De quoi ça parle ?
Bruxelles, à deux mois des élections. La campagne qui bat son plein est perturbée par une enquête de corruption. Survient alors une agression tragique qui va provoquer la collision de plusieurs personnages, chacun défendant sa propre vérité. Une juge d'instruction, un politicien, une activiste et une journaliste vont être amenés à poser des actes qui dépassent tout ce qu'ils auraient pu imaginer.
La saison 1 de Pandore est disponible en intégralité sur Salto ce vendredi 18 février.
Une série engagée
Écrite par Vania Leturcq (L’année prochaine), Savina Dellicour (Tous les chats sont gris) et Anne Coesens (Adieu Monsieur Haffmann), qui incarne également le personnage principal, Pandore est un thriller juridico-politique en 10 épisodes qui met en lumière diverses problématiques qui touchent la société d’aujourd’hui.
La série nous entraîne ainsi dans les coulisses du pouvoir politique belge à travers le personnage de Mark, un jeune loup d’un parti de droite interprété par Yoann Blanc, un comédien vu notamment dans La Trêve. Avide de pouvoir, c’est un homme lâche et sans scrupules.
Jusqu’où est-il prêt à aller pour accéder au pouvoir ? Jusqu’où peut-il mentir pour arriver à ses fins ? Sur fond d’enquête de corruption et d’agression, Pandore interroge la part de mensonge de chacun tout en abordant la question des violences faites aux femmes et de la culture du viol.
Une série riche en thématiques donc qui a d’ailleurs créé l’événement lors de la diffusion de son premier épisode dimanche dernier en réalisant le meilleur démarrage pour une série belge depuis 2016.
Côté casting, Anne Coesens se glisse dans la peau de Claire, une juge d’instruction belge se retrouvant face à une affaire qui va la marquer à vie. Elle donne pour l’occasion la réplique à Yoann Blanc et Edwige Baily, deux acteurs qu’elle a précédemment cotoyés sur le tournage de La Trêve, mais aussi à Salomé Richard (Rêves de jeunesse), Myriem Akheddiou (Le Jeune Ahmed) et Peter Van den Begin (Adoration).
