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Votre avis sur Boulevard de la mort - un film Grindhouse ?
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Bavard de la mort eu été plus approprié comme titre français, à l’image de ces actrices qui meublent plus de la moitié du film à discuter de leurs petits soucis quotidiens. Kurt Russell revient mais, malheureusement, son rôle est sous-exploité. S’il l’on ressent bien que Tarantino se fait plaisir en réalisant cet hommage aux films qui ont marqué son enfance, il est évident qu’il a oublié le spectateur en route. Quelques points positifs tout de même : les scènes de poursuite en voiture extrêmement bien filmées et la bande son seventies absolument fabuleuse.
lhomme-grenouille
On a beau aimer ce style bien propre à Tarantino, il faut bien reconnaître que pour le coup, l’ami Quentin en fait bien trop. Ses habituels dialogues ou bien encore dans ses effets visuels et sonores sont désormais bien connus et on se laisse plus facilement surprendre par l’ennui que par la découverte. C’est dur à dire mais Tarantino se répète beaucoup pour ne se renouveler que très peu. Fort heureusement, quelques passages sont à couper le souffle et le final de ce film relève presque de l’anthologie. Si on y ajoute quelques clins d’œil à Carpenter assez sympathiques, on peut se dire que ce "Death Proof" mérite le déplacement. Mais prenez garde adeptes du grand Quentin, la déception vous guette quand même au tournant…
alors là, c'est une de mes + grosses déceptions, fan de tarantino j'attendais de le voir ce film . et là, c'est mou, bavard, long très long à démarrer, une bande de nanas ininteressantes, c'est raté . je n'ai plus qu'à dire tarantino est mon réalisateur préferé, au passé .
S'il y avait quelque chose à retenir de cet objet douteux, ce serait indiscutablement dans sa forme. Ainsi, Quentin Tarantino sait donner une texture à ses images, possède l'art de découper magnifiquement ses séquences et maîtrise totalement sa réalisation. Photographie superbe, montage virtuose, casting émoustillant : l'apparence est parfaite... Mais si l'on gratte un tantinet, le contenu de son film s'avère pratiquement excécrable et surtout très vain. Le réalisateur réunit les plus belles paires de fesses d'Hollywood pour une séance d'autosatisfaction particulièrement agaçante. Comme à son habitude depuis ses débuts, Quentin nous fait partager ses références : véritable juke-box vivant, l'ami Tarantino n'a pas peur de montrer qu'il aime la bonne musique, les atouts féminins et - bien sûr - le cinéma. Du reste, l'intérêt réside plus dans le repérage des oeuvres citées par le cinéaste que dans le film lui-même... Fourmillant de clichés cinématographiques, Death Proof respire l'arrogance d'un bout à l'autre. Quant aux dialogues, constamment plats, ils finissent par lasser méchamment. C'est bien foutu, cool et bandant mais c'est quasiment creux. Décidément, la culture tarantinienne a quelque chose de profondément antipathique...
Difficilement recommandable, des discussions banales de personnages inintéressants à subir pendant 1h40. Le film est sauvé par sa dernière scène. Un "hommage au séries B" n'excuse pas la futilité du spectacle.
Le faux pas de Tarantino ... Dans son diptyque Grindhouse il s'est laissé embarquer dans son trip avec Robert Rodriguez, la volonté est louable et vraiment sympathique, je ne peux pas dire l'inverse, mais le fond du film est assez bizarre. La première heure du film est bonne, voire très bonne, avec un Kurt Russell comme toujours charismatique, la scène de l'accident est d'ailleurs géniale, mais les séquences suivantes de nanas qui parlent chiffon ça m'ont profondément agacé au plus haut point ... franchement je ne sais pas si c'est moi qui suis misogyne ou si Tarantino m'a volontairement cassé les couilles, mais je l'ai maudit à ce moment ... Quentin, c'est bien toi qui avait fait "Kill Bill" juste avant ? Parce que là on en est bien loin ... Même si la réalisation est très propre et singulière il faut bien le reconnaître. En fait on est vraiment dans une sorte de private joke girly qui fait chier, les dialogues sont pires qu'inintéressants, heureusement les séquences de courses poursuites sauvent le tout tellement elles sont superbement bien filmées et immersives. Par contre la toute dernière scène est pire que conne (hommage au genre ? Don't know). Pour conclure, Tarantino s'est fait plaisir avec ce film, en oubliant peut être ces fans de la première heure, bien que ce long métrage ne soit vraiment pas mauvais non plus.
Ce film est vraiment nul,beaucoup de dialogue mais peu d'action.Je vous le conseille pas.
Tarentino dans son simple appareil, un mélange génial et bien orchestré de tout ce qui fait son cinéma : de l’action, de la folie, des femmes qui assurent, des dialogues censés résumer l’action, des situations décalées. Mais plus qu’aux séries parodiées, les principales références sont extraites des propres films du réalisateur.
Ce film est d'une nullité affligeante : Une bande de pétasses jacasse durant la quasi-totalité de cette bouse. Comment Tarantino, qui a pourtant fait de si bon films, a-t-il pu tomber aussi bas ?
