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    Bons baisers de Russie
    Note moyenne
    3,7
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    303 critiques spectateurs

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    Chris46
    Chris46

    511 abonnés 978 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2019
    " Bons baisers de Russie " Second volet de la saga culte " 007 James Bond " .

    Dans ce 2ème opus l'organisation criminel du spectre tente de s'emparer d'une machine de déchiffrement de code top secret . Pour arriver à leur fins ils se servent de James Bond ( Sean Connery ) . Ce dernier qui comprend le nouveau projet machiavélique du spectre va tenter de déjouer leur projet ...

    " Bon Baisers de Russie " est un second volet de la saga " 007 James Bond " qui est plutôt pas mal dans l'ensemble . Sean Connery est toujour excellent dans le rôle de James Bond qui va être embarqué dans une nouvelle mission en devant déjouer un nouveau projet machiavélique du spectre en les empêchant qu'ils mettent la main sur une machine de déchiffrement top secret ce qui va l’embarquer une nouvelle fois dans une aventure avec son lot de suspense , de rebondissements , d’action et d’aventure .
    Le dépaysement est garantit grâce aux nombreuses escales de James Bond à travers le monde pendant sa mission nottament à Istambul ou les paysages sont superbes .
    Le film contient quelques séquences d'action sympa qui nous divertissent bien

    spoiler: ( la scène du train avec le combat dans la cabine , la poursuite entre la voiture et l'hélicoptère , la poursuite en bateau ... )
    .

    Malgré tout le film souffre de pas mal de longueurs nottament dans sa première partie qui gâche un peu le plaisir . Heureusement sa devient bien plus palpitant et prenant dans sa seconde partie plus rythmé .
    Sa reste quand même un divertissement sympa dans l'ensemble qui connu un succès encore plus important que le premier opus ( plus de 5,6 millions d'entrées en salle ) . Alors ne boudons pas notre plaisir .
    septembergirl
    septembergirl

    602 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2014
    Un film britannique qui constitue le second long métrage autour du personnage de James Bond, créé par Ian Fleming. Sean Connery est convaincant dans le rôle de l'agent secret. Cependant, malgré quelques bonnes scènes d'action et rebondissements, le déroulement n'est pas toujours très captivant et présente des longueurs. De plus, l'intrigue est assez complexe et difficile d'accès lorsque l'on n'a pas vu le premier épisode. Un opus divertissant mais peu marquant !
    Benjamin A
    Benjamin A

    710 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2014
    Suite aventures de James Bond, un an après "James Bond contre Docteur No", c'est toujours Terence Young derrière la caméra et Sean Connery devant, dans la peau du personnage créé par Ian Fleming. "Bon Baiser de Russie", adaptation de "Echec à l'Orient-Express" de ce dernier nous envoie à travers divers lieux (Istanbul, Venise...) pour suivre James Bond et le MI6 qui doivent aider une secrétaire russe à passer le rideau de fer en échange d'une machine importante, mais le "SPECTRE" n'est jamais très loin derrière..

    Après une belle introduction, ce James Bond nous envoie à travers l'Europe pour suivre une aventure bien écrite, avec un scénario captivant au déroulement convaincant, sans jamais en faire trop (dans les gadgets notamment même si la valise lance-grenade est bien trouvée !) et avec une très bonne maitrise de l'alternance entre scènes d'actions (sans qu'ils en abondent d'ailleurs) et moment plus calme. La mise en scène de Terence Young est efficace et le rythme ne faiblit jamais. De plus ce volet n'oublie pas quelques petites touches d'humours, d'exotismes et de charmes non négligeable ! Ce serait même à l'image du personnage de James Bond, ici fidèle à sa réputation et qui à le bénéfice de jouir de l'excellente interprétation de Sean Connery qui l'incarne avec charisme, flegme et classe et aux dialogues souvent très bien trouvés ! On notera aussi les bonnes interprétations de Robert Shaw ou Tatiana Romanov.

