Sex/Life, disponible depuis vendredi seulement, continue de grimper dans le top quotidien des programmes les plus vus sur Netflix. Cette série nous plonge au cœur d’un triangle amoureux (Sarah Shahi, Mike Vogel, Adam Demos) qui questionne la notion de désir et de liberté.
Cette adaptation du roman 44 Chapters About 4 Men de B. B. Easton se veut sulfureuse, à l’image de la scène d’introduction qui met dans le bain. La première d’une longue liste, jusqu’au climax de l’épisode 3 dans lequel l’un des acteurs ose le full frontal.
Adam Demos, qui prête ses traits à Brad, l’ancienne flamme de l’héroïne, est revenu sur le sujet de la nudité extrêmement présente dans la série, dans une interview accordée à Entertainment Weekly.
L’acteur n’a pas hésité à faire tomber le haut et le bas pour certaines scènes, notamment celle de l’épisode 3 : "J’étais d'accord avec cela car j’avais lu le script et que je savais dans quoi je me lançais. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas s'assurer de votre confort personnel, ce que la production nous a permis de faire". Demos n’a donc pas fait appel à une doublure pour ce full frontal, pratique pourtant bien répandue dans le milieu.
Comme pour de nombreuses productions, les acteurs ont pu compter sur le soutien d’une coordinatrice d’intimité afin de préparer le plus possible les scènes de sexe : "On s’est tellement entrainés qu’au moment de tourner, on était plus à l’aise que prévu. On aborde tous les aspects : du mouvement des mains jusqu’à la respiration. C’est important dans une scène de sexe puisque ça touche à l’émotion. On parle donc de tout cela et du confort de chacun".
La nudité ultra représentée dans Sex/Life aura en tout cas alimenté les conversations autour de la série, au même titre que 365 DNI il y a quelque temps… assez pour que Netflix lui offre une saison 2 ?