Kurosawa
Quintessence du cinéma de Quentin Tarantino, "Boulevard de la mort" est un formidable objet conceptuel aux dialogues savoureux, où les femmes ont le dernier mot. Construit en deux parties symétriques (un groupe de femmes - un tueur) avec comme seule différence l'inversion du rapport de force. Tout le premier mouvement est dédié aux discussions entre filles dans leur voiture ou au bar, épiées par un certain "Stuntman Mike", caricature de la virilité qui ne considère le sexe opposé que comme un objet de plaisir destiné à être broyé. Le tour de force opéré par Tarantino est de rendre jubilatoire des discussions banales, tournant pour la plupart autour de la vie sexuelle des protagonistes : le timing du découpage, le naturel des dialogues et le désir frappant de filmer les actrices donnent à chaque scène une intensité troublante, résultat d'un mélange entre la puissance des mots et la sensualité des corps. Après une scène centrale virtuose (un accident filmé successivement sous quatre points de vue différents), "Death Proof" relance la machine en recommençant son programme mais, au détour d'une phénoménale course-poursuite, signe finalement la victoire des femmes. Plus casse-cous que les filles du premier groupe, celles-ci n'ont pas pour idée de fuir leur adversaire mais de le poursuivre afin de prendre le contrôle sur lui. Tarantino ne divise pas pour autant d'un côté "les poupées" et "celles qui en ont" mais donne à chacun de ses personnages une part de courage et une autre plus séduisante : considérer les femmes comme des êtres entiers et complexes en admettant leurs faiblesses et leurs atouts, voilà une idée particulièrement convaincante de ce que peut être le féminisme. Moins important que des films plus vertigineux d'un point de vue narratif et émotionnel comme "Pulp Fiction", "Jackie Brown" ou "Django Unchained", "Death Proof" reste réjouissant de désinvolture, cool à défaut d'être consistant.
Tarantino est une encyclopédie musicale et cinématographique, ça on le savait. Il fait ce qu'il veut avec une caméra, donne un style usé à la bande de son film pour mieux rendre hommage aux films de série B, passe de la couleur au noir et blanc... En revanche, côté scénario, c'est un peu le calme plat, mais puisqu'on s'amuse, on ne lui en tiendra pas rigueur. Si tous ses films sont différents, on reconnait toujours la patte Tarantino : des références, des dialogues savoureux, de belles voitures, des jolies filles en mini-short et de longs plans sur des pieds (qui tiennent presque du film documentaire). Tarantino n'en reste pas là : il nous resussite un Kurt Russell façon Snake Plissken , superhéros solitaire, bad boy, boosté à la testostérone, mais qui aurait pris un sérieux coup sur la tête et avec quelques cases en moins. Le gros dur poursuit (et écrase) des adolescentes en mini-short, jusqu'à ce qu'il tombe sur des mini-short plus forts que lui... Du coup il a l'air beaucoup moins dur...
C'est avec une incroyable maîtrise que Tarantino rend Hommage aux films de série B.Car tout les réfèrences du genre sont présentes ici et sans jamais tombé dans le cliché ni le facile.Le scénario et totalement dans la ligné des films des années 70,mais la ou ce genre avait du mal a faire le film parfait,scénario + action Tarantino le fait et tout ça en réstant moderne en gardant son style.Les dialogues sont vraiments très bons.C'est très drole et totalement inattendu.De plus l'action du film,(les cascades en voitures)sont superbement bien servit.L'image est très travaillé,dans la première partie du film,l'image est plutot sale,elle saute,elle craque,la couleur change,ça aussi c'est un vrai hommage au charme des films de salle.Puis l'image devient plus propre dans la seconde partie,elle change car le film change aussi.Si la première est dediée au texte,la seconde est plus basé sur l'action meme si il reste tout au long du film l'humour de Tarantino.La ou beaucoups se serait casser les dents a faire un film hommage TARANTINO réalise l'hommage parfait.Il prouve avec ce film son réel amour pour le cinéma de genre,il lui a certainement fallut en voir et en voir des films pour aquérir une telle maîtrise.
C'est lourd, c'est long et c'est plein d'incohérences, même si le scénariste le fai expres, ce n'est pas une raison ! Seul la fin est marrante
Je vais être gentil en accordant une étoile pour la qualité graphique du film appuyée par de très belles actrices, le reste est proche du foutage de gueule comme les dialogues interminablement ennuyeux et insipides suivis des jeux d'actrice parfois beaucoup trop caricaturaux. Une heure et demie de dialogues complètement cons pour une petite dizaine de minutes de poursuite ou de scènes de voitures complètement invraisemblables (il suffit à la nana de freiner et de s'arrêter 2 secondes pour laisser sa copine remonter dans la voiture, mais tout le film repose sur cette poursuite qui ne vaut pas un bon "duel").
Vraiment plus qu'une oeuvre mineure dans la filmo de Quentin Tarantino: une oeuvre ratée.
Vraiment plus qu'une oeuvre mineure dans la filmo de Quentin Tarantino: une oeuvre ratée.
Film ennuyeux et soporifique avec des actrices nul, une ambiance seventies raté, seulement deux scènes actions dans le film et une fin risible, bref une MERDE.
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