    Une bonne aventure et du bon divertissement, emmené par un charismatique Sean Connery, de bons scénario et dialogues ainsi que du charmes et de l'humour !
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2015
    Quand on parle du Bond de Sean Connery, on pense à trois films. Bon, il en a fait six, mais on pense quand même à trois films en particulier. Ses trois premiers, en fait. Outre "Dr No" dont je vous ai déja parlé, deux noms reviennent très souvent : "Bons baisers de Russie", et bien entendu le mythique "Goldfinger", dont on parlera ensemble une fois prochaine. Aujourd'hui, c'est donc "Bons baisers de Russie", Bond tout simplement culte dont le titre a inspiré nombre d'autres métrages, qu'ils soient d'espionnage ou non. Dont le troisième "Madagascar". Non, je ne plaisante pas. C'est vrai, je ne plaisante pas. Et donc, que penser de cette suite plus ou moins directe, qui ne traite que très peu du film précédent? Elle est franchement meilleure, vraiment beaucoup plus aboutie : les mecs ont compris le potentile de leur film, ont décuplé le budget et nous ont pondu un métrage encore plus impressionnant, nous faisant entrer dans un univers encore plus profond et fascinant, un univers où il existe une "menace fantôme", le "spectre" d'une organisation criminelle qui fera longtemps parler d'elle : je vous ai déja donné le nom, pas la peine de le refaire ! Ce film est donc aussi culte que son illustre prédécesseur, puisqu'il nous permet de découvrir le plus GRAND méchant du personnage ( en tout cas, le plus important dans la vie du héros ) : Blofeld. Et s'il est d'autant plus intéressant, c'est parce qu'il nous présente également notre cher ami Q, que je pensais venir bien plus tard dans la saga, l'une des seules personnes à revenir dans autant de films et durant à peu près 35 ans. Mais l'intérêt de ce second opus, bien entendu, n'est pas que là. Outre un budget plus important, c'est surtout le côté spectaculaire du personnage qui a évolué, et les cascades sont d'autant plus présentes que l'action se veut presque au centre de l'intrigue. Presque, je dis bien presque, parce que l'intrigue a tout de même sa place, une place non négligeable. Pour tout vous dire, elle est de très haut niveau. Normal, c'est inspiré du bouquin éponyme de Ian Fleming, et normal, c'est le second "James Bond". D'aucun aurait pu penser que celui ci serait moins bon : pas avec une saga telle que James Bond, mon ami ! Très bien pensée, très bien écrite, la trame du film est de très bonne facture. Alors, je ne sais pas si elle est fidèle au livre, mais force est de constater qu'elle "fait le job", comme disent les ricains. Les dialogues sont bien entendu tout aussi bons, et demeurent dotés d'un humour "so british, si cool", un peu comem dans "Kingsman", sorte de brillant hommage à ce type de films. Mais le sujet n'est pas à "Kingsman" : revenons en à notre espion préféré ! Est-ce la peine de vous dire que Sean Connery est toujours aussi bon dans le rôle, la perfection ultime d'un espion britannique, aussi élégant que charismatique? Je ne pense pas, ce serait radoter ! Non, on va plutôt parler des autres acteurs, des nouveaux venus quoi ! Plus haut, je vous écrivais deux choses : l'arrivée de "Spectre", et celle du Q que nous connaissons tous, Desmond Llelewyn. L'un apporte le méchant parfait pour le personnage, l'autre lui fournit un allié de poids. Le personnage de Q était bien sûr présent dans le film précédent, mais c'est en la personne de Llelewyn qu'il trouve sa parfaite représentation ( Mon Dieeeuuu la version de 2012... ). Parlons de Spectre, à présent. On ne voit clairement pas le visage de Blofeld, on n'en saisit que la voix, et on n'en aperçoit que la main. Et qu'est-ce que c'est efficace, sérieux ! Comme approche, j'ai trouvé que cela le mystifiait, le plaçait au rang de légende, de mythe, pour reprendre mon expression. On est réellement curieux de savoir qui se cache derrière ce siège, un personnage, à n'en pas douter, carrément iconique. Niveau têtes féminines, c'est également du très bon. J'ai particulièrement apprécié la James Bond Girl, mais j'ai vraiment une préférence, niveau jeu seulement, pour l'espion russe appartenant au "Spectre" : qu'est-ce qu'elle joue bien, sérieux ! C'est impressionnant, comme elle est imposante à l'écran. Pour rester dans les méchants, l'espion russe et blond ( j'ai complètement oublié son nom, désolé ) est parfait pour le rôle : il est crédible, et l'on comprend sans peine qu'il puisse donner du film à retordre notre cher Bond. La mise en scène est quand à elle très efficace, et la bande-sonore, carrément décuplée, est d'autant plus plaisante qu'elle est très présente : elle rend le tout grandiose, et trouve une force qu'elle n'avait pas jusque là. Mais vous comprendrez mieux tout ça une fois que vous l'aurez vu ! Et bien sûr, le générique d'intro est très bon, tout comme la première scène. Spectaculaire et grandiose, un grand Bond !
    Ricco92
    Ricco92

