Breaking Bad
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,7
63139 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Breaking Bad ?

3 145 critiques spectateurs

5
2159 critiques
4
683 critiques
3
154 critiques
2
75 critiques
1
29 critiques
0
45 critiques
Trier par :
Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
Tibo C
Tibo C

8 abonnés 4 critiques Suivre son activité

Critique de la série
1,0
Publiée le 11 août 2012
Surpris pas tant d'avis positif ! Une série molle ! Des longueurs interminables ! Convient parfaitement pour s'endormir bien confortablement dans son canapé ... Courage pour les spectateurs !
Audrey L
Audrey L

664 abonnés 2 648 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 4
4,5
Publiée le 15 août 2018
Un sacré coup de pied au... Le final m'aura tiré quelques exclamations tellement il y a de rebondissements ahurissants dans les deux derniers épisodes ! Accrochez vos ceintures, Walter White est prêt à tout pour sauver sa famille, et le tout dernier plan de cette saison m'a juste horrifiée en comprenant l'envers du décor de toutes les machinations qui avaient eu lieu plusieurs épisodes durant, et maintenant une folle envie de voir la dernière saison pour avoir l'apothéose de ce monstre façonné par la mise en sécurité de ses proches... Bryan Cranston fait vraiment peur à partir de maintenant, et Aaron Paul interprète parfaitement le jeune dealer perdu entre les "carottes" que tend Gus, les balades en voiture avec Mike qui peuvent dégénérer à n'importe quel moment, et une vie familiale qui se reconstruit doucement mais qui reste vulnérable à la moindre bourde face au cartel... Vous l'aurez compris, cette saison est celle de toutes les tensions, et l'on serre souvent les dents en priant intérieurement pour nos deux chouchous (malgré leurs côtés détestables). On regrette seulement cette lenteur dans les neuf premiers épisodes (il ne se passe quasiment rien !) et qui se ressemblent beaucoup entre eux, aucun ne tirant vraiment la couverture à soi. Seuls les derniers épisodes sont d'une intelligence rare, et bourrés à l'extrême de beauté filmique (tournés comme un thriller avec des plans réfléchis et des jeux de lumières ingénieux), des bruitages et musiques de qualité (les "boum" lors des scènes d'hystéries qui deviennent vite oppressants), et surtout le final de spoiler: Gus et Tio
qui m'en a bouché un coin (surtout après la révélation du dernier plan) ! Bien mieux que la saison 3, malgré un démarrage laborieux et lent, les derniers épisodes valent à eux seuls le détour, tant esthétiquement parlant que narrativement : quel final machiavélique !
James Betaman
James Betaman

68 abonnés 238 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 2
3,5
Publiée le 28 octobre 2014
Cette seconde saison de Breaking Bad m'a laissé perplexe. On passe d'épisodes géniaux à épisodes pas très captivants trop souvent. La première saison m'avais captivé, celle-ci m'a limite ennuyé. Je reste fidèle à la série quand même. Il reste des éléments très bons également dans la seconde saison. Le début de la saison est magnifique avec Tuco qui est vraiment un méchant génial. Les nouveaux personnages sont bon. Il y a du suspense et la fin du dernier épisode est vraiment troublant et ça donne envie de voir direct la suite. L'évolution de Walt s'accentue et l'humour noir est toujours au rendez-vous accompagné d'un scénario en béton et des acteurs au sommet de leur art. Reste une mise en scène assez banal, une suites d'événements importants mal mises en évidences et des épisodes vraiment trop lents. Tout cela peine vraiment à nous faire captiver et la musique est moyenne pour ma part (en même temps, si c'est pas du Zimmer, Elfman, Morricone ou Williams, le compositeur aura du mal à me convaincre). Bref, une saison en dessous de la précédente. 3.5/5 Voilà qui est dit!
Joker42
Joker42

