Il a le profil des plus grands champions de N'oubliez pas les paroles. Depuis qu'il s'est emparé du micro d'argent le 2 décembre 2024, Benoît impressionne Nagui comme les téléspectateurs du karaoké géant de France 2. Sur les bases des records de la reine Margaux, première du Top 30 des maestros, le photographe de profession franchit progressivement les paliers importants jusqu'à grappiller sa place pour les prochains Masters. Une consécration pour celui qui avait échoué une première fois dans sa quête de cagnotte.
34e victoire pour Benoît qui fait son entrée dans le Top 20 des Maestros
Le lundi 23 décembre, le trentenaire avait une idée en tête au moment de rejoindre le plateau : dépasser le seuil des 250 000 euros de gains. Un objectif atteint dès le premier numéro du jour puisqu'il y a brillé en remportant la somme maximale de 20 000 euros grâce à sa connaissance parfait du tube Joy de François Feldman. Cette performance valait bien une danse de la joie, l'émotion de sa maman Jeanine et les compliments de l'animateur. "Vous êtes le dix-neuvième des plus grands Maestros", lui a annoncé Nagui, avant de préciser quels prodiges de l'exercice se trouvaient juste devant lui. Benoît peinait à réaliser la mesure de son exploit, mais a vite su rebondir puisqu'il a remporté 2 000 euros supplémentaires dans la manche suivante pour porter sa cagnotte à 259 000 euros en 34 victoires.
"C'est un score à mes yeux", Benoît ne réalise pas l'ampleur de son parcours
Dans un entretien accordé à Télé 7 Jours, le champion a confié être toujours en apesanteur après ce coup d'éclat : "J'ai quand même conscience que ça va être de l'argent à l'avenir, mais c'est vrai que pour le moment, c'est un peu un score à mes yeux. Ce n'est pas encore concret". Ces chiffres à donner le vertige lui paraissent encore illusoires, même s'il mesure les risques lorsqu'il participe à la manche finale. "En fait, je ne sais pas ce que c'est d'avoir autant d'argent… Je n'ai jamais eu autant d'argent ! Du coup, ça me paraît totalement irréel", avoue le grand copain d'Etienne, bien parti pour le supplanter.