Quiz Les Affranchis : 7 questions pour tester si vous êtes un caïd ou une balance
lundi 20 juin 2011 - 05h00
L’association entre le cinéma et l’opéra n’a jamais été une simple affaire. Puristes et détracteurs ont toujours revendiqué leur scepticisme face à l’arrivée de l’opéra sur grand écran. Pourtant, l’opéra s’est peu à peu imposé dans les salles obscures. Etat des lieux des liens entre art lyrique et Septième art.Dossier réalisé par Edouard Brane
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Les Contes d'Hoffmann, de Michael Powell et Emeric Pressburger (1951) d'après Les contes d’Hoffmann, opéra de Jacques Offenbach - 1881
Avec Robert Rounseville (Hoffman), Leonide Massine (Spalanzani), Moira Shearer (Stella) et Robert Helpmann (Lindorf)
Direction musicale : Sir Thomas Beecham Bart
Après avoir réalisé Les Chaussons rouges (1947), Michael Powell et Emeric Pressburger cherchent une nouvelle fois à concilier danse classique et art cinématographique. Pour cela, le duo de réalisateurs décide de filmer littéralement un spectacle chanté et dansé. Ce sera l’opéra fantastique d’Offenbach, Les contes d’Hoffmann. Par cette démarche, ils cherchent à trouver un équilibre entre l’onirisme de l’intrigue et l’Image (la majuscule s’impose) que l’on peut en tirer.
L'histoire :
Composé en cinq actes, l’opéra écrit par le français Les contes d’Hoffmann, opéra de Jacques Offenbach (mais qu’il ne terminera pas) raconte l’histoire d’Hoffmann qui, dans une taverne de Nuremberg, rêve de ses amours partagées avec Olympia, Antonia, Giulietta et Stella. Mais dans chaque plongée onirique, le poète perd celle qu’il aime. Il ne trouvera refuge que dans les bras de sa Muse…
La musique :
La musique de cet opéra adopte pour sa plus grande part un style qui caractérise son auteur : l’opéra-bouffe. Mais la partition dégage également un lyrisme magnifique. Le morceau le plus célèbre reste sans doute la Barcarolle, que l’on peut entendre à l’acte IV.
Le film :
Contrairement à ce qu’on rapporte un peu trop souvent, le film de Powell et Pressburger n’est pas un opéra « filmé », mais orchestré par des moyens exclusivement cinématographiques. En adaptant l’œuvre d'Offenbach, les réalisateurs entendent recréer l’atmosphère magique, fantastique et onirique de l’histoire : par la grâce des danseurs, la saturation des couleurs, les décors et la façon dont ils sont captés…
Au niveau du montage aussi, l’aspect purement cinématographique du film se fait sans cesse ressentir : alternance entre plans larges et plans rapprochés, fondus, effets de transparence, ralentis…
Le duo de cinéastes expérimente en permanence. Par exemple, il ne filme pas toujours la scène de manière frontale. Au contraire, Michael Powell et Emeric Pressburger multiplient les angles de prise de vue. La caméra, de son côté, est souvent en mouvement et sert totalement le lyrisme de l’œuvre.
Avec Robert Rounseville (Hoffman), Leonide Massine (Spalanzani), Moira Shearer (Stella) et Robert Helpmann (Lindorf)
Direction musicale : Sir Thomas Beecham Bart
Après avoir réalisé Les Chaussons rouges (1947), Michael Powell et Emeric Pressburger cherchent une nouvelle fois à concilier danse classique et art cinématographique. Pour cela, le duo de réalisateurs décide de filmer littéralement un spectacle chanté et dansé. Ce sera l’opéra fantastique d’Offenbach, Les contes d’Hoffmann. Par cette démarche, ils cherchent à trouver un équilibre entre l’onirisme de l’intrigue et l’Image (la majuscule s’impose) que l’on peut en tirer.
L'histoire :
Composé en cinq actes, l’opéra écrit par le français Les contes d’Hoffmann, opéra de Jacques Offenbach (mais qu’il ne terminera pas) raconte l’histoire d’Hoffmann qui, dans une taverne de Nuremberg, rêve de ses amours partagées avec Olympia, Antonia, Giulietta et Stella. Mais dans chaque plongée onirique, le poète perd celle qu’il aime. Il ne trouvera refuge que dans les bras de sa Muse…
La musique :
La musique de cet opéra adopte pour sa plus grande part un style qui caractérise son auteur : l’opéra-bouffe. Mais la partition dégage également un lyrisme magnifique. Le morceau le plus célèbre reste sans doute la Barcarolle, que l’on peut entendre à l’acte IV.
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