Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Lundi 18 octobre dans Demain nous appartient…
NOA EST PLACÉ EN GARDE À VUE
Après avoir été enlevée, Judith se réveille ligotée dans une cellule identique à celle de Roxane.
Pendant ce temps, la police enquête sur la disparition de la fille Delcourt. Même si le ravisseur a utilisé le même procédé que pour Roxane, Martin ne comprend pas pourquoi celui-ci s’en est pris à Judith car elle ne ressemble pas à Emilie Chaptale. Les deux jeunes femmes étant plus que jamais en danger, les policiers doivent les retrouver avant qu’il ne soit trop tard.
De retour au commissariat, le commandant Constant promet à Alex et Chloé de tout mettre en œuvre pour secourir leur fille lorsqu’ils sont interrompus par Noor. La jeune femme leur apprend alors que Judith soupçonnait Noa d’avoir enlevé Roxane.
Par la suite, Chloé est à bout et craint qu’il n’arrive malheur à sa fille. Pour sa part, Sandrine tente de la réconforter et se dit certaine que la police finira par la sauver. Tandis qu’elles discutent, Victoire dessine avec frénésie et ce depuis que Judith a été enlevée. Malheureusement, elle ne parvient pas à décrypter ce que son inconscient cherche à lui montrer. Après un appel de Sara, les deux femmes se donnent rendez-vous au pont de la savonnerie car Victoire a besoin de vérifier quelque chose.
De son côté, Martin interroge Noa. S’il reconnaît qu’il n’était pas avec Judith le soir de l’enlèvement de Roxane, il indique cependant qu’il était sur le parc à huîtres. Bien que personne ne puisse confirmer son alibi, Noa clame malgré tout son innocence. Profondément inquiet depuis la disparition de la fille Delcourt, le petit-fils Josse est en pleurs et supplie la police de lui venir en aide. Les preuves étant malheureusement contre lui, le commandant Constant maintient sa garde à vue.
Non loin de là, Yvan accuse Alex d’avoir raconté à la police que son petit-fils séquestrait des femmes. Les familles Josse et Bellanger étant en guerre depuis des années, Yvan imagine que Jeanne et Alex ont tendu un piège à son petit-fils. Très en colère, il jure qu’il n’a pas dit son dernier mot.
En parallèle, Victoire et Sara sont dans la forêt à la recherche d’une cabane que la jeune femme a dessinée. En marchant, le docteur Lazzari est prise de nouvelles visions dans laquelle elle voit Emilie qui ne cesse de hurler « je ne suis pas Assia ». Persuadée que cette femme pourrait être la clé pour retrouver Judith et Roxane, Victoire et Sara décident de mener des investigations.
Et elles ont bien raison de suivre leur instinct car à quelques pas seulement, le ravisseur quitte une maison abandonnée identique au dessin de Victoire.
AUDREY DEVIENT SERVEUSE AU SPOON
Remerciée pour ses services, Audrey rentre à Sète et est désormais sans emploi, au grand dam de ses enfants qui craignent d’être une fois de plus dans la galère.
En parallèle, Louise apprend qu’Aurélien a eu un accident de scooter et qu’il doit se faire opérer en urgence à Athènes. Immédiatement, la mère de famille prend le premier vol pour être auprès de son fils. Pour la remplacer au pied levé, Bart se met en tête d’engager une extra pour le service.
Par la suite, Audrey est au Spoon. Comme cela fait vingt minutes qu’elle attend son café, elle se déplace au bar pour le faire elle-même et en profite pour servir les clients qui patientent depuis un certain temps. Une attitude qui n’est pas du goût de Bart qui lui fait remarquer qu’elle est cliente. Toutefois, débordé, Bart finit par lui proposer de travailler pour lui, ce qu’elle accepte sans hésiter.
JAHIA ET JORDAN SONT CONTRAINTS DE TRAVAILLER ENSEMBLE
En croisant Jordan dans la cours, Angie n’hésite pas à le traiter de raciste. Ce dernier affirme alors qu’il ne l’est pas puis accuse les sœurs Lopez Diallo d’utiliser ce terme à chaque fois que quelqu’un n’est pas d’accord avec elles. Lizzie a beau prier son frère d’arrêter de les provoquer afin d’éviter les problèmes, Jordan, qui ne supporte plus leurs leçons de vie, n’a pas l’intention de s’arrêter.
Plus tard, François convoque Jahia et Jordan pour tenter une conciliation mais les adolescents s’envoient rapidement des piques tout en évoquant leurs divergences d’opinions. Si le professeur demande à Jahia d’apprendre à se contrôler à l’avenir, il enjoint aussi Jordan à cesser ses provocations. Et d’ajouter que s’ils n’apprennent pas à dialoguer, ce sera le conseil de discipline pour tous les deux.
Pour leur apprendre à communiquer, François les oblige alors à travailler ensemble sur un exposé sur la justice en se basant sur L’étranger d’Albert Camus.