Mon compte
    Mafia III promet de la "détente" en famille dans une superbe bande-annonce
    Olivier Pallaruelo
    Olivier Pallaruelo
    -Journaliste cinéma / Responsable éditorial Jeux vidéo
    Biberonné par la VHS et les films de genres, il délaisse volontiers la fiction pour se plonger dans le réel avec les documentaires et les sujets d'actualité. Amoureux transi du support physique, il passe aussi beaucoup de temps devant les jeux vidéo depuis sa plus tendre enfance.

    Attendu le 7 octobre prochain, le 3e volet de la saga vidéoludique "Mafia" se déroule cette fois-ci à la Nouvelle Orléans, en 1968, et voit un ex vétéran du Viêtnam, afro-américain, plonger dans le monde du crime à son retour au pays. Images !

    Six ans après la sortie de Mafia II, qui plongeait le joueur au royaume de la pègre à grands coups de fusils à pompe, trahisons et règlements de comptes (et que nous évoquions déjà ici), l'éditeur 2K et le studio de développement tchèque Hangar 13 annonce l'arrivée du 3e opus de la saga le 7 octobre prochain.

    Contrairement au volet précédent  qui se déroulait dans la ville d'Empire Bay, pendant vidéoludique de Chicago, au lendemain de la Seconde guerre mondiale, le cadre de Mafia III change radicalement; de manière osé est-on tenté de dire. Soit la Nouvelle Orléans, en 1968, dans une ville / monde ouvert du nom de New Bordeaux.

    Le joueur prendra en main le destin de Lincoln Clay, un afro-américain de retour de la guerre du Viêtnam, complètement désoeuvré, dans sa ville natale de New Bordeaux. Il est résolu à laisser derrière lui son passé de criminel. Mais lorsque sa famille de coeur est trahie puis éliminée par la mafia italienne, Lincoln rassemble un nouveau clan et se lance dans une vendetta acharnée pour faire payer les responsables...Jusqu'au dernier, cela va sans dire.

    Meutres sauvages, fusillades brutales et courses-poursuites sur fond de la fantastique chanson Son of a Preacher Man de Dusty Springfield dans cette bande-annonce très réussie, pour un jeu au sein duquel la narration occupera, comme les volets précédents, une grande place.

    Last but not Least, pour rester dans le registre de l'afro-américain vétéran de la guerre du Viêtnam basculant / renouant dans / avec la criminalité, on trouve quelques similitudes avec le (très bon) film Dead Presidents, signé par les frères Hughes, sorti en 1995 en France sous le titre pas super vendeur de Génération sacrifiée. Vous y verrez notamment un Chris Tucker à des années lumières de ses prestations à la sauce Rush Hour.

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Sur le même sujet
    • Au royaume de la pègre avec "Mafia 2"
    Commentaires
    Back to Top