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Votre avis sur How to make it in America ?
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Un poil en dessous d'Entourage, la série est assez hype (il n'y a qu'à voir les musiques). Dommage qu'on ne lui ait pas laissé le temps de monter en cadence.
Avec le succès d'Entourage, toute série produite par l'équipe de Mark Wahlberg était très attendue. La première série à suivre Entourage fut créée par Ian Edelman, "How to Make it in America", qui narrait l'histoire de deux mecs débrouillards dans New York qui cherchaient à lancer leur marque de jeans, puis de vêtements, "Crisp".
Le véritable défaut d'How to Make it in America fut sans doute que sa partie la plus intéressante n'avait rien d'originale. En effet, la storyline principale des deux protagonistes est bien sympathique et bourrée de rebondissements, Bryan Greenberg et Victor Rasuk n'ont pas assez de charisme et de talent pour supplanter celle de Luis Guzman, ancien truand qui essaie de se relancer dans la vie et de se donner une légitimité en vendant une boisson énergisante, appellée RastaMonsta. Cet arc n'a rien d'original, certes, mais il est particulièrement drôle et porté par l'interprétation exceptionnelle du toujours très bon Luis Guzman. Rien ne lui arrive à la cheville dans une série qui se repose entièrement sur le mythe du hipster à New York dans sa deuxième saison, avec un message à deux têtes. D'un côté, la série est très décomplexée, avec des personnages qui font la fête sauvagement, herbe et alcool compris. De l'autre côté, elle dépeint la descente aux enfers du personnage de Lake Bell, assez insupportable. C'est assez agaçant et cela affaiblit totalement la seconde saison, qui possède bon nombre de personnages énervants, comme celui de James Ransone ou de Kid Cudi (qui apparaissait quelques secondes dans la première). Au contraire, Eddie Kaye Thomas et Michael Zegen sont sous-utilisés. L'exception qui confirme la règle est Nick Chinlund, dont le personnage de Yossi est un régal à chaque apparition.
On aurait aimé voir How to Make it in America essayer de s'installer à l'antenne avec une troisième saison mais HBO en décida autrement et annula la série après 2 saison et 16 épisodes. C'est très dommage mais malheureusement, la série ne doit pas manquer à grand-monde. Preuve d'un echec?
Le véritable défaut d'How to Make it in America fut sans doute que sa partie la plus intéressante n'avait rien d'originale. En effet, la storyline principale des deux protagonistes est bien sympathique et bourrée de rebondissements, Bryan Greenberg et Victor Rasuk n'ont pas assez de charisme et de talent pour supplanter celle de Luis Guzman, ancien truand qui essaie de se relancer dans la vie et de se donner une légitimité en vendant une boisson énergisante, appellée RastaMonsta. Cet arc n'a rien d'original, certes, mais il est particulièrement drôle et porté par l'interprétation exceptionnelle du toujours très bon Luis Guzman. Rien ne lui arrive à la cheville dans une série qui se repose entièrement sur le mythe du hipster à New York dans sa deuxième saison, avec un message à deux têtes. D'un côté, la série est très décomplexée, avec des personnages qui font la fête sauvagement, herbe et alcool compris. De l'autre côté, elle dépeint la descente aux enfers du personnage de Lake Bell, assez insupportable. C'est assez agaçant et cela affaiblit totalement la seconde saison, qui possède bon nombre de personnages énervants, comme celui de James Ransone ou de Kid Cudi (qui apparaissait quelques secondes dans la première). Au contraire, Eddie Kaye Thomas et Michael Zegen sont sous-utilisés. L'exception qui confirme la règle est Nick Chinlund, dont le personnage de Yossi est un régal à chaque apparition.
On aurait aimé voir How to Make it in America essayer de s'installer à l'antenne avec une troisième saison mais HBO en décida autrement et annula la série après 2 saison et 16 épisodes. C'est très dommage mais malheureusement, la série ne doit pas manquer à grand-monde. Preuve d'un echec?
