Une très bonne série, qui n'a malheureusement pas duré autant que je l'aurais souhaité, comme souvent.
Ayant apprécié "Mon nom est Earl", du même scénariste, Greg Garcia, j'ai décidé de découvrir Raising Hope - dont je n'ai d'ailleurs pas réussi à traduire le titre en français, du fait de la forme de "raising" et du jeu de mot sur "hope", voulant évidemment dire "espoir", mais étant aussi le nom de la gamine du personnage principal.
Pour revenir à la série, je pense que je l'ai trouvée encore plus amusante que Earl, d'où sa demi étoile de plus.
Pour résumer, dans la première saison, les histoires tournent autour d'un gars qui a eu une gamine avec une meurtrière et de "comment l'élever" alors qu'il n'y connait rien et qu'il a une famille pour le moins originale.
Dans la deuxième saison, c'est sa grande offensive pour séduire la fille de ses rêves. Enfin, "grande offensive... autant qu'un grand timide maladroit peut le faire.
Dans la troisième saison, sans trop spoiler, je peux dire qu'une fois cet arc de scénario réglé, on passe progressivement du suivi de sa vie à celle des ses parents. Il passe donc en retrait, à leur profit.
Et dans la quatrième saison, les personnages phares de l'histoire sont clairement ses parents.
La famille et tous les personnages permettent de varier les scénarios avec, comme dans Earl, un beau message sur des "héros pauvres".
Raising Hope est vraiment l'archétype de la série simple et sympa, remplie de bonne humeur, censée plaire à tout le monde.