18 abonnés 173 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 5
5,0
Publiée le 12 octobre 2014
5 étoiles pour une série qui restera gravée dans ma mémoire. Un chef-d’œuvre, "la meilleure série de tous les temps" dit-on, et bien c'est vrai! Contrairement à beaucoup de séries qui empilent les saisons pour surfer sur l'audimat et le succès, au risque de s’essouffler et de finir par lasser, "Breaking Bad" est une œuvre, car il s'agit bien pour moi d'une œuvre, dont on a l'impression que l'intrigue depuis le premier épisode de la première saison, jusqu'au dernier épisode de la cinquième saison a été pensée et élaborée dès le début. Le tout sans jamais ennuyer un seul instant. Cette série brille donc par sa cohérence d'ensemble et l'évolution logique et crédible de ses principaux protagonistes saison après saison. Cette cinquième saison se montre largement au niveau des précédentes et conclue magnifiquement la série. Sur ce point là, victoire par KO de "Breaking Bad" sur "Dexter" et sa fin badasse. Cela a été beaucoup dit et je le confirme sur cette ultime saison, les scénaristes sont allés très loin dans le jusqu'au boutisme de WW et ses relations avec ses plus proches et au final c'est ce que l'on adore et ce qui ajoute encore à la tension dramatique de la série. Comment ne pas se dire lorsque Enk découvre la vérité sur Walt : "c'est génial la manière dont il réagit face à cette vérité, c'est exactement comme cela que je voulais qu'il réagisse". Encore une fois tout au long des 5 saisons, les scénaristes ont parfaitement vu juste dans les réactions de leurs personnages qui n'ont cessé de nous toucher parcequ'elles étaient justes et toujours appropriées. L'un des fait marquants de cette dernière saison est que tous les principaux personnages subissent un virage à 90° dans leur évolution et leur comportement. Un changement brillant qui ajoute au feu d'artifice général. Comment ne pas être ému également, malgré leur passé et leurs conflits mutuels, de l'ultime poignée de main entre Jesse et Walt, ce duo improbable mais tellement indissociable du succès de la série. Comment ne pas retenir la pléthore de phrase cultes sortie de la bouche de Walt qui nous a tous fait vibrer 5 saisons durant : les "le danger c'est moi", "c'est mon produit", "j'ai gagné", "c'est mon territoire", "je l'ai fait pour moi", "dis-le comment je m'appelle!" etc. Total respect, merci au revoir!
ne0n
ne0n

20 abonnés 110 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 20 décembre 2014
DU TRÉS TRÉS LOURD !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le cinéphile
Le cinéphile

713 abonnés 2 751 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 21 septembre 2015
"Breaking bad" est ce genre de truc de dingue devant lequel on ne peut absolument pas décrocher, ce genre de truc dont on se souvient éternellement, ce genre de truc dans lequel on surkiff tout! Où l'on aime les acteurs et les personnages, où l'on aime l'ambiance et le thème, où l'on aime la bande originales et les rebondissement! Ce genre de trucs qui nous fait planer, planer, planer...
maxime ...
maxime ...

257 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 1
5,0
Publiée le 15 juin 2020
J'avais programmé un retour vers Breaking Bad depuis longtemps maintenant, six années sont passées depuis le dernier tour, quel plaisir ce fut. Dès le début l'on sait, on assiste bien à un projet complètement barge, de démesure et ou la trajectoire se dessine à la fois très rapidement tout en prenant le temps.

Les retournements de folies sont pléthoriques ici, du premier au dernier épisode, mention spécial pour cette baignoire ! La série opère aussi dans la petite péripétie, dans le détail qui semble n'être un rien, Walt en est l'incarnation la plus frappante. Ce personnage Culte démarre son évolution dans cette First Season et il est déjà terrifiant. Je ne me souvenais pas que la bascule agissait si vite. La transformation qui est sienne est fascinante tant il perd pied, se raccroche, invente et s'adapte. Le laps de temps est stimulé par la course contre ce dernier, son cancer comme détonateur.

Le casting est lui génial, Bryan Cranston figure forcement sur le dessus de la pyramide. Je revois actuellement Malcolm, le paradoxe est certain et ne prouve qu'une fois de plus le talent d'un tel acteur. Pour les autres la cadence du premier cité est moteur du parcours de chacun. Ils et elles sont parties prenantes du succès de cette série. Les personnages sont écrits à merveille et sont incarnés à l'écran avec justesse, les comédiens ont d'ailleurs tous compris de leur sujet. Il est indéniable de définir cette idée bien pensée qui relate le parcours ascensionnel comme étant le début de l'intrigue en elle même ! Aaron Paul lui crève l'écran tout autant que son aîné. Jesse bouffe la feuille quoi qu'il fasse, il rate tout ou presque et ne sait jamais trop vers qui ( ou quoi ) se tourner. Son évolution est moins frappante que celle de Walt, il le suit en revanche et est en cela impacté par les décisions de celui-ci. Jesse est complètement bouleversant, la suite le confirmera. Pour ce qui est du cercle de Mr White, Hank, Skyler, Walt Jr et Marie redouble d'effort et de " vice " caché. Une Famille qui de prime abord semble être soudé et bien établit mais dont les aspects moins conventionnels finissent également par resurgir dès lors la prise de décision de Walt. On rit beaucoup des situations parfois cocasses dans lequel ils parviennent tous à se mettre. Hank et Skyler sont très drôle sur ce point précisément.

Les émotions sont diverses dans Breaking Bad, on rit donc, en revanche on ne pleure pas, on retiens ces larmes. La encore Walt maîtrise le tempo, il n'en que très peu conscient pour l'instant ... L'histoire est inventif, les questions posés sont unanimes et concernent toutes personnes concernés par ces choix, tel un miroir face à nous mêmes. La maladie, l'addiction, le travail, le sens de nos vies ... Notre attachement à ces personnes ne peut qu'être croissant.

