Avis sur Inferno

Inferno c'est ange et demon au rythme pantouflard du da vinci code avec Omar Sy qui remplace Jean Reno, et franchement ca donne l'impression d’être arrivé au bout du rouleau pour tout le monde. Tom Hanck ne fait plus illusion, et on a l'impression de voir un quinquagénaire boursouflé en train de courir après une apocalypse dont personne n'a l'air d'y croire. D’ailleurs tout les acteurs ont l'air de se demander ce qu'ils font là, à par Ben Foster qui est le seul à croire un minimum et Omar Sy qui donne l'une des pire interprétation française qu'il m'ait été donné de voir dans un film américain, battant Léa Seydoux dans Spectre. Au niveau de la mise en scène de Ron Howard, il y a rien à en tirer, ça aurait pu être un téléfilm sur tnt qu'on aurait pas vu la différence. On sent l'implication du bonhomme proche du zéro, le mec fait le taf mais plus pour les retombés financières et l'occasion de voir du pays qu'autre chose. Il aurait plus judicieux de donner la réalisation a un metteur en scène plus impliqué et surtout plus motivé, en l’état cela reste un film moyen a peine mieux que le premier volet de la série. Espérons qu'ils s’arrêteront là et ne tenterons pas de faire une autre adaptation des livres de Dan Brown.

"Inferno" après "Da Vinci Code" et Anges et Démons", ressemble plus à un thriller à l'eau de rose, chic et choc, pseudo historique et mystérieux, mais bourré d'invraisemblances tellement énormes qu'il fait plus sourire que nous tétaniser !
Car même quand on a simplifié l'histoire qui se veut sciemment plus complexe qu'elle n'est réellement sur le fond, cette course poursuite pour récupérer le danger imminent qui terrassera l'humanité ne ressemble vraiment pas à quelque chose de crédible et de sérieux...
Sujet maintes fois déjà vu, l'univers des symboles et l'aspect "dantesque" qu'essaie tant bien que mal d'insuffler Ron Howard sont plutôt abracadabrants, et l'ensemble n'est de fait guère original mais frise par contre souvent la bêtise.
On nous perd en conjectures avec des ficelles tellement grosses qu'on a vite compris qui sont les gentils et les méchants, et Tom Hanks lui-même en professeur Langdon n'y croit pas trop, tout en étant assuré du cachet bien conséquent qu'il aura à gagner dans l'affaire !
Alors un beau voyage en Italie à coup sûr qui donne déjà envie d'y retourner, c'est déjà suffisant rien que pour l'idée (!), mais pas assez pour avoir vraiment peur de cette intrigue en toc, à revoir franchement et sérieusement...

Je ne suis pas un adepte anti-adaptation et j'ai aimé les deux précédents films, mais quand je vois la purge commise sur ce film ... Il y avait un vrai message dans l'histoire de Dan Brown, une vraie réflexion sur la surpopulation et les moyens de le régler.

Là, ils ont pris l'intérêt du film pour le démonter de A à Z en faisant du "méchant" un vrai méchant psychopathe alors que c'est en réalité un visionnaire. Ils ont transformé le but et les moyens de ce personnage faisant du film une daube manichéenne lambda.

J'attendais énormément de cette adaptation car le livre est un pur bijoux! Dan Brown pose la réelle question de la surpopulation par le biais de son personnage Zobric qui au final dans le film est vu comme un monstre à abattre à tout prix. Quant à la fin je n'en parle même pas... ou est la morale dans ce film? Ou en est la réflexion sur le thème de base? Et bien c'est simple, il n'y en a pas, la fin a été complètement changée. Écœurée.... Bref grosse déception. Conseil lisez plutôt que de regarder!!

Autant Da Vinci Code et Anges et Démons n'ont pas été de grand succès critique, on sentait que Ron Howard y croyait et qu'il se donnait a fond dans la mise en scène, qu'il y prenait du plaisir. Inferno, pour tout vous dire, manque cruellement de passion. On peine à s’intéresser pleinement à la quête bien en deçà du niveau du premier film et c'est vite expédiè (en 2h00). Vite oublié aussi et pourtant je suis un grand fan des films de Ron Howard. Dommage. A se demander si lui et Tom Hanks avaient vraiment envie de faire ce film ou bien si c'est juste une obligation contractuelle avec le studio. A voir une fois, dans la cadre de la trilogie, mais c'est tout.