    223 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 août 2018
    Bons baisers de Russie est une étape importante de la série James Bond. En effet, bien qu’étant le second film il introduit beaucoup de codes de la saga : 1er gunbarrel accompagné intégralement du James Bond Theme de Monty Norman, 1er pré-générique, 1er générique typiquement bondien (celui de Dr. No était essentiellement constitué de formes géométriques), 1ère apparition de Blofeld et plus généralement du Spectre (même si on découvre que le Dr. No en était en des memebres) qui remplace le SMERSH du roman (reléguant ainsi les services soviétiques également au rang de victimes, ce qui évite d’augmenter les tensions avec l’U.R.S.S.), première apparition de Desmond Llewelyn dans le rôle de Q qui est encore appelé au générique sous son vrai nom de Boothroyd (il était interprété par Peter Burton dans le premier film) et 1ère apparition du célèbre morceau intitulé 007 qui marque également la première composition de John Barry (il n’était qu’arrangeur sur Dr. No, la musique étant signée Monty Norman).
    Outre ces aspects fondateurs de la saga, Bons baisers de Russie fait partie des très bons épisodes de celle-ci. En effet, il a l’intelligence de ne pas trop abuser des scènes d’action et de les rendre réalistes (on est très loin des délires de la période Roger Moore). On est essentiellement devant un film d’espionnage assez traditionnel où l’intrigue est privilégiée, ce qui n’empêche pas le film d’être très bien rythmé.
    On retrouve également l’exotisme qui fait tout le charme de la saga puisque notre agent secret voyage à Istanbul et à Venise. Côté exotisme, on peut noter qu’il flirte avec la caricature sans que cela soit choquant dans le camp Tzigane spoiler: où on assiste à une danse du ventre puis au combat entre deux gitanes (parmi lesquelles se trouve Martine Beswick qui tiendra un autre rôle plus conséquent dans Opération Tonnerre)
    .
    Pour ce qui est des clichés, ils ne sont pas toujours évités spoiler: comme dans la séquences où Grant explique son plan à 007 alors qu’il aurait pu le tuer aussitôt (on pense désormais constamment à Last action hero quand on voit ce type de séquence)
    . Toutefois, on peut être surpris que les personnages féminins principaux ne sombrent pas dans la caricature de la James Bond girl écervelée et potiche (une fois encore, aspect qui sera surtout présent dans la période Roger Moore) spoiler: puisque Tatiana n’hésite pas à répondre à James Bond quand il adopte l’attitude machiste de lui taper sur les fesses et puisque parmi les grands méchants du film se trouve une femme, la machiavélique et charismatique Rosa Klebb (qui de plus n’a pas un physique de sex-symbol). Pour ce qui est des femmes, on peut également noter que la première séquence où apparaît véritablement James Bond (vu que ce n’était pas réellement lui dans la séquence pré-générique) marque le retour de Sylvia Trench qui était sensée être la petite amie régulièrement de Bond qui reviendrait au début de chaque film. Cependant, dès le film suivant (Goldfinger), l’idée sera abandonnée
    .
    Scénario travaillé et exotisme sont également servis par une mise en scène assez discrète mais très efficace. spoiler: On peut noter notamment, à propos de cela, que la séquence où Blofeld expose leur mission à Rosa Klebb et Kronsteen présente des astuces techniques permettant de rattraper des plans oubliés. Ainsi, Terence Young remontera à l’envers un plan où Rosa Klebb s’éloigne du bocal de poissons quelques secondes avant pour qu’elle s’en approche et lui fera réciter un dialogue en se superposant elle-même sur un autre plan.
    Enfin, il est difficile de ne pas citer les nombreuses références que le cinéaste fait à Alfred Hitchcock spoiler: dont on peut voir facilement planer l’ombre dans la séquence du train et dans celle où on hélicoptère tente de tuer un Bond essayant de lui échapper à pied (La Mort aux trousses avait été réalisée 4 ans plus tôt)
    .
    Bons baisers de Russie est donc un excellent épisode, servi par un Sean Connery toujours aussi à l’aise dans le rôle de l’agent britannique, qui permet de poursuivre une série qui n’en est qu’à ses débuts et qui verra encore un de ses fleurons avec le film suivant, Goldfinger.
    carbone144
    carbone144

