Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
dimanche 27 juin 2010 - 00h00
A l’occasion de la sortie de "Dog Pound", le nouveau film de Kim Chapiron, retour sur les thématiques les plus ancrées dans le film de prison, un genre cinématographique spécifique. Dossier réalisé par Laurent Schenck
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Considérée comme un ultime recours pour rétablir la justice (Midnight Express, Prison Break) ou à la manière d'une sorte de défi lancé à l'institution (Luke la main froide, L' Evadé d'Alcatraz), l’évasion est une des constantes les plus célèbres des films de prison. Certains d'entre eux sont d'ailleurs complètement centrés sur ses préparatifs, comme on le voit avec L' Evadé d'Alcatraz, où Frank Morris (Clint Eastwood) commence, à la seconde même où il franchit les portes de cette prison mythique, à réfléchir quant à un plan lui permettant de retrouver sa liberté.
Cette thématique a également pour conséquence le rapprochement de détenus n'ayant parfois rien en commun, autour d'un même objectif. Dans Prison Break par exemple, le héros est amené à faire équipe avec un tueur en série, un chef de gang et un mafieux, pour pouvoir mettre son plan en pratique.
Même si Ultime Evasion (2008), In Hell (2004) ou Maléfique (2003) font la part belle à la thématique de l’évasion, cette fameuse péripétie narrative a tendance à devenir de moins au moins centrale dans les films de prison les plus récents, disons de manière globale ceux réalisés après les années 70.
Dans les représentations carcérales des années 30 aux années 60, un film évoquant le milieu carcéral était inévitablement centré sur l’évasion et ses préparatifs : The Big House, Je suis un évadé, Le Code criminel, Vingt mille ans sous les verrous, Je n'ai pas tué Lincoln, Le Révolté, A chaque aube je meurs, Un Condamné à mort s'est échappé, etc. Sans oublier tous ces films se déroulant dans un camp de prisonniers de guerre, où des soldats cherchent à s’évader (La Grande évasion, Stalag 17, etc.). Pour les personnages détenus, il n’y avait qu’une priorité : se "faire la malle", quel qu’en soit le prix et quitte à s'y prendre plusieurs fois (Luke la main froide, Papillon, Midnight Express).
Non que cette péripétie incontournable du film de prison ne soit plus d'actualité, mais elle tend à devenir une constante beaucoup moins centrale propre au genre, éclipsée par d’autres sujets focalisés sur la violence carcérale. Dans Un Seul deviendra invincible, Un prophète, Dog Pound et Felon, quatre films des années 2000, le héros incarcéré ne pense pas à s'évader, mais plutôt à survivre dans un univers régi par la loi du plus fort. Et même si les récents Animal Factory, In Hell et Prison Song la mentionnent, il s'agit d'un aspect secondaire du film, qui n'apparait que tardivement dans le déroulement de l'intrigue.
Cette thématique a également pour conséquence le rapprochement de détenus n'ayant parfois rien en commun, autour d'un même objectif. Dans Prison Break par exemple, le héros est amené à faire équipe avec un tueur en série, un chef de gang et un mafieux, pour pouvoir mettre son plan en pratique.
Même si Ultime Evasion (2008), In Hell (2004) ou Maléfique (2003) font la part belle à la thématique de l’évasion, cette fameuse péripétie narrative a tendance à devenir de moins au moins centrale dans les films de prison les plus récents, disons de manière globale ceux réalisés après les années 70.
Dans les représentations carcérales des années 30 aux années 60, un film évoquant le milieu carcéral était inévitablement centré sur l’évasion et ses préparatifs : The Big House, Je suis un évadé, Le Code criminel, Vingt mille ans sous les verrous, Je n'ai pas tué Lincoln, Le Révolté, A chaque aube je meurs, Un Condamné à mort s'est échappé, etc. Sans oublier tous ces films se déroulant dans un camp de prisonniers de guerre, où des soldats cherchent à s’évader (La Grande évasion, Stalag 17, etc.). Pour les personnages détenus, il n’y avait qu’une priorité : se "faire la malle", quel qu’en soit le prix et quitte à s'y prendre plusieurs fois (Luke la main froide, Papillon, Midnight Express).
Non que cette péripétie incontournable du film de prison ne soit plus d'actualité, mais elle tend à devenir une constante beaucoup moins centrale propre au genre, éclipsée par d’autres sujets focalisés sur la violence carcérale. Dans Un Seul deviendra invincible, Un prophète, Dog Pound et Felon, quatre films des années 2000, le héros incarcéré ne pense pas à s'évader, mais plutôt à survivre dans un univers régi par la loi du plus fort. Et même si les récents Animal Factory, In Hell et Prison Song la mentionnent, il s'agit d'un aspect secondaire du film, qui n'apparait que tardivement dans le déroulement de l'intrigue.
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