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Jake S.
81 abonnés
231 critiques
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3,0
Publiée le 21 décembre 2017
Ce deuxième chapitre de Hostel a le mérite de ne pas nous offrir une vulgaire copie conforme du premier. Tout le mode opératoire y est expliqué avec plus de détails mais ne vous attendez pas non plus à un renouveau absolu. L'histoire des trois jeunes potes du premier opus se réitère cette fois-ci pour une bande de filles en vacances avec toujours la même façon de procéder, mais plus d'explications et plus de profils types de sadiques et autres tortionnaires en tout genre. Au-delà de l'aspect purement gore de ces films (qui est d'ailleurs bien souvent décrié chez Eli Roth), Hostel nous propose tout de même un concept intéressant : des riches qui paient pour pouvoir assouvir leurs envies les plus sadiques et malsaines qui soient... c'est-à-dire qu'en fait leur petite vie bien rangée dans leurs bureaux de Wall Street et leur belle maison en périphérie de la ville ne leur convient pas. Leur quotidien est finalement un tel enfer (oui, c'est triste à dire) qu'ils en sont poussés à se défouler sur des innocents par pur plaisir, tout simplement. Pour le coup, cette idée d'Eli Roth n'a rien de manichéen ou de simpliste. Elle s'appuie sur les obsessions de l'hommes qui, peu importe d'où il vient, pourvu qu'il ait assez d'argent à jeter par dessus les fenêtres et une vie misérable à ses yeux, sera le bienvenue pour participer à ce théâtre macabre de la perversion.
Au pays des suites heureuses, voici venir la suite directe de Hostel. Plus qu'une suite heureuse, ce deuxième film me parait réhabiliter sérieusement un premier volet qui m'a semblé long, bavard et ennuyeux... Il fallait attendre trop longtemps avant d'avoir l'impression de regarder un film pourtant martelé et classé comme "film d'horreur".
Malgré cela, les bases et le concept du film se mettaient en place... et deviennent capital pour l'évolution de ce 2e opus. On ne cesse de penser à ce qui attend nos personnages, et Roth pousse le vice en nous proposant le point de vue des victimes, mais également des bourreaux qui les gagnent aux enchères sur Internet.
Côté action c'est pas non plus Piège de Cristal, mais le film est ponctué de situations mystérieuses, de questionnements et de scènes gores juste assez pour faire patienter jusqu'à la dernière partie du film. Arrivé à cette partie, le scénario ne s'endort pas sur ses lauriers et promet encore quelques surprises qui viennent achever l'entreprise de séduction réussie d'Eli Roth !!
D'un bout a l'autre du film rien n'est crédible tout y est grand guignolesque.Il y a beaucoup d'humour mais malheureusement ce n'est pas toujours volontaire.Enfin si vous voulez vous payer le grand frisson avec ce film,vous aurez alors très peu de chance d'y arriver,mais par contre si votre but est de vous marrer avec un film d'horreur raté alors jettez vous dessus.Car ce film a tout les ingrédients du navet,mannequin en mousse aucun suspense,et bien d'autres idées débiles qui font que ce film est un navet.
Avec le chapitre II de Hostel, on en apprend un peu plus sur les coulisses de ces enlèvements de jeunes étudiants simplement venus faire la fête. Là encore, on retrouve, comme dans d'autres films, cette catégorie sociale aisée dont le portefeuille est aussi important que leur perversité. Il faut croire que l'argent peut tout acheter. Même les êtres humains. C'est même carrément une sorte de société parallèle œuvrant en Europe Centrale dans Hostel. Des pays où peut-être la police est plus facilement manipulable ou corrompue. Ce qui rend ce "sport" plus facile. Eli Roth, après une longue mise en place prenant le temps de présenter les trois proies du jour (une coincée, une délurée et, la dernière, la plus rusée du groupe) délivre son lot de séquences chocs avec toujours l'humour, l'ironie le caractérisant. Dès les premières minutes, on est tout de suite mis dans le bain avec le survivant du volet précédant dont le sort est rapidement réglé. C'est un peu comme les I Spit on Your Grave. Tu es choqué par ce qui leur arrive. Ces personnages masculins sont vraiment immondes. Et à la fois, il y a une impatience sadique à les voir se prendre une dérouillée ensuite. Je ne sais donc pas sur quel pied danser et je pense que c'est voulu par Eli Roth et Quentin Tarantino.