    88 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 juillet 2013
    Un Bond assez faible. On peut se permettre d'être exigeant tant aujourd'hui nombre d'épisodes ont été de qualité, non seulement sur la plan technique mais aussi sur le plan scénaristique. Ici; c'est bien la seconde caractéristique qui fait défaut. En effet, l'aspect vieillot des années 60, le bureau de l'agence avec une table et un téléphone, cet aspect "sauvage" qui précède le "Bond technologique" des années 90-2000, je le trouve toujours fabuleux. Ca donne un certain charme à ces films spécifiques de ceux de Sean Connery., une certaine liberté d'agir pour les personnages du fait du contexte historique (En comparaison, les films d’espionnage modernes reposent sur la technologie de pointe, notamment satellitaire, téléphone et communications qui fait que le monde est en permanence surveillé et contrôlé dans ses moindres geste ce qui rend la liberté de déplacement oppressant car toujours dans l'obligation de la gérer. Moins de paperasse administrative également ici). Ici, Bond se balade, bond visite le monde, comme si de rien était, seulement épié par ses ennemis locaux. Ca change, et j'apprécie toujours. Le problème ici, c'est que si l'ensemble du film est sympathique à regarder, il manque de piment. L'intrigue est faible, elle démarre de rien, d'un dialogue dans un bureau. A vrai dire, je n'ai même rien compris du pourquoi du comment. J'ai juste compris que le Spectre voulait la peau de Bond, et pendant ce temps il voulait récupérer une boite. Je me suis laissé emporter par le film après sans trop réfléchir. Le problème d'intérêt général ne se fait pas ressentir. On ressent plutôt une confrontation Bond et Spectre pour ses combines privées. Contrairement aux impactes politiques, notamment avec Goldfinger qui suivit, ici James Bond fait le minimum. Niveau services de renseignements, c'est faible. Niveau action, y'a pas grand chose, niveau charisme des ennemis, on a vu mieux. Mme la colonel et sa façon de tenir un pistolet comme une mémé m'a fait sourire. Miss James Bond Girl reste sympathique. Donc finalement, un film qui passe tranquillement, Bond s'en va, bond ne panique pas, Bond reviens et tout le monde est content. Heureusement que le retour aux années 60 permet de s'évader un peu.
    Alexarod
    Alexarod

    279 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juillet 2011
    Ouille, ce film sent trop fort la suite banale. Certes on retrouve tous les éléments du James Bond, la JBG est fort avenante (une des belle à mon goût) et l'histoire colle très bien aux tâches que doit accomplir un espion (même si celui-ci les gère de façon assez sereine), mais que ça sent le réchauffé, le copié collé, que c'est lent, que c'est prévisible, et rien de nouveau ne vient...Si le 1er est encore un peu culte, tout en ayant mal vieilli, celui-ci c'est pire, la lenteur est sa caractéristique 1ère, l'immobilisme la 2è, le tout sans que le rythme s'emballe un jour, et je parle pas des longueurs. Par contre les gadgets arrivent avec le futur Q et Sean Connery est toujours l'agent 007, bons points.
    Après que dire de plus ? Je me suis pas mal ennuyé, le scénario fait un peu fouilli, pas de surprises (ou mauvaises), les mauvais points du 1er reviennent, mais le Spectre qui rôde toujours plus et des persos qui deviendront récurrents pour le plus grand service (de sa majesté) de la saga plutôt.
    L'Infernaute de l'Apocalypse
    L'Infernaute de l'Apocalypse

