Jack le menteur, Glamour toujours, In Transit ou encore Ce qui me meut, nommé aux César et qui est devenu le nom de sa boîte de production : dès ses premiers courts métrages, Cédric Klapisch nous a bien fait comprendre son amour pour les jeux de mots et les titres qui claquent. Et ça n'est pas en passant au format long que les choses ont changé.
Sorti dans nos salles ce mercredi 30 mars, En Corps, son quatorzième long métrage, ne fait pas exception, à tel point que l'on se demande ce que le réalisateur nous réserve à chaque nouvel opus, et la manière dont il parviendra à lier les différents thèmes avec un jeu de mots.
Sorti entre deux épisodes de sa trilogie générationnelle portée par sa muse Romain Duris, Paris fait d'ailleurs office d'exception. Car il n'est question "que" de destins croisés dans la capitale française, sans que l'on ne voit quelqu'un faire des pronostics, étudier des cotes et jouer de l'argent.
Mais êtes-vous un expert en titres de films de Cédric Klapisch ? Savez-vous à quoi renvoie chaque pitch, chaque synopsis ? Voici neuf questions pour le savoir. Ou le prouver.
Le saviez-vous ?
Cédric Klapisch a entrepris la préparation du film avec l’idée qu’il voulait de vrais danseurs qui jouent la comédie et non des acteurs qui dansent. Il a donc commencé, avant même l’écriture, à faire un casting d’abord parmi les danseurs de la compagnie d’Hofesh Shechter puis parmi les danseurs de l’Opéra de Paris… Si la plupart des danseurs savaient jouer, leur rapport au texte s’avérait plus compliqué. Le choix de Marion Barbeau, qu’il avait déjà filmée dans un spectacle, a été une évidence : « il émane d’elle un naturel incroyablement touchant. Je sens que cette spontanéité peut être magnifique à filmer. Je sais évidemment qu’il y aura beaucoup de travail mais l’essentiel est là. »