Après la bonne surprise du premier opus on redescend d'un étage. Certes l'intention de s'intéresser à la psychologie des bourreaux est louable mais elle est mal écrite, les atermoiements de Stuart sont par exemple peu compréhensibles et l'interdiction de partir sans tuer n'est rien d'autre qu'une facilité de scénario). Le casting féminin est globalement décevant et l'érotisme et le gore sont moins poussés. On fera une exception pour la très troublante scène de la douche de sang magnifiquement réalisée mais qu'on ne peut prendre décemment au 1er degré. L'inutile scène de l'assassinat du gamin fait malgré tout froid dans le dos. Enfin la tout dernière partie du film est un tel ratage complet dans les grandes largeurs que ça en devient ridicule
L'histoire commence là ou elle s'est arrêté dans le premier Hostel. Personnages différents mais même pays,même endroits et même ambiance glauque et lugubre. Ce volet est très légèrement en retrait par rapport à l'originale car le réalisateur a choisit d'appuyer certaines scènes par des caricatures d'actions ou de personnages , retirant temporairement le coté spontanée du scénario. Passages là aussi gore, terrible mais peut être un peu moins dégeu que dans le premier. L'histoire légèrement bâclée, raccourcie, limite prévisible mais n’empêche en rien son coté terrifiant et sensationnel. Grosse déception cependant pour la toute dernière scène qui est de trop.
Avec "Hostel", Eli Roth avait livré au monde cinématographique une œuvre ayant grandement renouvelé le film d’horreur moderne (et faisant de lui au passage le nouveau pape en la matière). Il est donc normal qu’on attendait avec impatience son nouveau film. Cependant, le fait que ce nouveau film soit un second chapitre à son œuvre phare est tout de même une surprise. En effet, on se demande ce que va pouvoir nous présenter Roth à l’écran sans tomber dans la décalcomanie la plus simple, à moins de pousser entre plus à l’extrême les scènes ayant fait la renommé de "Hostel" (et est-ce possible sans que le film soit interdit de salle ??). Et bien Roth a choisi de tous nous prendre à contre-pied en développant simplement l’univers qu’il a crée : "Hostel Chapitre 2" s’intéresse avant tout à la société secrète qui propose à des riches ses fameux petits « rendez-vous en tête-à-tête ». Nous apprenons ainsi comment elle procède et comment les « bourreaux » choisissent leurs victimes, nous balançant en plein tronche une vérité aussi écœurante que terrifiante : on peut tout se permettre avec du fric !! Après une petite intro sympa où l’on retrouve Paxton (Jay Hernandez), unique survivant du premier épisode, et qui nous montre à quel point l’organisation est sans merci, Roth nous propose une double narration entre, d’un côté, un groupe de filles qui vont se retrouver dans un lieu bien connu de ceux ayant vu le premier opus ; et, d’un autre côté, d’un duo d’ami voulant enfin passer le cap et devenir des « hunters ». Avec cette astucieuse idée de narration, nous pouvons voir et comprendre tout le processus mais nous pouvons aussi assister tout du long du film à une certaine réflexion sur l’être humain et sa quête d’existence, en particulier sur ses désirs inavoués. Et il est assez amusant de voir au final des revirements lorsque la personne en question fait réellement face à la situation (comme l’échange de rôles entre les deux amis, celui ne rêvant que de ça se défilant et le timide se révélant être un putain de psychopathe ; ou encore l’incroyable « renaissance » de l’héroïne). Et l’horreur dans tout ça ? Même si elle est toujours présente, elle l’est beaucoup moins que lors du précédent épisode et surtout moins gore, moins rentre-dedans, beaucoup plus graphique comme cette étonnante scène de la « douche », délicieusement baroque. Bref ce Chapitre 2 est certes moins hardcore que le premier mais cela est surtout dû qu’il s’adresse avant tout à ceux qui ont aimé l’univers du film, et pas seulement les assoiffés de scènes de torture. Ni mauvais, ni exceptionnel, il demeure un bon film qui se laisse regarder agréablement.
Si l'effet de surprise est passé après « Hostel » premier du nom, ce deuxième opus ne démérite en aucun cas. On a beau reprendre le même principe et les mêmes ingrédients, Eli Roth parvient avec un talent très « série B » à nous procurer autant de plaisir (si ce n'est plus) que lors du précédent volet. C'est que l'air de rien, l'acolyte de Tarantino sait y faire pour nous présenter des personnages présentant un minimum d'intérêt, condition sine qua non pour que l'on se sente un minimum impliqué par les horreurs qui vont leur arriver. Horreurs, le mot est d'ailleurs encore un peu faible pour parler de certaines tortures, très bien pensées et s'appuyant sur un humour macabre rendant l' œuvre savoureuse, voire carrément jouissive à plusieurs reprises, à l'image des deux vrais-faux pervers excellemment interprétés par Roger Bart et Richard Burgi (même si spoiler: le revirement du plus « humain » était assez prévisible ). Bref, à réserver aux amateurs du genre, mais si c'est votre cas, nul doute que vous devriez prendre votre pied devant ce spectacle aussi sale que réjouissant.
