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NeoLain
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3,0
Publiée le 19 juillet 2010
Deuxième volet de la saga James Bond et sans doute l’un des meilleurs. Autant Dr. No semblait kitsch de bout en bout, autant From Russia with Love est encore solidement ancré dans la réalité. Certes la guerre froide n’est plus d’actualité, mais une intrigue solide et relativement complexe fait que cet opus est davantage axé espionnage que le précédent, plutôt à mi-chemin entre le polar et le film d’aventures exotiques. Le rythme y est également beaucoup plus soutenu que dans Dr. No. Quant au suspense, il ne faiblit pour ainsi dire jamais et va même crescendo. Pour ce qui est de la mise en scène, Terence Young est à nouveau aux manettes et laisse loin derrière lui les incertitudes de Dr. No. Son film, à l’image d’un Sean Connery beaucoup plus à l’aise dans son costard d'agent secret, témoigne d’une certaine assurance vraiment la bienvenue qu’on savoure dans quelques morceaux de bravoure comme le duel dans le compartiment de l’Orient-Express où Bond est aux prises avec l’imposant Robert Shaw. Filmé à la manière d’un Hitchcock (on peut d’ailleurs noter un clin d’œil appuyé à La Mort aux trousses dans la scène de l’hélicoptère), From Russia with Love jouit d’un certain standing encore absent dans Dr. No. Côté récit, on peut regretter que l’intrigue, au demeurant fort intéressante, soit dévoilée trop tôt, ce qui gâche un peu la surprise quand Bond découvre que le SPECTRE se cache une nouvelle fois derrière tout ça. On peut également regretter l’absence d’un vrai méchant, défaut déjà présent dans Dr. No. En lieu et place, on découvre une palette de personnages plutôt bien écrits. Bond se fait ainsi un allié de poids avec Kerim Bey pour affronter Rosa Klebb et son imposant champion Grant. A noter aussi la première apparition fugitive de Blofeld, numéro 1 de l’organisation du SPECTRE, dont on ne connaîtra à la sortie que la voix … et le chat blanc. Bref, un épisode de qualité qui servira de référence pour les suivants. Et le charme de Daniela Bianchi en James Bond Girl YES
La seconde mission à l’agent 007, sur grand écran au moins, se révèle être finalement une affaire bien plus complexe que la précédente. Cette intrigue plus approfondie est intimement liée au fait que davantage de personnages sont impliqués dans la cette histoire imaginée par Ian Flemming qui utilise la guerre froide comme support aux machinations du SPECTRE, cette mystère société secrète qui profite des tensions géopolitiques à des fins criminelles. Grâce à ses captivantes séquences filmées aussi bien en Turquie, en Yougoslavie mais aussi en Italie, les aventures de James Bond deviennent irrévocablement synonymes de scènes d’action dans des décors exotiques, mais le scénario est avant tout celui d’un thriller d’espionnage très abouti. Cette amélioration notable de l’écriture s’accompagne de l’apparition d’éléments qui deviendront des codes de la franchise (principalement la scène post-générique et Q) mais aussi d’un jeu de plus en plus en convainquant de Sean Connery. Sans doute est-ce là l’un des meilleurs premiers films de la saga.
"From Russia with love", sorti en 1963, est le deuxième volet des aventures de James Bond. Sean Connery et son charme ravageur est aux commandes de l'agent double 0. Les puristes soutiendront que les films de cette époque sont irremplaçables. Pour les plus jeunes, faire un bond de 50 ans en arrière peut donner le vertige. Le fait est que ce film a étonnamment bien vieillit. La résolution de l'image, la mise en scène, les choix de plans caméra, l'intemporel charisme du personnage; tout cela forme un enrobage tout en sobriété et élégance. Entre les rues d'Istanbul et les voitures chics de l'Orient Express, on en apprend beaucoup sur sur la personnalité de Bond et l'étendu de son potentiel. C'est aussi l'apparition des fameux gadgets high tech d'autodéfense proposés par l'agent Q, ainsi que les pré-génériques élaborés qui ne sont autre que la marque de fabrique de la franchise. Tout est là, sauf peut être l'action à grand spectacle. Une référence, certes culte, mais pas un chef d’œuvre. 3/5
Début très moyen, milieu bordélique et chiant, une bonne partie finale. Tatiana, la James Bond girl, est comme toujours une bombe sexuelle. Franchement, cette histoire de Spectre, ça commence à me glonfler façon ballon de baudruche le 14 juillet.
