Après Little Odessa, The Yards, La Nuit nous appartient, Two Lovers, The Immigrant, The Lost City of Z et Ad Astra, James Gray livre sa nouvelle pépite, Armageddon Time. Cette fois, le réalisateur laisse de côté la mafia, la police, la science-fiction ou encore l'aventure pour livrer une œuvre plus personnelle, inspirée de sa jeunesse. Là encore, le film est très bien reçu par la presse française présente sur AlloCiné, puisque sa moyenne est de 4.4/5.
DE QUOI ÇA PARLE ? L’histoire très personnelle du passage à l’âge adulte d’un garçon du Queens dans les années 80, de la force de la famille et de la quête générationnelle du rêve américain.
Armageddon Time réalisé par James Gray
Avec Anne Hathaway, Jeremy Strong, Banks Repeta, Jaylin Webb, Anthony Hopkins...
CE QU'EN PENSE LA PRESSE...
Selon Bande à part :
"Si les thèmes abordés et la mise en scène du réalisateur restent absolument les mêmes, cette balade mélancolique surprend par sa retenue émotionnelle inédite, loin des grandes envolées lyriques des tragédies précédentes de Gray, qui affine ici son style jusqu’à l’épure." (Emmanuel Raspiengeas) 5/5
Selon CinemaTeaser :
"James Gray revient sur deux mois fondateurs de son enfance. Après la transcendance de « Ad Astra », l’appel à lutter contre l’injustice. Hanté et bouleversant." (Aurélien Allin) 5/5
Selon Le Journal du Dimanche :
"Outre le commentaire social et politique d’un pays déjà rongé à l’époque par le racisme et l’antisémitisme, on est bouleversé par ce drame intimiste qui trouve sa puissance dans sa simplicité, par la mise en scène élégante, intelligente et subtile, sans oublier la photographie magistrale de Darius Khondji." (Stéphanie Belpêche) 5/5
Selon Le Parisien :
"James Gray raconte la naissance de sa vocation dans les années 1980, celles de l’ère Reagan — l’expression « Armaggedon Time » est de l’ancien président républicain — en un tableau de famille étourdissant de justesse et de finesse." (La Rédaction) 5/5
Selon Télé 7 Jours :
"Le cinéaste aborde, avec sensibilité et intransigeance, l’illusion du rêve américain et le racisme systémique de son pays. Il n’en signe pas moins un film d’une grâce infinie sur l’enfance et la perte de l’innocence." (Isabelle Magnier) 5/5
Selon CNews :
"Un récit brillamment interprété, qui dissèque l’Amérique et reprend les thèmes de prédilection du cinéaste." (La Rédaction) 4/5
Selon Critikat.com :
"Armageddon Time est un film simple, dénué de l’envie d’impressionner dont témoignaient les premiers coups d’éclat du cinéaste, et cette simplicité, après le décevant Ad Astra, lui permet de retrouver une forme de grandeur." (Marin Gérard) 4/5
Selon Le Monde :
"Ce récit de l’enfance revisitant la désillusion des années 1980 à travers l’amitié tuée dans l’œuf de deux camarades de classe, l’un blanc, l’autre noir, s’est parfois vu réduit à son postulat et considéré comme schématique. Or, chez Gray, tout se gagne dans la durée." (Mathieu Macheret) 4/5
Selon Le Figaro :
"Avec Armageddon Time, James Gray a réussi un cocktail des 400 coups et d’Au revoir les enfants. Il est une Nouvelle Vague à lui tout seul." (Eric Neuhoff) 4/5
Selon Les Inrockuptibles :
"Si presque tous ses films sont associés à des quêtes intimes, Armageddon Time plonge dans la matrice. Cette œuvre à clés nous révèle que derrière la figure récurrente du père, il y a eu dans la vie de Gray un grand-père aimant dont la mort a constitué une perte irréparable." (Emily Barnett ) 4/5