fait. Puis qui dit conférence dit qu’on s’ennuie au bout d’un moment, mais l’avantage du DVD est qu’on peut faire une pause ou le mater en plusieurs fois… Personnellement ça ne me dérange pas de le revoir pour me remémorer des informations qui m’auraient échappées.
Difficile cependant de le noter objectivement, la cause touche plus ou moins, puis il est impossible de le comparer à des films ou d’utiliser les mêmes critères. En effet, pas de musique, la trame d’une conférence existe mais c’est rébarbatif à relever, pas d’histoire, pas d’humour (enfin si les gens rigolent un peu mais bon, Obama aussi fait des plaisanteries), pas de décors ou de costumes, le seul dialogue est un monologue, pas de jeu d’acteur (sinon Al fait trop sérieux), c’est long et sans rythme… Contentons nous de dire que le message doit passer et que les infos sont là, à chacun d’en faire ce qu’il veut (donc rien visiblement).
Niveau qualité intrinsèque il faut avouer que c’est bien renseigné, belle conférence, poussée, documentée, expliquée, spoiler: avec analyse des causes et des conséquences (je ne savais pas où mettre le spoil pour que ma critique soit acceptée donc voici)
, tous ne le font pas. Par contre on peut arguer du fait que ce soit trop intellectuel par moments, trop élitiste peut être, et qu’il n’y a spoiler: pas assez de solutions concrètes proposées (rien de précis, pas trop d’exemples). Certains aspects sont peut être exagérés,
l’avenir le dira (enfin j’espère pas), mais bon, vu les mentalités actuelles sans sensationnalisme rien ne se fait. Puis qui dit conférence dit qu’on s’ennuie au bout d’un moment, mais l’avantage du DVD est qu’on peut faire une pause ou le mater en plusieurs fois… Personnellement ça ne me dérange pas de le revoir pour me remémorer des informations qui m’auraient échappées.
Difficile cependant de le noter objectivement, la cause touche plus ou moins, puis il est impossible de le comparer à des films ou d’utiliser les mêmes critères. En effet, pas de musique, la trame d’une conférence existe mais c’est rébarbatif à relever, pas d’histoire, pas d’humour (enfin si les gens rigolent un peu mais bon, Obama aussi fait des plaisanteries), pas de décors ou de costumes, le seul dialogue est un monologue, pas de jeu d’acteur (sinon Al fait trop sérieux), c’est long et sans rythme… Contentons nous de dire que le message doit passer et que les infos sont là, à chacun d’en faire ce qu’il veut (donc rien visiblement).
Un documentaire qui va assez mal vieillir (normal pour un documentaire !) et qui est divisé en 2 parties : La conférence d'Al Gore sur le réchauffement climatique et l'histoire de sa vie (qui a changé car il est actuellement + ou - divorcé de sa femme). Plutôt bien construit sur la forme et le fond, il lance un vrai message sur l'éveil des consciences. Ceci dit, il y a pas mal d'incohérences (il roule en 4x4 !!!) et il est difficile de donner un avis objectif sur la question du réchauffement. Mais bon l'homme moyen est vraiment très bête (je m'inclus dedans) et à l'heure ou je vous parle, je travaille le plus clair de notre temps à bosse avec un pic très élevé de pollution. Bref c'est pas gagner pour l'éveil des consciences.
Un documentaire édifiant sur le processus de réchauffement climatique qui menace la vie humaine dans de nombreux endroits du globe. Alors certes, la valeur cinématographique de ce film est tres faible, mais elle reste inversement proportionnelle en terme d'intéret public, d'éducation et de moralité (comme le rappelle Al Gore à l'attention des politiciens de tous bords). Les esprits chagrins qui mettraient en cause les motivations d'Al Gore se trompent de sujet : car les faits parlent d'eux-memes, et meme s'ils étaient amplifiés pour l'occasion ou pour servir un intéret collatéral (ce qui est possible), les bouleversements climatiques liés à la démographie et à l'industrie sont indiscutables. En clair, The Inconvenient Truth devrait etre diffusé au moins une fois à tous les écoliers de notre bonne vieille Terre, pour saisir toute la portée du plus grand défi du XXIe siecle.
