Qu'a-t-elle donc de plus que les autres ? Tentative d'explication en sept points du phénomène Léa Seydoux, à l'affiche cette semaine de "Grand Central".
Si l’Ex-Première Dame Carla Bruni joue les guides dans Minuit à Paris, c’est à Léa Seydoux que Woody Allen confie le rôle de la petite Frenchy qui fait craquer Owen Wilson à la fin de son film (photo ci-dessous). Tenant un stand au marché aux puces, elle affiche un charme bohème mi-parigot mi-aristo. Est-ce ce savant dosage de bonnes manières et d’effronterie ? Il y a quelque chose de très français chez la comédienne, qui incarne la jeunesse contemporaine à travers son personnage d’artiste lesbienne dans La Vie d'Adèle.
Plusieurs de ses films se rattachent à des figures de notre Histoire ou de notre littérature : La Princesse de Clèves (La Belle personne, photo ci-dessous), Elsa Triolet (Roses à crédit), Marie-Antoinette et sa cour (Les Adieux à la reine), Isabelle D’Angoulême (Robin des Bois). France, pays du luxe… Ses détracteurs l’ont assez souligné : Léa Seydoux est issue d’une grande famille d’industriels (mais s'imagine-t-on vraiment que Ridley Scott ou Brad Bird se sont préoccupés de sa lignée quand ils l'ont engagée ?). Petite-fille du PDG de Pathé et petite-nièce de celui de Gaumont, elle a un père homme d’affaires et une mère qui, avant d’œuvrer dans l’humanitaire, fut mannequin (et elle joue le rôle de la mère dans Belle épine…). Si la success story se poursuit avec Léa sur les plateaux de cinéma, l’actrice ne refuse pas d’être associée à l’univers de la mode : elle fut égérie de Prada dans un clip réalisé par Wes Anderson et Roman Coppola puis tout récemment de la marque de vêtements Rag&Bone aux côtés de Michael Pitt.
Bientôt, elle fera revivre Loulou de la Falaise, mannequin et créatrice de bijoux, égérie d’Yves Saint-Laurent, dans Saint Laurent que va réaliser Bertrand Bonello. Et qui s’étonnera de la voir se glisser dans la peau d’un personnage quasi-mythologique issu d’un de nos plus fameux contes ? On pense bien sûr à l’héroïne de La Belle et la Bête, dans la version que vient de tourner Christophe Gans, avec Vincent Cassel.
Le modèle du genre :Catherine Deneuve
Peau d’Ane, Marianne, muse de Truffaut et Yves-Saint-Laurent : so french... même quand elle campe la Reine d'Angleterre dans le dernier Astérix !
Les Adieux à la reine
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