De quoi ça parle ?
Ritchie, Roscoe et Colin débarquent à Londres en 1981. Les jeunes hommes vont commencer leur vie d'adulte avec un virus nouveau qui se propage dans la communauté gay. C’est l’histoire de leurs amis, de leurs amants et de leurs familles.
It's a Sin, une série créée par Russell T. Davies.
Diffusée ce lundi 19 mars 2021 (les deux derniers épisodes) et disponible sur myCANAL.
Qu'en pense la presse ?
Le Figaro : "Il nous avait balancé un uppercut émotionnel dans Years and Years, imaginant un futur terrifiant et bien trop prophétique sur la montée du populisme en Occident. Mais Russell T. Davies sait être tout aussi dévastateur pour évoquer le passé, le sien et celui de son amie d’enfance Jill, notamment, avec ce portrait croisé d’une bande d’amis et de colocs du Londres des années 1980."
4.5/5
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Le Parisien : "Le génie du créateur est de parvenir à donner vie à une histoire pleine de nuances qui montre bien que les héros eux-mêmes ne prennent pas la mesure du danger qui les guette. Rien n'est noir ou blanc dans ce scénario, c'est l'humanité qui l'emporte avec tous ses défauts et ses débordements d'énergie, ce flux vital qui fait tellement de bien."
4.5/5
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Les Echos : "Résultat, sur une bande-son d'anthologie, une oeuvre chorale qui vous embarque dans une montagne russe émotionnelle jamais larmoyante et souvent hilarante. Une vraie claque."
4.5/5
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20 Minutes : "Cette fiction chorale, souvent bouleversante, parfois drôle, toujours attachante, n’a pas forcément l’air politique au premier abord. Or, cette dimension réside dans le point de vue et la manière de raconter ces histoires. (...) Russel T. Davis, à travers sa mini-série, fait à sa manière œuvre de pédagogie et sous les atours pop de ces cinq épisodes rythmés par des tubes eighties, adresse un bras d’honneur aux homophobes, bigots et conservateurs. "
4/5
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Le Monde : A la réussite constante d’une entreprise qui consiste à mettre les procédés dramatiques de la série au service d’une réflexion historique et politique, sans jamais sacrifier le plaisir qu’on peut prendre au spectacle, il faut ajouter deux autres raisons de voir It’s a Sin. D’abord la comparaison qu’elle permet entre deux pandémies. (...) Enfin, la vision d’It’s a Sin renvoie forcément à celle de 120 battements par minute (...). Non seulement la confrontation des deux œuvres met au jour les spécificités de deux manières d’être homophobe (...) mais elle dit aussi beaucoup de ce qui unit et sépare les séries et le cinéma.
4/5
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It's a Sin sur CANAL+ : "Après ma mort, j'espère qu'il existera tous types de séries queer"Les Inrockuptibles : "Créée par l’indispensable Russel T Davis, It’s a Sin suit le quotidien de cinq jeunes londoniens confrontés à l’épidémie du sida au début des années 80. Inspiré par sa propre expérience, le showrunner plonge en cinq épisodes (...) dans une décennie charnière, et même de façon bouleversante l’extase de la fête au tragique de la maladie."
4/5
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Première : "Imaginée comme une série chorale fébrile et énergique qui décrit la conquête exaltante de nouveaux horizons, It’s a Sin confronte une jeunesse immarcescible à l’incertitude et à la peur du lendemain, souvent dans la même scène et avec une justesse étonnante."
4/5
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Vanity Fair : "Si Russell T. Davies lie l’intime à l’universel, la force d’It’s a Sin réside dans la mise en scène de ces destins ordinaires, symboles d’une génération sacrifiée. Au sein d'une troupe d'acteurs charismatiques et talentueux, Lydia West alias Jill Baxter, déjà vue dans Years and Years, est une véritable révélation."
4/5
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NouvelObs : "Sans adhérer tout à fait à cet enthousiasme débridé – la faute à un dernier tiers, un chouïa moins inspiré –, on reste sacrément preneur. Portée par une brillante brochette de comédiens, jonglant avec une myriade de tons et de genres (comédie musicale, fable sociologique…), la série saisit avec force et simplicité les paradoxes tragiques d’une génération martyre, héritière des années hippies et pionnière à ses dépens d’une ère d’austérité et de prévention."
3.5/5
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