Bien sûr, sur le fond le message me plaît. Mais on est censé faire du cinéma, non ? Car là j'ai l'impression d'avoir assisté à la version dvd de la conférence d'Al Gore. En gros, vous n'avez pas pu vous rendre aux Etats-Unis assister au spectacle, euh pardon à la conférence d'Al Gore, ne vous inquiétez pas, quelqu'un a tout filmé et le fait passer pour un film qui a pour titre : une vérité qui dérange.
Pour faire genre c'est pas juste le live d'Al Gore, on a rajouté quelques petites scènes (des bonus !) autres qui vous permettent de vous échapper quelques minutes de la conférence d'Al Gore. Et hop, emballez le tout et soit disant ça fait un film. Non, mais depuis quand un documentaire c'est ça ? Ou alors faut pas le mettre au cinéma ce film, c'est pas un film, la conférence est intéressante, mais ce n'est pas ça le cinéma.
Pour faire genre c'est pas juste le live d'Al Gore, on a rajouté quelques petites scènes (des bonus !) autres qui vous permettent de vous échapper quelques minutes de la conférence d'Al Gore. Et hop, emballez le tout et soit disant ça fait un film. Non, mais depuis quand un documentaire c'est ça ? Ou alors faut pas le mettre au cinéma ce film, c'est pas un film, la conférence est intéressante, mais ce n'est pas ça le cinéma.
Al Gore ne cherche aucune « vérité » artistique ou existentielle, il soigne la présentation avec forces images, diagrammes explicatifs et des petites phrases, et on sent tout de suite que le fond est beaucoup plus important que la forme. Par moments il ressemble à un candidat qui se présente à l’investiture démocrate, et à d’autres un orateur qui captive son public, dans la plus pure tradition du stand up à l’américaine. Il n’a pas peur d’évoquer l’échec à l’élection présidentielle ou des drames qui ont touchés sa famille. Bref devenant plus humain que politique, il intéresse tout le monde, et chacun la fois, et l’appel est reçu 5 sur 5. C’est sérieux, drôle, pas paternaliste, et chacun est mit devant le fait accompli car la solution est entre nos mains, et il parle de tout un chacun ; tout en n’oubliant pas de signaler que son pays est l’un des rares à ne pas vouloir ratifier le protocole de Kyoto. Documentaire de salut public donc à voir, très important, pour ceux qui s’inquiètent du monde qu’ils vont laisser à leurs enfants.
Santu2b
Véritable bombe documentaire sur le réchauffement climatique, "Une vérité qui dérange" a permis à son protagoniste, Al Gore, de décrocher le prix Nobel de la paix au cours des mois qui suivirent sa sortie. Un vrai film militant en somme, ce qui est à la fois sa force mais également son handicap. Sur le fond, on ne peut en effet qu'adhérer et partager ce constat absolument désastreux sur l'état de la planète, en s'y sentant tour à tour révolté et désespéré. Conjuguant savoir et pédagogie, la démonstration est de ce point de vue, parfois réellement passionnante. D'autant que l'homme qui depuis plusieurs décennies travaille sur la question connaît parfaitement son sujet, se trouvant en outre doté d'un charisme inouï. Mais d'un autre côté, on peut regretter l'absence de portée proprement cinématographique. Malgré tous ses intérêts scientifiques, "Une vérité qui dérange" ressemble davantage à une visioconférence géante, où un professeur exécute brillamment son exposé une heure et demie durant, mais veille à le saupoudrer de passages à la fois démagos et cul-cul la praline histoire de ne pas trop charger son public. Un bon colloque universitaire, pas du cinéma.
Que dire de ce film ? Pour moi, il est magistralement tourné avec un Al gore épatant et persuasif. Film très théorique aussi qui invite à réfléchir vraiment sur les dangers qu'exercent la pollution sur notre planète. Le fait de l'avoir vu juste après un documentaire écologique, ma fait bizarre et aussi encore plus comprendre que plus que jamais, la terre à besoin de nous !
T-Tiff
Malgré les qualités indéniables de "Une Vérité qui Dérange" comme sa véracité, qui nous met face aux problèmes écologiques de la planète, on ne peut pas nier que les passages avec les discours d'Al Gore sont particulièrement endormants, les images sont belles mais sans plus et le tout donne un film catastrophe où on peut penser que l'humanité (ici, surtout l'humanité américaine) est en voie d’extinction. C'est juste intéressant mais plus d'une heure et demie, c'est très long pour finalement pas grand-chose.
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