CONSEILLÉ À PARTIR DE 5 ANS
Il était une fois : Quand les lumières s’éteignent dans le vieux théâtre de Central Park, les marionnettes prennent vie. Parmi elles, Dee (Ana Girardot) et Don (doublé par Eric Judor), qui joue le même rôle de bouffon depuis des années.
Rêvant d’avoir pour une fois un rôle de vrai héros et de découvrir le monde, il prend son courage à deux mains et claque la porte. En chemin, il croise DJ Doggy Dog (Jean-Pascal Zadi), une peluche abandonnée qui aimerait devenir une star du rap.
C’est le début d’une extraordinaire histoire d’amitié. Une grande aventure en plein cœur de New York pour transformer leurs rêves en réalité : même les plus petits personnages peuvent jouer de grands rôles !
Ce qu'ils vont adorer : Des marionnettes qui prennent vie, un chien rappeur, des ratons laveurs gloutons et des aventures pleines d'imagination. Voici Les Inséparables, le nouveau film écrit par deux des scénaristes de Toy Story (Joel Cohen et Alec Sokolow) !
Le long métrage, dont l'action se déroule de nos jours à New York, est produit par le studio d'animation européen nWave, à qui l'on doit Fly me to the moon, Sammy, Le Manoir Magique, Royal Corgi et les deux films Bigfoot.
Les plus attentifs remarqueront d'ailleurs les affiches de plusieurs de ces films lors de la scène où Don chevauche un cheval en plein New York.
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Dans ce long métrage mis en scène par Jérémie Degruson (Bigfoot Junior et Bigfoot Family), un anti-héros va prouver au monde que l'étiquette qu'on veut lui coller ne lui correspond pas.
Inspiré de Don Quichotte, le héros à l'imagination débordante nourrit un rêve d’ailleurs pour faire face à son quotidien médiocre. Celui qui joue sans cesse le bouffon se rêve en héros et va prouver à ses amis qu'il en est véritablement un.
Les plus jeunes apprécieront particulièrement le personnage de DJ Doggy Dog, une peluche DJ. Toujours optimiste, le petit chien ne juge pas et est ouvert aux autres. C'est d'ailleurs le personnage préféré du metteur en scène, qui déclare dans le dossier de presse : "Pour moi, il représente l’enfance avec ses joies, ses peurs et ses espoirs."
Ce qui peut les inquiéter : Les adolescents qui enlèvent les marionnettes pourraient inquiéter les plus petits, mais ces derniers sont si maladroits que le rire l'emporte vite.
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Le film aborde la manière dont les autres nous voient. Au cours du long métrage, Don perd confiance en lui, il est moqué par ses camarades et se dit que, finalement, les autres marionnettes avaient peut-être raison de ne pas croire en lui.
Les jeunes spectateurs peuvent être peinés pour le héros de bois. Mais ce dernier va rapidement reprendre du poil de la bête et prouver qu'il est bien le vrai héros de l'histoire.
Ce qu'ils vont garder au fond d'eux : Ce conte moderne sur des anti-héros que tout oppose mais qui vont s'associer pour parvenir à réaliser leurs rêves les plus fous est d'une grande bienveillance. Il permet aux jeunes spectateurs de comprendre que l'avis des autres n'a pas d'importance et que le principal est de croire en soi.
Pour le réalisateur Jérémie Degruson, "ce film est une ode à l’imagination et la créativité qui, pour [lui], en tant que père de famille et cinéaste, sont des valeurs éducatives primordiales pour les générations futures, surtout avec l’avènement de l’intelligence artificielle."
"Je voulais vraiment que ce film transmette un message universel et intemporel sur l’importance de rêver grand et de vivre encore plus grand. Le monde appartient aux rêveurs... Et peut-être encore plus à ceux qui osent vivre leur imagination avec les autres !"
Hymne à l'amitié sincère et au pouvoir émancipateur de l'imagination, le film s'adresse aux enfants dès 5 ans.