Toujours mise en scène par Terence Young, cette seconde aventure de l’agent britannique l’emmène en URSS avec comme mission de venir en aide à une jeune soviétique possédant des informations et désireuse de passer à l’ouest. Seulement la mission se complique lorsque Bond découvre que les intentions de Tatiana Romanova ne semblent pas réellement être ce qu’elles devraient. "Bons baisers de Russie" met en place certains des éléments qui ont clairement contribué à l’énorme succès de cette saga, à savoir le personnage de Q interprété pour la toute première fois ici par Desmond Llewelyn mais aussi ses gadgets. Sean Connery reprend son rôle et affiche toujours la même classe et le même détachement pour interprété 007, quant à l’ennemi il s’agit toujours de l’organisation Le Spectre dont le visage du mystérieux chef, Ernest Blofeld, nous est une nouvelle fois caché. Côté action le spectacle est assuré grâce à des combats dans un Orient Express ou encore une course poursuite façon "La Mort aux Trousses". Bien construit malgré quelques petits moments de flottement ce deuxième opus lance une intelligente ligne directrice à cette mythique saga.
Deuxième épisode réussi de la célèbre saga. Entre la bagarre dans le train, l’attaque de l’hélicoptère qui rappelle La mort aux trousses de Hitchcock ou encore la poursuite en bateau. Sean Connery est toujours aussi bon dans le rôle de James Bond, Daniela Bianchi assure le rôle de Tatiana Romanova, Pedro Armendariz joue bien le rôle du partenaire de Bond sans oublier les méchants Lotte Lenya et Robert Shaw excellent dans le rôle du tueur blond.
Un James Bond avec Sean Connery est toujours un bon moment. Toujours cette ambiance et cet humour so british. Ce second volet reprend un petit peu sur les mêmes bases que le précédent mais il y a plus d'humour, plus d'action, plus de suspens et un scénario plus fourni. Et toujours cette musique qui reste en tête. Un bon film.
L'acteur est correct et le scénario convenable afin de passer d'Est en Ouest, pas des plus palpitants chef-d'œuvre, quelques situations assez ridicules, une dose pure de série B d'espionnage so British, ça se regarde sans émerveillement. Un générique préfabriqué qui est la marque de l'agent double 07, une espionne russe coincée en Turquie qui fait défection en traversant le rideau de fer à travers cet orient express. Un train aux wagons lits de luxe pour perdre son temps, l'alternative de l'avion compagnie première classe, tombe dans les bras du samaritain MI6. Ce n'est une lettre d'amour à la Russie, puisqu'ils sont ennemis, mais une carte postale envoyée depuis là-bas dans le but de s'espionner mutuellement, avec amour. L'influence du spectre plane sans l'ombre d'un doute, une intrigue de guerre tellement froide diplomatiquement.
Un deuxième épisode qui en reprenant les ingrédients délivrés dans Dr No nous livre le grand film d'espionnage que l'on était en droit d'attendre... Les anglais contre les russes, une machine à code à récupérer, la valise gadget, la belle russe qui hésite entre les deux camps...autant d'éléments qui vont écrire la légende, peut être plus que dans Dr No. En effet, ici le scénario beaucoup plus inspiré nous fait voyager et nous délivre une belle panoplie de "bonne tête", mais surtout nous offre quelques scènes époustouflantes qui feront date dans nos mémoires: la longue scène du train avec la bagarre finale, la scène avec l'hélicoptère ("La mort aux trousses"??), l'école des "Méchants" du SPECTRE au début... James Bond s'est donc définitivement affirmé dans ce second film et a fini d'y écrire ses derniers codes. A voir et revoir, un Classique!
Suite de la saga James Bond avec ce deuxième opus : Bons baisers de Russie. Que dire de ce film ? Tout d'abord, on y découvre les premiers gadgets de la série et bien sûr son inventeur : Q. Même s'ils sont mineurs, ils ont le méritent d'exister. Ensuite, on découvre un peu mieux l'organisation du SPECTRE avec notamment son chef qu'on ne voit d'ailleurs que de dos. Et quoi d'autre ? Pas grand chose en fait. Sean Connery reprend son rôle avec classe mais pour le reste...Le film est assez mou, le scenario qui, au premier abord, est plutôt simple devient inutilement tortueux... Les scènes d'actions ont pas mal vieilli bref on se retrouve avec un James Bond plutôt moyen et en dessous de son prédécesseur.
