Dans Anthracite : Le mystère de la secte des écrins, une série policière inspirée d’une histoire vraie, Hatik campe Jaro Gatsi, un ancien délinquant en liberté conditionnelle qui cherche à se faire oublier en retournant à Levionna, son village natal. Hébergé par son oncle et sa tante, il nourrit le secret espoir de revoir sa fille au plus vite.
Mais lorsqu’une femme disparait mystérieusement, il est le suspect idéal pour la gendarmerie locale. Sa rencontre avec Ida (Noémie Schmidt), qui lui fournit un alibi, l’entraîne bien malgré lui dans une enquête qui va déterrer de nombreux secrets de famille.
Une cicatrice impressionnante
Le personnage de Jaro a vécu de nombreux drames dans sa vie qui l'ont amené à retourner à Levionna, ville où sa mère a grandi. Dès le premier épisode, nous découvrons que la mère de Jaro, Juliette, s’est suicidée en mettant le feu à l’appartement dans lequel elle vivait avec son fils.
Si le garçon semble s’en être sorti indemne, il a tout de même gardé des séquelles de cet événement. En effet, dans l’épisode 3, nous pouvons voir que le personnage joué par Hatik arbore une cicatrice dûe à une brûlure sur une partie de son dos. Mais est-ce une vraie cicatrice ou un maquillage réalisé pour les besoins de la série ?
“Un gros temps de préparation”
Lors d’un point presse organisé pour le lancement d’Anthracite : Le mystère de la secte des écrins, Hatik a confié que cette blessure était bel et bien du maquillage. Interrogé sur sa préparation pour se mettre dans la peau du personnage de Jaro, le chanteur devenu comédien a en effet expliqué que Noémie Schmidt passait beaucoup plus de temps au maquillage que lui.
“Noémie et moi étions deux opposés. Je venais sur le tournage en toute tranquillité, mais elle, elle était là tous les matins une heure avant pour se préparer”, a-t-il ainsi dévoilé en rigolant. “Sauf quand tu as tes cicatrices” a tenu à préciser l’interprète d’Ida.
“Oui c’est vrai, mais je ne les ai eues que trois fois dans toute la série,” a précisé Hatik. “Toutes les fois où on me voyait torse nu, j'avais des cicatrices. Il y avait donc un gros temps de préparation pour les recréer.
Pendant que je mangeais, les maquilleurs me mettaient les cicatrices. Mais ce n'était pas tous les jours.” Cette cicatrice impressionnante n’est donc que le fruit de plusieurs heures de maquillage.
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