    42 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2014
    Deuxième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond. Pour sa deuxième aventure le MI6 charge James Bond de récupérer une machine de déchiffrement top secret appelée Lektor, qu’une agent russe doit lui remettre, Tatiana Romanova, à condition qu'on l'aide à fuir à l'Ouest, mais cette mission cache un ennemi qui veut s‘attaquer directement à Bond. Ce deuxième épisode continu de poser le mythe de 007, avec l’apparition de la première séquence pré-générique (où le héros se fait immédiatement tuer), première apparition de Q joué par Desmond Llewelyn et donc du premier gadget, la mallette multifonction avec poignard, munitions, argent, fusil démontable avec vision infrarouge, bombe lacrymogène (un des meilleurs gadget de la série), les premières grosses scènes d’action spectaculaire (les deux courses poursuite: l’une avec un hélicoptère et l’autre avec des bateaux), l’apparition de la phrase dans le générique de fin « James Bond will return in» et du chef du SPECTRE, Blofeld. L’histoire est assez classique mais avec ce long métrage nous entrons plus dans l’univers de l’espionnage/action mais le film n’est pas encore un James Bond pur mais plutôt un thriller sur font de Guerre Froide. Au niveau des acteurs Sean Connery est de mieux en mieux dans le rôle de 007, il est parfait, la Bond Girl interprétée par Daniela Bianchi est sublime. Le film possède des scènes d’action spectaculaire et dont la meilleure est la course poursuite avec l’hélicoptère qui fait directement référence à La Mort aux Trousses d’Hitchcock avec la scène anthologique où un avion poursuit Cary Grant. En parlant d’anthologie il y aurait une scène qui serai considérée comme anthologique, il s’agirait du combat dans le wagon de l’Orient Express entre James Bond et Donald Gant, un combat violent, physique et puissant. Avec cet excellent film le mythe de James Bond continu de ce construire.
    selenie
    selenie

    6 228 abonnés 6 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mars 2020
    Un de mes Bond préféré... Ici pas degrand méchant grandiloquent mais un Spectre mystérieux et pas de scènes d'action abusement successifs. Un scénario franchement efficace avec un véritable jeu du chat et de la souris avec en prime une des plus charmants bond girl... Premiers gadgets en option... Superbe photographie également.
    Chevalier du cinéma
    Chevalier du cinéma

