Qu'a-t-elle donc de plus que les autres ? Tentative d'explication en sept points du phénomène Léa Seydoux, à l'affiche cette semaine de "Grand Central".
Interviewée récemment par le magazine Elle, Léa Seydoux demandait : "Peut-on être à la fois cash et mystérieuse ?" La singularité de l’actrice pourrait bien résider dans l’alliance de ces contraires. Elle est apparue en icône, en belle jeune femme peu bavarde (La Belle personne, Inglourious Basterds) et même membre de l’ordre de Malte, en pèlerinage à Lourdes, dans le film de Jessica Hausner. Amoureuse solitaire (Belle épine, photo ci-dessous), veuve énigmatique (Le Roman de ma femme), actrice tourmentée (Petit tailleur), confidente passionnée (Les Adieux à la reine) : autant de personnages à la vie intérieure mouvementée, mais qui ne le laissent presque rien transparaître.
Léa Seydoux, fan des acteurs-caméléons, a pourtant déjà eu l’occasion de montrer différentes facettes. C’est ainsi qu’au Festival de Berlin, en 2012, elle brillait dans des registres opposés, entre Les Adieux à la reine et L'Enfant d'en Haut. Dans ce conte social, elle est une fille du peuple, aux manières frustes, qui passe sans crier gare du rire aux larmes. Et puis il y a la flamboyante Karole, yeux de braise et tempérament de feu, cheveux courts et mini-short en jean. Femme mariée, elle allume sans complexes son collègue Gary dans Grand Central.
Elle explique que ce sont les films hollywoodiens, tels Mission : Impossible (photo ci-dessous) qui l’ont conduite à développer une autre forme de jeu : "J’ai appris à extérioriser mes émotions, car dans ce type de films, il faut que les émotions soient lisibles sur les visages." Le plaisir du jeu passe par la transformation physique et les costumes, car selon Seydoux, "l’habit fait le moine". Il faut donc évoquer les cheveux bleus d’Emma dans La Vie d'Adèle, comme une façon d’assumer fièrement sa différence, et aussi une manière d’envisager la vie en esthète, quitte à négliger le quotidien et ceux/celles qui le partagent. Emma qui offre à Léa Seydoux l’occasion de se montrer sous un jour inédit, effrayante et enragée, lors d’une scène de dispute d’une rare violence.
Le modèle du genre : Isabelle Adjani
De "Histoire d'Adèle H" à "L’été meurtrier", l’actrice absolue, qui se donne passionnément, à la folie.
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