On ne compte plus les séries animées, japonaises ou non d'ailleurs, qui ont durablement marqué notre enfance, que l'on soit né dans les années 70, 80 ou 90 : Cobra, Inspecteur gadget, Cosmocats, Mask, Princesse Sarah, Jeanne et Serge, Ken le survivant, Denver le dernier dinosaure, Nicky Larson, Lady Oscar, Olive & Tom, Les Mystérieuses cités d'or, Ulysse 31... La liste est sans fin, ou presque.
Diffusée pour la première fois au Japon en 1985 et en France en 1987, le dessin animé Princesse Sarah se déroule dans l'Angleterre du XIXe siècle. On suit les aventures de Sarah Crewe, l'héroïne, une jeune fille de huit ans de mère Française et de père Anglais.
Un père qui a fait fortune dans les mines en Inde. Mais le monde de Sarah s'écroule lorsqu'elle apprend la mort de son père adoré. Sarah est désormais orpheline et surtout ruinée. La princesse du pensionnat anglais pour jeunes filles où son père l'avait laissée, va devenir une bonne à tout faire, et maltraitée... Fini le luxe, elle doit désormais travailler et, pire, supporter les brimades et les moqueries de ses ex-camarades. Mais Sarah garde au fond d'elle une petite lumière, vaillante...
C'est peu dire que toute une génération a écrasé plus d'une fois quelques larmes devant les malheurs de la pauvre Sarah, endurant sans broncher brimades et moqueries de l'insupportable directrice du pensionnat, l'horrible mademoiselle Mangin. Les épisodes de cette série culte étaient rythmés, souvenez-vous, par un merveilleux générique chanté par Cristina d'Avena, dont les premières notes de musique rappellent l'Inde, le pays de coeur de Sarah...
Voici un petit quiz pour raviver le souvenir de cette merveilleuse série animée !
Au fait, vous vous souvenez comment ca se terminait ? Ayant hérité d'une fortune conséquente, Sarah faisait une donation au pensionnat, et venait chercher Becky pour en faire sa demoiselle de compagnie. Repartant ensuite vers les Indes pour se recueillir sur la tombe de ses parents, elle passait en revue son passé sur le pont du navire l'emmenant vers sa nouvelle destinée; heureuse cette fois-ci.