J'irai où tu iras de Géraldine Nakache
Avec Leïla Bekhti, Géraldine Nakache, Patrick Timsit...
Le saviez-vous ? Géraldine Nakache a voulu faire de son personnage une choriste après avoir vu le documentaire 20 Feet from Stardom dont son frère lui avait parlé. La réalisatrice a par ailleurs toujours été fascinée par les chanteuses de prestations privées : "Je trouve bouleversant de tout donner à un public qui n’est pas forcément là pour vous écouter. Ce métier de l’ombre m’intéressait car la place qu’on prend dans la vie, celle qu’on nous donne aussi, est le sujet central du film."
Avec Will Smith, Mary Elizabeth Winstead, Clive Owen...
Le saviez-vous ? Ce sont deux Will Smith qui apparaissent dans Gemini Man. L’acteur incarne à la fois l’assassin de 51 ans et le meurtrier de 23 ans décidé à le tuer. Le plus jeune des deux Will Smith est entièrement conçu en version digitale, une réalisation si complexe que les deux personnages peuvent combattre au corps-à-corps en une parfaite homogénéité à l’écran, donnant lieu à une saisissante double-performance. "On voit l’acteur se regarder lui-même avec 30 ans de moins" s’émerveille le producteur Jerry Bruckheimer, "ce qui représente une expérience incroyable pour le spectateur."
Alice et le maire de Nicolas Pariser
Avec Fabrice Luchini, Anaïs Demoustier, Nora Hamzawi...
Le saviez-vous ? Nicolas Pariser a eu plusieurs influences pour Alice et le maire. Parmi elles, les films d'Eric Rohmer et ce de (et avec) Sacha Guitry avec Fabrice Luchini. "Comme le maire, les héros qu’incarne Guitry parlent beaucoup et jouent la comédie. Ils sont tout le temps en représentation mais, à un moment, leur intimité apparaît, comme par effraction, et c’est bouleversant. Dans ma description de la vie de la mairie, j’ai beaucoup pensé à la série « A la maison Blanche » d’Aaron Sorkin, j’aimais tous ces personnages qui parlent politique en marchant et qui travaillent tout le temps", précise le metteur en scène.
Vous êtes jeunes, vous êtes beaux de Franchin Don
Avec Gérard Darmon, Josiane Balasko, Patrick Bouchitey...
Le saviez-vous ? Les scènes de combats étaient une galère à tourner selon le cinéaste Franchin Don. Les séquences ont été nombreuses. L'équipe en a tourné plus que ce l’on en voit à l’écran. "C’était ma première fois et surtout, nous étions en plein d’hiver, avec des personnes âgées. Heureusement, j’ai une super équipe, et on a réussi à toutes les tourner… en trois jours", révèle le metteur en scène. Pour Gérard Darmon, "le tournage, qui a été un peu Rock’n’roll, était assez serré car il fallait aller vite. Il n’y a pas eu de scènes particulièrement harassantes ou difficiles, mises à part les combats."
Bonjour le Monde! de Anne–Lise Koehler, Eric Serre
Avec Kaycie Chase, Boris Rehlinger, Julien Crampon...
Le saviez-vous ? Le projet a été pensé et créé depuis le début avec Eric Serre, avec qui Anne-Lise Koehler a étudié et avec qui elle travaille régulièrement depuis plus de 20 ans. "À l’origine, il y a la curiosité et mon amitié pour les « sauvages » animaux et végétaux et l’envie de transmettre un enthousiasme ! J’ai écrit le projet et c’est Eric qui a suggéré la technique de la marionnette d’animation en stop-motion. Cette aventure m’a plu parce qu’elle s’appuie à la fois sur mon expérience de sculpteuse et à la fois sur son talent, ses convictions, son enthousiasme et son sens merveilleux de l’animation et de la mise en scène !"
Le Regard de Charles de Marc Di Domenico
Avec Charles Aznavour, Romain Duris
Le saviez-vous ? C’est le comédien Romain Duris qui dit le texte et fait passer la “voix” d’Aznavour. Marc Di Domenico confie : "De façon très naturelle, comme sous le sceau de l’évidence.Misha nous a dit que romain Duris avait le même type d’énergie que son père et que ça lui semblait être le meilleur choix. Charles de Meaux qui avait déjà travaillé avec lui l’a appelé, et dès les premiers enregistrements, ça collait. On oublie que c’est romain Duris et on est complètement avec Aznavour."
Avec Mama Sané, Amadou Mbow, Ibrahima Traore...
Le saviez-vous ? Malgré son sujet politique et social, Atlantique revêt une dimension fantastique et poétique. Lorsqu'elle réalisait Atlantiques en 2009, Mati Diop avait le sentiment que les hommes dont elle recueillait la parole étaient déjà partis : "Je trouvais qu’il régnait une atmosphère très fantomatique à Dakar et il me devenait impossible de contempler l’océan sans penser à tous ces jeunes qui y avaient disparu. Pour moi, faire un film n’est pas simplement raconter une histoire. C’est avant tout trouver une forme à une histoire". Désirant raconter une histoire de fantômes, il était alors logique pour elle de faire un film fantastique.