Ce lundi 8 janvier, TF1 a lancé en grande pompe la diffusion du premier épisode de Plus belle la vie, encore plus belle, la suite du célèbre feuilleton de France 3. L’occasion pour les téléspectateurs de retrouver les personnages phares de la série, mais aussi de découvrir de nouveaux visages.
Parmi eux se trouve Samuel Gayet, nouveau policier qui est également le cousin de Gabriel Riva. Il débarque à Marseille suite à une mutation et va peu à peu se faire une place dans le cœur des mistraliens.
C’est Iñaki Lartigue, un comédien vu dans Demain nous appartient, qui se glisse dans la peau de ce personnage. A l’occasion du lancement de Plus belle la vie, encore plus belle, AlloCiné a rencontré l’acteur afin de lui poser quelques questions.
AlloCiné : Pouvez-vous nous présenter le personnage de Samuel, que les téléspectateurs de TF1 ont pu découvrir ce lundi dans Plus belle la vie, encore plus belle ?
Iñaki Lartigue : Samuel Lartigue est un lieutenant de police qui vient d’être muté à Marseille. Mais nous ne savons pas encore pourquoi il a changé de ville. Même moi, je ne connais pas les raisons ! C’est quelque chose que nous allons découvrir plus tard, au fil des épisodes.
Il a un côté bon flic. Il est également beau garçon, et est un peu séducteur malgré lui. Il veut toujours bien faire son travail, et est très sérieux. Il est devenu flic par vocation, il aime ce qu’il fait et son métier. Et accessoirement, c’est aussi le cousin de Gabriel Riva.
Qu’est-ce qui vous a plus dans ce personnage ?
La première chose qui m’a plu dans ce rôle, c’est le fait que c’était un flic. Je n’avais encore jamais joué de policier dans un rôle aussi important. Ce défi m’intéressait beaucoup en tant qu’acteur. Il fallait en effet que j’arrive à endosser le costume de flic tout en gardant ma personnalité qui est à des années lumières de ce genre de personnage.
Je n’ai jamais eu envie d’être policier. Mais je trouvais ça intéressant de voir quel genre de flic je serais et surtout comment je pourrais m’approprier cet uniforme. Il y a également tout un vocabulaire, une façon de parler, de se tenir, d’imposer le respect de la loi qui m’intéressait. Je suis très différent de tout ça.
Je n’aime pas trop les ordres, ni la hiérarchie (rires). Et puis Plus belle la vie permet également de développer un personnage récurrent qui passe par plein de situations différentes. En tant qu’acteur, c’est un plaisir de pouvoir vivre ça.
Est-ce que vous aviez déjà regardé Plus belle la vie avant d’intégrer la série ?
J’ai regardé au tout début pendant quelques années, lors du lancement de la série, quand j’étais enfant. Mais ces dernières années, je n’avais pas regardé. Aujourd’hui je joue avec des acteurs qui étaient présents à l’époque. C’est assez marrant de voir ça. Je n’aurai jamais pu imaginer quand j’étais petit, que 20 ans plus tard, je jouerai avec ces personnages. C’est quelque chose d’assez excitant.
Le personnage de Samuel va donc interagir avec les membres du commissariat. Va-t-il évoluer avec d’autres personnages ?
Pour l’instant, nous n’avons tourné qu’une trentaine d’épisodes. Et cette première intrigue tourne autour du commissariat. Donc je ne sais pas encore comment ça va évoluer. Mais forcément, vu qu’il est le cousin de Gabriel, il devrait sûrement y avoir une intrigue avec lui. Mais pour le moment, c’est le côté commissariat qui est mis en avant.
Avez-vous un souvenir de votre premier jour de tournage ?
Le premier jour, j’avais une scène dans laquelle il y avait quasiment tous les acteurs. J’en ai un souvenir très positif. Tout le monde était sympa, j’ai été très bien accueilli. J’étais très heureux d’être là. Je me souviens que dans cette scène, je devais manger un feuilleté mais j’avais mal choisi. Pendant toute la scène, j’ai dû parler avec ce feuilleté qui m’était resté collé aux dents (rires).
N’aviez-vous pas peur d’intégrer une quotidienne, qui a un rythme de tournage intense ?
Non je n’ai pas eu peur. Surtout qu’au début, j’avais peu de scène donc j’avais le temps d’apprendre mon texte en avance et de me préparer. Par contre, le rythme s’est intensifié par la suite.
J’avais une séquence par jour et c’est là que j’ai vraiment commencé à ressentir une petite pression. Finalement, après la première journée où j’ai eu 8 séquences et 20 pages de texte, je me suis rendu compte que j’en étais capable.
C’est un rythme militaire soutenu mais ça a aussi des bons côtés. Nous n’avons pas le temps de nous ennuyer. Et c’est ça qui est génial. Nous sommes toujours dans le jeu, dans l’action et la création. C’est vraiment agréable d’avoir ce rythme finalement.
Retrouvez les épisodes inédits de Plus belle la vie, encore plus belle du lundi au vendredi à 13h40 sur TF1. Les épisodes sont disponibles en avant-première sur TF1+.
