De quoi ça parle ?
Version coréenne de La Casa de Papel. Un génie du crime rassemble huit voleurs afin d'organiser une prise d'otages à la Maison de la monnaie.
Money Heist Korea créée par Ryu Yong-jae et Alex Pina. Avec Yoo Ji-tae, Yunjin Kim et Park Hae-Soo.
Qu'en pense la presse ?
Selon RogerEbert
Money Heist: Korea est une série ambitieuse par son plan, excitante pour les rebondissements, prenante pour ses personnages et est tout simplement addictive. 4/5
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Selon Rolling Stone
Money Heist : Korea s'améliore progressivement et culmine dans un cliffhanger final de la saison qui, tout comme l'original, mettra à l'épreuve la morale du professeur – ou son absence. Le casting all-star livre une performance plus que convaincante. Pourtant, le manque d'alchimie entre les partenaires romantiques entrave plutôt qu'il n'améliore l'intrigue. 3,5/5
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Selon Ecran Large
Si sa fidélité excessive empêche Money Heist: Korea - Joint Economic Area d'être une réussite totale, lui donnant même parfois des airs de simple version alternative, la série offre de belles envolées dès qu'elle s'éloigne de son modèle. Espérons que la prochaine saison assumera une rupture plus franche et continuera d'explorer sa lecture politique captivante. 3/5
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Selon Le Journal du Geek
Très (trop) fidèle à l'œuvre dont elle s’inspire, Money Heist Korea sent un peu le réchauffé. Une refonte de la Casa de Papel au moule est trop similaire pour tout à fait nous convaincre. De ses réussites à ses défauts, ce remake reprend tout ce qui faisait le succès de la série d’Alex Pina, quitte à faire dans la redite. 2,5/5
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Selon Daily Beast
Money Heist : Korea est trop occupée par ses divers dilemmes interpersonnels que l'exécution du braquage proprement dit est rapidement abandonnée. [...] Déterminé à offrir des sensations fortes, la série apparaît comme l'équivalent Netflix d'une lecture triviale sur la plage d'un livre de poche, bien qu'elle soit étendue de manière déraisonnable et insoutenable à des dimensions épisodiques de la taille de Guerre et Paix. 2,5/5
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Selon Télérama
A quoi bon regarder une série dont on connaît les moindres rebondissements et qui n’invente rien par rapport à son modèle ? Comme dans la série mère, certains personnages vont certainement finir ensemble, et le professeur va se rapprocher de la négociatrice en charge de l’enquête... La culture coréenne est tout juste visible. Encore une fois, Netflix semble exploiter jusqu’à l’os ses succès. Mais ça ne prend pas. Il est temps de tomber le masque, ce casse a assez duré. 1/5
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