Inferno a autant de bon sens qu’un discours sur les femmes par Donald Trump… Tout n’est qu’incohérence sur incohérence, on passe d’un Deus Ex Machina à un autre. Les personnages se comportent comme des IA scriptés avec les pieds et il n’en ressort qu’une dérangeante sensation de factice. De plus, le récit ne prend jamais la peine de s’arrêter un instant pour créer de l’intensité comme s’il avait l’impératif de finir le plus rapidement possible.

Mais pourquoi ?! Pourquoi !
Dès le début du film j'ai senti l'escroquerie
J'ai tenu jusqu'à la fin espérant une lumière dans l'ombre mais non

Une escroquerie du début à la fin.

Rien à voir avec le film !
Mais ils se sont perdus quelque part.
Je ne sais où mais ils se sont perdus.
Même la fin n'a rien à voir !
Un happy end qu'il n'y a pas dans le film
Le RoLe de Sienna n'a pas été respecté
Ni le rôle de la directrice de l'OMS
Pourquoi modifier un script qui était si Bien. ???
Ok pour les besoins de l'adaptation quelques changements sont nécessaires
Mais de là à modifier aussi Profondément l'histoire qui ne fini Vraiment pas de la même manière dans le livre que dans le film...
Pour moi c'est juste une Imposture
A tout ceux qui ont Adoré le livre
N'allez pas brouiller votre cerveau avec un film aussi médiocre qui ne respecte en Rien le livre

Gros déception ! Je ne comprends pas pourquoi adapter un livre si pour ne pas en tenir compte. Le côté "histoire" n'est pas exploité, la fin n'a plus rien avoir avec le livre...
Ils nous avaient déjà gâcher la fin d'anges & demons, mais la vraiment on se demande pourquoi cette adaptation.
Fan du livre passez votre chemin

J'en ai vu des mauvais films, mais alors là...là...oh punaise ! Est-ce que Ron Howard est devenu fou ? J'avais modérément aimé Da Vinci Code, mais je suis un fou furieux de "Anges et Démons" que j'airegardé la semaine dernière à la télé pour le 4 ou 5e fois. Mais là, dès le début, je me suis demandé ce que j'étais venu faire dans dans une salle de plus de 500 places ou ne devions pas être 10. J'aurais dû mieux lire les réserves des internautes qui critiquaient à juste titre ce film alambiqué qui donne mal à la tête pendant tout le début ou s'enchainent des scènes et des images sans liens à une cadence trop rapide et où on ne comprends pas grand chose. Au bout d'un moment, on saisit l'intrigue, puis le film se met en place, avec son lot de rebondissements (improbables, mais il faut bien qu'il se passe un peu quelque chose), et on a à peu près 1h00 sauvable avant une happy-end toute pop-cornesque ( spoiler: et même une grotesque tentative de reprise d'ydille stoppée 20 ans plus tôt et nourrie par la restitution de la montre "Mickey", bravo le placement de produit ! perdue au début du film
. Dieu que tout ça est puérile et inintéressant. Bilan: 2x10€ et surtout 2h30 de perdues (film bandes annonces pubs attente à la caisse) et 8€ de parking ! On peut porter plainte pour atteinte au cinéma et se faire rembourser ? ou pas ? Grrrrrrrrrrrrrr

Oh mon Dieu, quelle déception. J'attendais cette adaptation avec impatience, mais j'ai failli m'arracher les cheveux de désespoir quand les lumières se sont rallumés.
Si l'histoire suit le cheminement du livre, c'est seulement au début, et pour cause...

spoiler: Ils ont transformé Bertrand Zobrist en fou-furieux voulant éradiquer 95% de la population mondiale. Le virus, qui est apparenté à la Peste ou à un virus extrêmement virulent et mortel, n'est pas relâché. Aucune morale, aucune réflexion sur le problème de la surpopulation.


Les personnages ont tant perdu de leur complexité. J'ai voulu y croire jusqu'à la fin, mais non, c'est bel et bien ainsi que ça se termine.
J'espère qu'ils vont se rattraper avec "Le Symbole Perdu", sinon, ça ne sert à rien.

Et sérieusement, Hans, spoiler: Reprendre la BO du "Da Vinci Code", aussi splendide soit-elle, t'as pas honte?!

