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    Ghost in the Shell, un blockbuster comme vous n’en avez jamais vu [SPONSORISE]

    Scarlett Johansson prend les armes dans Ghost in the Shell, un blockbuster ambitieux et à l’esthétique stylisée qui compte bien réinventer le genre. On vous explique pourquoi. Sortie en Blu-ray et DVD ce 31 juillet.

    De quoi ça parle ?

    Dans un futur proche, le Major est unique en son genre : humaine sauvée d’un terrible accident, son corps aux capacités cybernétiques lui permet de lutter contre les plus dangereux criminels. Face à une menace d’un nouveau genre qui permet de pirater et de contrôler les esprits, le Major est la seule à pouvoir la combattre. Alors qu’elle s’apprête à affronter ce nouvel ennemi, elle découvre qu’on lui a menti : sa vie n’a pas été sauvée, on la lui a volée. Rien ne l’arrêtera pour comprendre son passé, trouver les responsables et les empêcher de recommencer avec d’autres.

    Le saviez-vous ? "Ghost" désigne l'âme, l'esprit. Et "Shell" ("coquille" au sens littéral du terme) renvoie à cette enveloppe corporelle améliorée qui accueille cette âme. De ce fait, Ghost in the Shell pourrait se traduire par "l'esprit dans la machine".

    Paramount Pictures France

    Une claque visuelle

    Situé dans un monde futuriste où la technologie tient une place conséquente, Ghost in the Shell développe un univers innovant. Empruntant son inspiration à deux mastodontes du genre - Blade Runner et Le Cinquième élément – ce film dépeint une ambiance cyberpunk particulière où les hautes tours et les bars d’immeubles sans fin donnent à la mégalopole japonaise une nouvelle aura. La nuit, des hologrammes en 3D animent les infrastructures, offrant ainsi un décor visuel bluffant.

    Si le tournage a eu lieu en Nouvelle-Zélande, c'est notamment pour que l'équipe puisse travailler en étroite collaboration avec la réputée Weta Workshop, société d'effets spéciaux fondée par Peter Jackson et détentrice de studios ultra-modernes. De quoi combler Rupert Sanders, qui souhaitait un mix astucieux entre décors en dur et effets visuels novateurs.

    Scarlett Johansson, la reine de l’action 

    Lucy, Avengers… Scarlett Johansson a prouvé qu’elle pouvait incarner avec une facilité déconcertante des héroïnes badass tournées vers la SF. Elle nous le montre une nouvelle fois avec ce personnage d'"humaine améliorée" experte en combat et capable d’effectuer des acrobaties tout simplement impressionnantes (dont un joli saut de l’ange visible dans la bande-annonce). En mettant l’accent sur l’humanité de son personnage – dont seul le cerveau a été sauvé - Scarlett Johansson apporte aussi une toute autre dimension.

    Paramount Pictures France

    Un film d’action… mais pas que

    « Ils ne lui ont pas sauvé la vie, ils la lui ont volée ». Une tagline percutante, preuve que ce film de science-fiction s’interroge sur la relation homme/technologie, de la même manière que l’ont fait par le passé Matrix, Blade Runner ou la récente série HBO Westworld. Dans un monde futuriste où le hacking s’est étendu au piratage de l’esprit et des pensées (cf le mind-hacker joué par Michael Pitt) et où chaque individu peut aspirer au perfectionnement cybernétique, que reste-t-il de l’être humain ? Le Major, en partant à la recherche de sa véritable identité, incarne cette ambivalence.

    Une musique à l’identité marquée

    Pour accompagner l’ambiance cyberpunk de Ghost in the Shell, les producteurs ont fait appel à Clint Mansell, le compositeur de la musique de Requiem for a Dream, afin d'élaborer une bande-son envoûtante, à l’identité marquée qui vient ponctuer les scènes de combat et les moments d’introspection. Les fans de l’animé sorti en 1995 retrouveront par ailleurs le thème principal « The Awakening » mais dans une version remixée par DJ Steve Aoki.

    Un casting à l’échelle interplanétaire

    Ghost in the Shell se dote d’un joli casting composé d’acteurs venant de tous horizons. Les fans de Hana-bi ou L'Eté de Kikujiro retrouveront avec plaisir le réalisateur et acteur japonais « Beat » Takeshi Kitano. Badass et charismatique à souhait, celui-ci campe le chef de la Section 9 où évolue le Major. Dans cette unité très spéciale, nous retrouvons aussi Batou campé par le Danois Pilou Asbaek, l’attachant sidekick de Johansson qui fut son partenaire trois ans auparavant dans Lucy. Le duo est opposé à Michael Pitt, vu dans I Origins ou 7 Psychopathes, comédien fascinant qui n’a pas hésité à perdre du poids pour le rôle. Enfin, la French Touch est apportée par une touchante Juliette Binoche qui fait ici une incursion remarquée dans un blockbuster.

    Ghost in the Shell, disponible en Blu-ray et DVD ce 31 juillet.

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