QUEL NAVET ! un film nullissime ! scénario inexistant, scène débiles et inutiles, acteurs mauvais. bref un mauvais film d'horreur mal fait ! on s'ennuie tout le long tellement c'est nul ! le 1er était bon mais le 2 est à jeter à la poubelle. À éviter
Toujours aussi efficace, ce deuxième volet nous propulse tout droit de l'autre côté de l'horreur. Et pourtant l'esprit de la genèse est toujours aussi présent voire même plus développé avec de magnifiques tableaux de tortures toujours troublants et violents à souhait!!!! Tout est toujours aussi bien exécutée et la fin est vraiment bien amenée avec un détail qui fait toute la différence... Largement à la hauteur du 1er, et toujours aussi morbide!!!!!!
On prend "presque" les mêmes et on recommence ! Je dis presque tout simplement car l'on a juste remplacé les hommes par des femmes, le principe de torture-porn reste le même. Petit plus ici, la longue introduction qui nous fait retrouver le dernier survivant du premier opus est bien trouvée et plutôt intéressante. La suite est beaucoup moins entrainante avec une mise en place interminable et des comédiennes pas géniales non plus. En revanche les scènes de torture sont toujours aussi gores et c'est plutôt sympa de suivre également les tortionnaires. Plus vraiment de surprise donc, un scénario quasi copié-collé mais une redoutable efficacité sur la violence. C'est clairement en dessous du premier volet pour ma part mais ça reste encore regardable, contrairement au troisième ...
Eli Roth avait placé la barre trés haute pour Hostel...Mais ce film n'avait pour but qu'à nous servir Hostel: Chapitre 2 sur un plateau doré! Ce deuxiéme volet est une vrai bombe! Le réalisateur a compris que la surenchére de gore n'était pas utile. Il a tenu compte des attentes de ses fans. Y regne dans Hostel 2 une ambiance opressente, le spectateur est stressé d'un bout à l'autre. Parfois il ne sa passe rien et l'angoisse monte. Ce film n'est pas repugnant comme la nouvelle vague de films gore, il ne provoque pas le degout mais la peur. Eli Roth nous présente ici un film qui fait peur comme il n'y en a pas eu depuis un bon moment.
La prestation des acteurs est parfaite. Le casting...nickel. Cette fois ci, nous nous plaçons des deux côtés. Nous suivons le periple atroce des victimes. Contrairement au premier opus, les personnages sont attachants, ce qui rend encore plus horrible les scénes d'horreur. Mais egalement la descente en enfer des tortionnaires. D'un côté, l'horreur vient de l'empathie qu'on ressent pour ses trois jeunes filles, d'un autre côté, c'est effrayant de voir qu'une personne ordinaire puisse en arriver à infliger de telles horreurs....Qu'en definitive, chacun a cette fureur en soit...C'est effrayant! Nous retiendrons particuliérement les superbes performances de Roger Bart, Lauren German et Heather Matarazzo.
La bande son est extraordinaire. Elle tient ici une place trés importante et colle parfaitement à l'ambiance malsaine du film. Colle tout à fait aux magnifiques images. D'ailleurs il y a un travail impressionnant sur la photo et les decors qu'on qualifierait de gothique.
Enfin, je terminerais ma critique en disant qu'Eli Roth a tenu toutes ses promesses et est allé au delà de toutes esperances, ce film est un vrai chef d'oeuvre.
Eli Roth ne fait que des films débiles et trés mal exploité en termes d idée.Au niveau du gore, le film est réellement limité, à vrai dire il est loin de mériter l'interdiction aux moins de 16 ans.Les scène de torture , soi-disant éprouvante, n'atteint pas le millième de l'intensité du premier volet .Et sur ce plan, le film s'avère, encore une fois, nettement inférieur à son prédécesseur. Les morts sont bâclées, on ressent un cruel manque d'imagination .La partie revenge du final EST RIDICULE avec ce match de foot .L humour est présent ce qui casse le malsain et la tension du film. Une sombre bouse, infamante pour le cinéma de genre.Quel intéret de tué un ?????????? pour la construction du film ? AUCUNE .Decidement Eli Roth ne devrait pas faire de films d horreur mais plutot des films comics a la scary movie .Mon dieu que le genre horreur est dans de mauvaise mains !!!!!!!
Un deuxième volet qui n'aurait sans doute jamais du voir le jour." The hostel 2" pourrait être un film d'horreur passable, voir correct, si il ne souffrait pas de la comparaison avec son prédécesseur.