Le premier long-métrage de Richard Curtis : Love Actually. "En plus d'être une des meilleures comédies romantiques de tous les temps, Love Actually est un formidable film choral où s'entrecroisent des personnages très attachants. Certes certaines histoires sont d'un intérêt moindre ou ne sont pas suffisamment développées pour nous saisir au même niveau que les autres, mais l'ensemble est une bouffée de bonheur qu'on ne se lasse pas de revoir à chaque diffusion. Les scènes sont cultes (la danse du Premier ministre, son discours, la déclaration d'amour d'Andrew Lincoln, la course dans l'aéroport, la demande en mariage dans le restaurant, All I want for Christmas is you... il y en a trop !), l'humour parfaitement dosé et la scène finale nous laisse avec le cœur gonflé d'émotion." Caroline Langlois
Quand la radio inspire les cinéastes : Radiostars. "Pour son premier long métrage Romain Lévy nous offre une comédie fraîche et originale. Les dialogues font mouche et le petit groupe (Manu Payet, Pascal Demolon et Clovis Cornillac en tête) fonctionne à merveille. Le film a reçu le prix de la meilleure comédie au Festival de l’Alpe d’Huez et on comprend pourquoi." Laetitia Forhan
Le Royaume-Uni musical des années 60 : Quadrophenia. "Deuxième opéra rock des Who à être adapté au cinéma après "Tommy", ce film musical et générationnel constitue un formidable témoignage des années Mods, mouvance en opposition au rock alors en plein essor dans le Royaume-Uni du début des sixties. La réalisation s'est faite à une époque où ce pays connaissait une autre révolution culturelle oscillant entre le punk et le ska. Et cela se sent dans cette oeuvre sociale pleine de fougue et de rage, à l'image de ces impressionnantes scènes d'émeute qui prennent place à Brighton dans la deuxième partie du film. L'occasion enfin de redécouvrir un tout jeune Sting au magnétisme prometteur." Guillaume Martin