Une excellentexcellente série américaine sur comment réussir en Amérique. On suit le parcours de deux personnages incarnés par Bryan Greenberg et Victor Rasuk.
Comment réussir en Amérique? Ben et Cam s'efforcent à y répondre et nous embarquent au passage dans une balade dans les rues de la grosse pomme. Tournée en décors réels, la série devient très visuelle, très Street art, mêlée d' une palette musicale qui colle parfaitement aux soirées branchées dans laquelle elle nous entraîne. Au-delà de l'histoire et des personnages, New York City semble bien tenir le rôle principal, et pour le coup, est magnifiquement mise en scène.
Quand je vois les critiques dithyrambiques sur cette série je me suis dit que j'étais complètement passé à côté du sujet!
Bien que les épisodes soient très court j'ai trouvé que ça tournait en rond assez rapidement. L'histoire ne m'a pas touché non plus. Pourtant le casting tenait la route...
Une belle déception pour moi.
Bien que les épisodes soient très court j'ai trouvé que ça tournait en rond assez rapidement. L'histoire ne m'a pas touché non plus. Pourtant le casting tenait la route...
Une belle déception pour moi.
Comment une telle série a-t-elle pu faire un telle bide la deuxième saison ?
3.5 car la deuxième saison est décevante, plus de place pour des affaires de coeur et on perd un peu l'esprit frais et stylé new-yorkais. On voit un peu moins aussi la relation et le dynamisme des acteurs et le personnage de René ne m'a pas convaincu.
Quel dommage que la série ait été arrêtée à la deuxième saison... une belle énergie et des acteurs excellents !
Un plaisir de voir Kid Cudi sous un autre jour
C'était sympa, too bad !
Un plaisir de voir Kid Cudi sous un autre jour
C'était sympa, too bad !
Une bonne esthétique, des bons personnages, des bonnes situations, très bonne série qui aurait mérité plus de succès et plus de saisons...
original.sans artifice c'est un petit chef oeuvre !!!
Juste EXCELLENT !!! S�rie dans son genre r�ussie presque parfaitement pour ne pas dire parfait !! Je veux pluuus d'episodes :-(
Excellente série, j'ai été déçue que sa finisse. On est très vite embarqué dans l'histoire de ces jeunes débrouillards.
la série et vraiment cool pas de prise de téte on débarque directement dans la vie modeste de new york on ce, mais vite à rentrer dans la vie des personnages qui veulent atteindre le rève américain est monté leu propre marque de vétement en tout quà série bien plaisante et qui sort de l'ordinaire
Lancée sur HBO en 2011, "How to make it in America" suit le quotidien de jeunes new-yorkais vivant de petites combines et de boulots sans intérêt jusqu’au jour où ils décident de prendre des risques et de tout plaquer. Ben et Cam lancent leur propre ligne de jeans, des rêves plein la tête mais inexpérimentés dans ce milieu où la compétition est rude, ils restent néanmoins certains que Crisp a de l’avenir. Le parcours sera souvent semé d’embûches et nos héros vont apprendre que le succès se fait au prix de quelques sacrifices. Produit par la même équipe qu"Entourage", il n’est donc pas surprenant d’y retrouver le même genre d’ambiance, un goût prononcé pour la fête et les dénonciations des pratiques du milieu mais aussi un casting de qualité. Des amis soudés avec comme toile de fond un New York underground naviguant entre les différents milieux et classes sociales de la grosse pomme au rythme de morceaux intelligemment choisis, "How to make it in America" avait de quoi perdurer. Malgré une singularité très appréciée par la critique et le public, les audiences décevantes mais néanmoins pas mauvaises auront eu raison de cette série qui s’achève brutalement et sans véritable fin au terme de seulement deux saisons.
Bien sympa à suivre l'histoire de ces deux types qui essaient de perçer dans la mode, une très bonne première saison (trop courte par contre) qui ne laisse présager que du bon pour la deux. Mention spéciale à Kid Cudi qui est top, mais qu'on ne voit pas assez, dommage !