En pleine Guerre Froide, le MI6 se voit confier la mission de convoyer à l’Ouest une employée du consulat soviétique ayant en sa possession le "Lektor" (un lecteur de déchiffrement top secret conçu par les russes). Sauf qu’en réalité se cache une mystérieuse machination…
Après la première adaptation sur grand écran (James Bond 007 contre Dr. No - 1962) des aventures de l’agent double-zéro et son succès au box-office, les producteurs de l’époque s’empressa de mettre en chantier une seconde adaptation de l’un des romans (publié en 1957) de Ian Fleming.
Pour l’occasion, Terence Young retrouve Sean Connery, avec un budget bien plus conséquence (cela s’en ressent) et nous entraîne jusqu’en Turquie, à bord du fameux train de l'Orient-Express. Bons Baisers de Russie (1963) vient laver l’affront du premier film qui nous avait quelque peu déçu. Ici, on retrouve réellement ce qui va faire la force et de l’univers bondien au cinéma, avec de vrais méchants, une intrigue solide et l’action qui ne démérite pas (la scène de l’hélicoptère ou encore la rencontre avec Robert Shaw et le huis clos qui s’ensuit dans la cabine du train). Oubliez l’exotisme de la Jamaïque et faite place à la froideur paranoïaque des soviétiques.
Alors certes, le film n’est pas exempt de défauts et a tendance à se perdre en circonvolutions (120min de métrage qui aurait pu se voir raccourcir sans que cela n’impacte le film), notamment la séquence chez les gitans qui n’apporte strictement rien de plus à l’intrigue principale (si ce n’est de nous rappeler à quel point l’univers bondien peut être machiste).
Un nouvel opus qui prend ses marques par rapport au précédent, avec un Sean Connery toujours aussi efficace et crédible dans le rôle de 007.
Un bon James Bond ! Le scénario est bien écrit (avec de bonnes scènes d'espionnage), le casting reste assez convaincant, et la b-o est efficace comme toujours avec cette saga... je n'ai jamais été fan de cette série de films, mais j'ai bien apprécié celui-là.
Après un premier opus prodigieux, une suite prévisible de James Bond fut mise en place, par la même équipe que le premier épisode : Terence Young à la réalisation, Richard Maibaum au scénario, Sean Connery en 007…
Malheureusement, comme toute suite de film à succès, les responsables ont voulu en faire plus que le premier, le surpasser à tous les plans, intention louable, certes, mais assez casse-gueule. Evidemment, Bons Baisers de Russie répond un peu plus à la deuxième affirmation que la première. Le premier opus n’avait qu’une unité de lieu, un ennemi, une James Bond Girl et un sidekick. On garde l’unique James Bond Girl et l’unique sidekick pour l’instant, mais on a le droit à trois lieux importants et un ennemi récurrent. L’histoire et son dévelloppement est bien plus compliqué ici, avec des vraies bifurcations dans l’intrigue, sympathique et intéressante au demeurant. Beaucoup de scènes d’action sont à signaler, mais aucune n’est à la hauteur du premier épisode. Le film reste plaisant, bien évidemment mais il est quand même bien inférieur à son auguste prédécesseur. La seule chose qu’il a en plus, ce sont certains dialogues délicieusement croustillants de la part d’un Sean Connery toujours impeccable.
Bons Baisers de Russie n’est pas un mauvais film, loin de là, mais c’est un film qui souffre de la comparaison avec son premier opus, qui lui, était très réussi.
Première séquence de pré-générique, première des 17 apparitions de Desmond Llewelyn dans le rôle de Q et donc premier gadget pour un second volet qui introduit l'organisation criminelle du SPECTRE. Film d’espionage de son époque au scénario peu captivant et montrant des signes évidents de péromption, « Bons Baisers de Russie » se traîne péniblement en dépit de quelques sursauts, notamment lors des dernières scènes dans l’Orient Express et des séquences avec l’hélicoptère. Face à des ennemis stéréotypés, Sean Connery confirme sa notoriété montante en déployant son charme et son humour.
Bons baisers de russie est très clairement pour moi un des moins bons opus de la saga. De toute façon cétait très difficille de faire aussi bien que Dr NO. Ce 2éme opus à énormément de défauts. Je cite pour exemple, la scène douverture qui est trop ridicule mais aussi le fait quon ne voit pas James Bond pendant les 15 premières minutes et aussi les nombreuses longueurs. Heureusement quil y a Goldfinger qui vient juste après et qui est vraiment un opus superbe dun bout à lautre. Bons baisers de russie garde le charme de Sean Connery mais est loin dêtre le meilleur opus de la série, décevant.