    252 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2015
    Sorti en 1963, soit un an après James Bond contre Dr. No, premier volet de la mythique saga cinématographique de l’agent 007, Bons Baisers de Russie connut un grand succès public et critique, confirmant peu à peu la popularité du personnage de James Bond au cinéma. Mais surtout, on retiendra Bons Baisers de Russie comme l’un des épisodes les plus importants de la saga puisqu’il contribua à installer véritablement tous les codes de la saga qui feront le mythe et la popularité de James Bond au cinéma. Et donc forcément, Bons Baisers de Russie est l’un des meilleurs films de la saga, qui n’a quasiment pas pris une ride ! En pleine Guerre Froide, la puissante et mystérieuse organisation criminelle S.P.E.C.T.R.E. élabore un plan machiavélique afin d’éliminer l’agent secret britannique James Bond, responsable de la mort d’un de ses plus hauts membres, le docteur Julius No. Le MI6 reçoit ainsi un message d’une secrétaire russe du consulat soviétique d’Istanbul, Tatiana Romanova, qui propose de lui apporter une machine de déchiffrement de code top secret appelée Lektor, à condition qu’on l’aide à passer à l’Ouest. Et sur la demande de la jeune femme, les services secrets britanniques mettent leur meilleur élément sur cette affaire, James Bond. Mais bien évidemment, Tatiana Romanova ignore totalement que sa supérieure qui l’a chargée de cette mission, Rosa Klebb, travaille pour le S.P.E.C.T.R.E. et que sa mission vise directement à faire assassiner l’agent 007. Réalisé par Terence Young, qui était déjà derrière la caméra pour James Bond contre Dr. No, cette deuxième mission du plus célèbre agent secret du Septième Art fut donc elle aussi un gros succès avec notamment plus de cinq millions d’entrées en France et près de 78 millions de dollars de recettes dans le monde, dépassant ainsi les recettes du précédent film. Adapté du roman éponyme de Ian Fleming, Bons Baisers de Russie est considéré comme étant l’un des films les plus fidèles de l’œuvre de son auteur légendaire. Après un épisode très exotique et aventureux qui se chargeait d’introduire le personnage de James Bond et quelques codes de la saga, Bons Baisers de Russie entraîne cette fois le spectateur dans le vif du sujet, à savoir dans l’univers du film d’espionnage et surtout du thriller de la Guerre Froide. Mené avec efficacité sans jamais perdre le spectateur en cours de route, ce deuxième opus mettant en scène James Bond est sans doute le plus hitchcockien de tous car s’encrant dans une ambiance fascinante qui rappelle les meilleurs thrillers du maître du suspense se déroulant sous la Guerre Froide. Pour de nombreux critiques et spécialistes de l’univers de James Bond au cinéma, Bons Baisers de Russie est un remake quasi déguisé de La Mort aux Trousses où l’on retrouve quelques éléments clés du chef-d’œuvre d’Alfred Hitchcock : un MacGuffin (ici le Lektor), une poursuite entre un homme et une machine volante et des intrigues à suspense dans les wagons de l’Orient Express qui montrent une grande influence hitchcockienne. Après, Bons Baisers de Russie possède certes une histoire globalement très simple mais grâce à l’efficacité de la mise en scène de Terence Young qui dote la saga de quelques morceaux d’anthologie (l’ouverture du film où nous voyons le héros se faire littéralement tuer ou encore le brutal affrontement entre James Bond et Donald Grant dans l’Orient Express tout simplement mémorable) et aussi grâce, il faut bien l’avouer, à l’excellent scénario de Johanna Harwood et Richard Maibaum, ce deuxième opus de la saga James Bond est une pure réussite du genre du thriller de la Guerre Froide mené sans temps mort, et ce genre de film là, j’adore ! Mais si Bons Baisers de Russie demeure l’un des meilleurs Bond à mes yeux c’est bien parce qu’il contribue à installer, presque totalement, le mythe James Bond au cinéma. En effet, nous retrouvons bien sûr le fameux Gunbarrel sous le son de la mythique musique de Monty Norman, mais surtout Terence Young introduit la première scène pré-générique de la saga où le spectateur voit le héros se faire tuer, avant de découvrir qu’il ne s’agissait que d’un entraînement du S.P.E.C.T.R.E. et que la victime n’est pas James Bond mais un homme déguisé. Il s’agit sans doute l’une des ouvertures les plus cultes de la saga. Ensuite, Bons Baisers de Russie enchaîne les premières fois : première apparition de Blofeld, premier gadget avec la fameuse mallette qui constitue l’un des gadgets les plus cool de la saga, et donc logiquement première apparition du personnage de Q interprété par Desmond Llewelyn, première scène d’action avec un hélicoptère, première apparition de la formule « James Bond will return in … » dans le générique de fin,… bref le mythe Bond s’installe de plus en plus même s’il manque quelques éléments comme la traditionnelle chanson du générique de début. Mais de toute façon, il ne faudra pas attendre bien longtemps avant que les codes ne soient définitivement installés puisque la légende 007 sera véritablement en place dans l’épisode le plus culte de la saga, Goldfinger de Guy Hamilton. Mais revenons maintenant aux éléments fondamentaux de la saga qui ont déjà été intégrés par James Bond contre Dr. No en 1962 et que ce deuxième James Bond conserve. D’abord, le film continue d’explorer les arcanes de l’organisation criminelle du S.P.E.C.T.R.E. en nous présentant de nouveaux membres de l’organisation et surtout le plus important comme le numéro 1 qui n’est autre que Blofeld mais aussi les personnages de Rosa Klebb alias numéro 3 ainsi que Kronsteen alias numéro 5. Durant toute cette première ère James Bond portée par Sean Connery, le S.P.E.C.T.R.E. sera le principal ennemi de 007, de quoi nous offrir de palpitante et fascinante aventures avec son plus grand ennemi ! Ensuite, le film nous offre la traditionnelle James Bond Girl qui est ici campée par la séduisante et sublimissime Daniela Bianchi, tout simplement l’une des plus belles conquêtes que 007 ait charmé durant ses 53 ans d’existence au cinéma. Après, parmi les personnages essentiels à la mythologie Bond, apparaît dans Bons Baisers de Russie le premier homme de main, Donald « Red » Grant, ici incarné par un imposant Robert Shaw, notamment identifiable avec sa montre meurtrière armée d’un fil de fer pour étrangler ses ennemis, et franchement l’acteur qui jouera Quint dans Les Dents de la Mer de Steven Spielberg interprète l’un des meilleurs hommes de main de la saga. Et comment ne pas évoquer celui qui incarne James Bond depuis 1962, un acteur écossais qui était jusque-là inconnu du grand public et qui est passé du statut de petit acteur à immense star du cinéma, j’ai nommé monsieur Sean Connery ! Il n’aura fallu qu’un seul film pour que l’acteur s’approprie le personnage de James Bond et ici avec Bons Baisers de Russie, Sean Connery confirme qu’il est et restera James Bond jusqu’à la fin de sa carrière ! Charismatique à souhait, classe et séduisant jusqu’au bout, drôle quand il faut avec quelques répliques bondiènnes bien senties, macho comme le personnage le veut,… Sean Connery est donc logiquement l’un des meilleurs interprètes du personnage avec Roger Moore et bien sûr Daniel Craig, qui lui est pour le coup LE meilleur interprète de 007 de toute la saga. Bons Baisers de Russie demeurera donc comme l’un des meilleurs opus de l’agent 007 car revêtant la forme d’un efficace thriller de la Guerre Froide et sous une grande influence hitchcockienne (ce qui en fait sa qualité indéniable et le plaisir de la revoir à chaque fois), et restera aussi dans la mémoire de tous les Bondophiles comme un épisode fondateur essentiel à la constitution du mythe de James Bond au cinéma. La légende se met donc magnifiquement en place et s’apprête à tous exploser avec le prochain épisode : Goldfinger.
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2023
    « spoiler: Du vin rouge avec le poisson, j'aurais dû me méfier.
    »

