Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé lundi soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Lundi 16 mars dans Demain nous appartient...
ANTOINE FAIT DES AVEUX À MARTIN
Antoine vient de passer deux jours en préventive et Martin espère obtenir des réponses concrètes en l’interrogeant une nouvelle fois. Lassé de clamer son innocence pour un meurtre qu’il n’a pas commis, Antoine sait que le commandant Constant cherche un coupable pour la mort de son père et sous-entend qu’il fabrique des preuves pour parvenir à ses fins. Lorsque ce dernier affirme qu’il est un honnête policier tout comme son père, Myriel finit par reconnaître avoir tué Robert Constant car il essayait de violer Dafné Pastoré. Son père avait beau être un héro aux yeux de ceux qui l’ont connu, Myriel ajoute qu’il était en réalité un ripou qui terrorisait les habitants du quartier. Martin refuse de le croire et rapporte à Nadine les aveux du suspect. Connaissant ce dossier sur le bout des doigts, la commissaire explique qu’elle n’a jamais entendu parler d’une histoire de viol et confirme que la mort de Robert n’était pas accidentelle puisqu’il aurait été frappé violement à la tête à plusieurs reprises. Sous le choc, Martin exclut de lâcher Antoine tant qu’il ne sera pas derrière les barreaux. De son côté, Lou fait savoir combien il va être difficile de sortir le père de Souleymane de prison car les preuves s’accumulent contre lui. Cependant, bien que la tâche s’avère compliquée, l’avocate promet de faire son maximum. Rose, qui sait que le commandant mène une enquête à charge, ne veut pas se laisser faire et sollicite l’aide d’Aurore. Même si c’est à un juge de prendre en charge cette affaire, la policière consent néanmoins à jeter un œil au dossier. Après que Georges a constaté la disparition du procès-verbal d’un témoin indiquant qu’une Citroën bleue nuit avec le logo du club de tir de Narbonne avait été aperçue le soir du meurtre de Dafné, Aurore remarque le logo sur la voiture de Nadine.
GABIN FAIT SON COMING OUT
Lors de son rendez-vous avec Victor, Gabin raconte que son père ne lui vendra jamais son thonier car personne ne veut de lui dans le milieu de la pêche. L’homme d’affaires se dit alors prêt à dévoiler son homosexualité à Paul mais Gabin déclare que son chantage ne marchera pas car il compte dire la vérité à son père. Plus tard, quand le fils Gosselin confie à Bart avoir peur de perdre son père et la vie qu’il s’est construite, ce dernier insiste pour qu’il fasse confiance à Paul. Ne souhaitant pas faire son coming out seul, Gabin prie Bart d’être présent. Au moment de la révélation, Paul pense que Bart est responsable et imagine que les deux jeunes hommes sont en couple. Gabin clame qu’il a toujours été attiré par les hommes et Paul, qui refuse que son fils l’appelle papa, rétorque qu’il ne l’a pas éduqué de cette manière. Tandis que Bart essaye d’intervenir, Paul rentre dans une colère noire et les vire de son bateau en ajoutant que son fils le dégoute et qu’il ne veut plus jamais le revoir. En fin de journée, Bart s’excuse auprès de Gabin pour l’avoir encouragé à dire la vérité puis il lui propose de l’héberger le temps que les choses se calment. Seulement, Gabin a besoin de se retrouver seul et décide pour prendre une chambre à l’hôtel.
THOMAS DEMANDE UNE REMISE EN LIBERTÉ
Après avoir passé sept mois en prison, Thomas Delcourt aimerait être remis en liberté en attendant son jugement. Alors que Lou expose que les faits pour lesquels il va comparaitre sont très graves, Thomas, qui n’a aucune intention de fuir, veut malgré tout tenter le coup. Lou accepte de monter le dossier et Soraya souhaiterait en prendre la charge, surtout que sa patronne a beaucoup de clients à gérer. Voyant son assistante déterminée et passionnée par cette affaire, Lou accède à sa requête. La jeune femme se met rapidement au travail et en informe Georges qui estime Thomas dangereux. Par la suite, Soraya se rend au Spoon pour savoir si Tristan accepterait d’aider son ancien ami en appuyant sa demande. Persuadé que Thomas n’était pas lui-même au moment des faits, le barman est prêt à témoigner en sa faveur.