Confus, tordu, dynamique mais inutile. Ce nouveau volet très attendu divertit mais déçoit par ses répétitions avec les 2 premiers opus, ses incohérences et sa fin bâclée.

Troisième adaptation de Dan Brown par Ron Howard après Da Vinci Code et Anges et démons, Inferno nous entraîne une nouvelle fois au côté de Robert Langdon qui doit cette fois-ci empêcher la propagation d'un virus mortel. On retrouve avec plaisir Tom Hanks dans la peau de notre expert en symbole qui, de Florence à Istanbul en passant par Venise, va se trouver confronter à l'enfer de Dante en plus d'une amnésie partielle. Le film est bien rythmé, les acteurs sont convaincants et j'ai beaucoup aimé la mise en scène des visions de Langdon. Si vous avez aimé les adaptations du Da Vinci Code et de Anges et démons (comme moi) alors vous aimerez sans doute cette troisième aventure. En revanche, si ces précédentes adaptations vous sortent par les yeux, alors il y a très peu de chance pour que vous appréciez Inferno. Pour ma part, je prends toujours autant de plaisir à voir Tom Hanks courir à droite et à gauche à la recherche d'indices historiques et Inferno ne déroge pas à la règle. Une bonne troisième aventure dans la lignée des précédentes.

Suite des péripéties du professeur Robert Langdon, Inferno est une nouvelle adaptation du roman de Dan Brown qui est le troisième volet de la franchise cinématographique. Mais celui-ci est en fait le quatrième volet de la tétralogie littéraire car Le Symbole perdu a été publié avant... Le cinéaste Ron Howard entame une intrigue qui nous tient à peu près en haleine dans cette course contre la montre avec ces jeux de piste et ces poursuites effrénées mais qui pourtant, manque un certain charme pour nous agripper encore plus à cette histoire de virus qui n'est guère original. Le professeur Langdon se réveille amnésique dans un hôpital italien et s’associe avec le docteur Sienna Brooks qui pourra l’aider à retrouver la mémoire et empêcher un homme de déclencher une épidémie mortelle. Le fait que le film débute alors que spoiler: Langdon est amnésique place d'emblée le spectateur dans un sentiment d'étrangeté.
Son savoir en symbologie et iconographie que possède le protagoniste est communiqué de manière fluide et spoiler: l'intrigue prend tellement de place que l'objectif éducatif est vite mis au rancart...
Ces musées, ces places publics que visitent les deux personnages principaux à travers l'Europe sont fascinants à découvrir. Il est dommage spoiler: qu'ils ne servent que de toile de fond à une course contre la montre assez légère...
De belles images avec une musique plaisante du compositeur Hans Zimmer ! Nous avons une belle distribution côté casting. Tom Hanks ne fait pas une grande performance comparé à ses films récents (Sully) mais il est toujours crédible dans la peau de ce professeur intelligent. Felicity Jones (que l'on verra sur nos écrans dans le nouveau Star Wars : Rogue One) est acceptable, même si son rôle n'est pas fantastique... Omar Sy fait son boulot et spoiler: meurt comme toujours dans une production américaine...
Ben Foster a juste spoiler: son apparition dans l'introduction avec aussi quelques flash-backs de sa part pour mieux cerner ses attentions.
Après, les rebondissements ne manquent pas à l'appel ! Malgré une fin modifiée du roman et faite à la sauce hollywoodienne, Inferno reste un thriller raisonnable dans l'ensemble mais qui aurait pu être plus frissonnant et plus solide dans cette excursion dangereuse.

Malheureusement vu en avant première et très déçu de la prestation globale.
Tom hanks est à bout de souffle et le jeux de piste qu'il nous propose n'est pas crédible pour un sous.
Rassurez vous, vous retrouverez les grosses ficelles habituelles du cinéma américain (spoiler) le gentil méchant, le méchant gentil, la twisted end, l'histoire d'amour avortée(/spoiler)
La performance d'Omar Sy est ridicule, tout autant que le nom franco-francais dont il est affublé qui ne lui va pas du tout.
Sa doublure voix dans la version française ne relève malheureusement pas le niveau !
Bref une vraie déception pour les fans du livre.

Le plus mauvais des trois films de la saga du professeur Langdon.
Inferno ne surprend jamais, pire, il donne envie de rire là où il faudrait s'inquiéter. Une longue descente aux enfers.