    Dans la deuxième mission de 007 mettant en vedette Sean Connery, SPECTRE tente spoiler: d'opposer les services secrets britanniques et soviétiques dans une partie d'échecs qu'ils croient infaillible
    .

    Mais c'est sans compter sur spoiler: le flair de James Bond, l'aide de son vieil ami Ali Kerim Bey, chef de la branche du MI6 à Istanbul, et les véritables sentiments de l'agent soviétique Tatiana Romanova
    .

    La course-poursuite au spoiler: dispositif cryptographique Lektor – qui pourrait faire des ravages dans le monde – pour empêcher SPECTRE de l'acquérir se poursuit à bord d'un train reliant Istanbul à Sofia, puis Belgrade et enfin Zagreb. Où Bond s’empare d’un camion qui est poursuivi jusqu'à Trieste par un hélicoptère, avant une confrontation finale sur des vedettes rapides de Trieste à Venise
    .

    C'est dans la Reine de l'Adriatique que la spoiler: mission de James et Tatiana se termine avec succès, après qu'Ali ait malheureusement perdu la vie en Yougoslavie
    .

    Sean Connery incarne James Bond avec toujours autant d'assurance, tandis que le charme de Daniela Bianchi s'accorde parfaitement avec Tatiana Romanova, et que Pedro Armendáriz est exubérant et attachant dans le rôle d'Ali Kerim Bey.

    Le style de mise en scène de Terence Young est modeste et efficace, et Ted Moore a remporté le BAFTA Award de la meilleure photographie.

    4.6/5
    elbandito
    elbandito

    343 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2012
    1963. Sean Connery peaufine son personnage d'agent double zéro à la fois charmeur, brutal et cynique dans cet imbroglio d'espions qui colle parfaitement au roman éponyme : James Bond est ici la cible d'une armée de tueurs du Spectre, organisation criminelle internationale. Un bon cru aidé par de solides moyens financiers suite au succès incontestable et inattendu du premier opus. Apparition également des premiers gadgets !
    fandecaoch
    fandecaoch

    1 037 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    Bons baisers de Russie : Deuxième mission pour notre plus célèbre mais aussi pour le moins secret agent secret de sa Majesté, j’ai nommé : Bond, James Bond alias 007. Rien que t’elle que les vacances pour me refaire cette mythique série des James Bond, sa fait longtemps que je les ai pas vu et je vais les critiques selon si on bien vieillie, si la qualité est la, les moins positif, négative… Et pour cette deuxième mission, il faut dire qu’elle fait encore mieux que le premier. Oui, j’ai encore plus aimée cette deuxième mission car une fois les bases instauré dans le premier. Et bien on peut ça lâcher dans cette mission qui est un poil meilleur que le premier. Car je trouve la mission plus rythmé, plus intéressant a suivre car la mission de James Bond est pas de sauver le monde du énorme catastrophe, il doit juste retrouver un encodeur qui est aux mains de l’ennemie en Russie et d'aider la somptueuse Tatiana magnifiquement bien interprété par Daniela Banchi, Tatinana qui doit passer a l’ouest. Voila, je trouve vraiment intéressent cette mission, bien mené et rythmé, un peu moins détective, enquête policier et sa c’est bien. On retrouve des femmes, de nouveaux amis et l’apparition du célèbre Q alias l’inoubliable et mythique : Desmond Llewelyn, il y aura aussi des ennemis encore plus cariasse que le premier (Rosa Klebb, avec la mythique scène avec la chaussure et le coteau, à la fin du film) De plus on retrouve l’élégance et la classe de James bond, toujours aussi intelligeant, séducteur et remplit d’humour so British qui fait plaisir. Et toujours aussi brillamment interprété par Sean Connery qui prend plus d’assurance, il est plus a l’aise dans cette épisode car les base son installé et ça c’est bien. Vraiment, le costume de James Bond lui va sur mesure. Et puis, il est magnifiquement bien mise en avant par la réalisation et la mise en scène qui est encore une fois réalisé par Terence Young et ça c’est bien car la réalisation est encore une fois somptueuse : très classe et élégante, a l’image de Bond. Vraiment, réalisation posé et sublimement cadré à l’ancienne, comme il avait le génie a l’époque et puis le film n’a pas vieillie et ça c’est énorme pour un film de 1964. Et le générique est vraiment excellent, mieux que le premier et surtout très classe et colle parfaitement avec le film, et en plus j’adore la musique. Voila, le mythe James Bond n’est plus a faire avec cette épisode remplit du suspense, de rebondissement et de combat et surtout d’élégance. Moi, j’ai fortement bien aimée cet épisode qui est un poil meilleur que le premier. Je vous le conseil vraiment : une excellent mission de la série des James Bond. C’est un énorme coup de cœur pour ce chef-d’œuvre de la série de 007 j’ai nommé : James Bond.
    AV ciné
    AV ciné

    105 abonnés 630 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2020
    Un 2ème volet emblématique de la mythique saga du plus classe des agents secrets !
    L’histoire est convenable et l’univers d’espionnage reste plaisant.
    Le charismatique Sean Connery est toujours aussi convaincant dans la peau du formidable 007 et la très séduisante Daniela Bianchi est agréable, ils vont bien ensemble !
    Pedro Armendariz qui interprète Kerim Bey est sympathique et on découvre de nouveaux personnages membres de la terrible organisation SPECTRE comme l’affreuse Rosa Klebb incarnée par Lotte Lenya et le redoutable Grant joué par Robert Shaw qui sont très satisfaisants.
    Tous les autres acteurs sont encore corrects et les images restent acceptables.
    Les décors sont toujours aussi bons et la ville d'Istanbul est satisfaisante.
    Les costumes sont encore bien et les objets et équipements restent efficaces, les gadgets sont toujours aussi appréciables.
    L’ambiance est encore plaisante et la bande originale est pas mauvaise.
    Les scènes d'action sont convaincantes et la surprenante séquence pré-générique est très bien faite.
    Les rebondissements sont pas mal et on reste assez vite emporté dans la mission.
    Un 2ème opus donc plutôt réussi avec du charme et une dose d'action assez bien élaborée.
    Anthony Stark
    Anthony Stark

    63 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2015
    Deuxième mission pour le plus célèbre des agents secrets qui n'est autre que James Bond alias 007. Pour cette mission, le M16 charge James Bond de récupérer une machine de déchiffrement top secret du nom de Lektor, qu'un agent russe doit remettre qui est Tatiana Romanova, à condition que Bond l'aide à fuir vers l'Ouest. Mais cette mission cache un ennemi qui veut s'attaquer directement à 007. Cet opus est encore mieux réussi que son prédécesseur. L'histoire est un peu plus recherchée et nous avons le droit à des scènes d'action plus violentes et plus spectaculaires. Sean Connery est toujours aussi charismatique et nous avons le droit à une nouvelle Bond-Girl comme à chaque opus. Sauf que je trouve cette dernière beaucoup moins sexy que Ursula Andress et son bikini blanc. Nous commençons à avoir des gadgets de plus en plus élaborés comme la valise et ses multiples fonctions élaborée par Q(Desmond Llewelyn) qui fait sa première apparition dans la saga. Bref un très bon James Bond plus intéressant, mieux réalisé et surtout mieux élaboré toujours réalisé par Terence Young.
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