Le gros travail de mise en scène est à souligné, les détails mentionnés évidemment mais aussi d'un point de vue visuel. Breaking Bad est reconnaissable, elle à son univers, ses couleurs, une atmosphère bien à elle. La musique est aussi bien choisit et capte l'essence du moment ou alors anticipe et retarde le temps. La narration est pointu mais parfaite. La suggestion laisse à son spectateur le soin de stimulé sa pensée, sa mémoire et laisse les portes ouvertes comme rarement une série ne l'avais fait au préalable.

J'enchaîne de suite.
maxime ...
maxime ...

257 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 2
5,0
Publiée le 15 juin 2020
Je n'ai même pas de mots ! J'étais déjà conquis par la première saison mais là ... Un pure Chef d'Oeuvre !

Cette revisite de la série me permet avec les années de voir et de lire entre les lignes. Cette seconde salve d'épisodes comportent également un nombre plus conséquent et trouve avec le temps un développement encore plus " construit ". Le moindre détail est travaillé, laisse supposé une chose ou encore une autre. Les protagonistes de cette histoire se lâche aussi. Chacun contribue à la légende, Tio, Tuco, Badger, Skinny Pete, Jane, Marie, Hank, Flynn, Skyler, Gus et Saul ( cette entrée !! ). Forcement, je ne peux que finir de mentionner les deux personnages principaux qu'en dernier, Walt ( Heisenberg ) et Jesse. Cette fois, on pleure.

On s'en prend pleine la trogne, les émotions sont à vifs, le choc vire au trauma ... Une seconde saison qui embrasse sa folie, sa pleine démesure, la surprise ayant foutu le camp sa force n'en est que plus étourdissante et vertigineuse. J'aimerai en dire encore plus, je n'y arrive pas.

J’enchaîne, encore ... Je ne pourrais pas avoir la patience d'attendre de toute façon.
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
5,0
Publiée le 15 février 2014
Autant que je m'en souvienne, je n'ai jamais pu vraiment blairer les séries télévisées, si ce n'est quelques séries humoristiques ("Malcolm", "The Big Bang Theory"..). Pour la simple et bonne raison que grand nombre de ce séries sont soit trop longues et interminables ("Lost", "Dexter", "Desperate Housewives"..) soit trop clichées et inintéressantes. En tout cas, en ce qui concerne mon avis, strictement personnel, bien-entendu. Ces raisons étaient peut-être liées au fait que je ne regarde pas la télévision. Et puis, on m'a parlé de cette fameuse série "Breaking Bad", avec Bryan Cranston, qui jouait le rôle de Hal dans la série Malcolm, on m'a parlé de son personnage dans "Breaking Bad" très différent, ce qui m'a interpellé, ainsi que de la réussite de la série. J'ai donc décidé d'entamer "Breaking Bad", il y a trois ou quatre mois. Après, une courte pause d'un mois, je l'ai terminée il y a dix jours et... je suis vraiment resté cloué, étonné qu'une série ai pu me faire autant accrocher. Déjà, je dois vraiment m'incliner devant un très gros point de cette oeuvre : la réalisation. Une réalisation de telle sorte est tellement rare de nos jours, même dans le septième art. Oui, on a encore le droit a de très grandes et très bonnes réalisations, mais il ne faut pas oublier le fait que c'est une série ici. Ensuite, il y a bien-sûr le scénario, cette série est très pertinente et très claire, elle est très logique, les détails sont là, présents, Vince Gilligan ("X-Files") a très bien écrit, chapeau. A noter aussi, et évidemment le jeu d'acteur, principalement Bryan Cranston, qui a reçu de nombreuses nominations et de nombreuses récompenses, cet acteur est vraiment excellent, c'est garantit. Nous avons également de très bons acteur secondaires ( Aaron Paul, Anna Gunn, Dean Norris, RJ Milte). Mais ce qui m'a vraiment époustouflé dans cette série, c'est ce réalisme, cette évolution au fil de la série, au niveau des personnages, de tout... Déjà, au niveau de la violence liée avec le personnage de Walter White (père de famille d'un fils handicapé, d'une femme enceinte, et pour être comblé, atteint d'un cancer des poumons, se sentant obligé de dealer de la méthamphétamine, et qui de plus a un beau-frère au service des stups). La violence est très peu élevée au début de la série, sans annoncer la fin ou quoi, on perçoit une différence gigantesque entre les deux premières saisons et les deux dernières (la troisième sert, en quelque sorte, de transition). Pas de clichés de gens qui tuent sans réfléchir, non, là, on ressent la peur chez les personnages ( spoiler: Dans la première saison, Walter refuse de tuer son otage et le fait à contrecoeur avec les larmes au yeux. Dans la troisième, Jesse Pinkman tremble et pleure très longtemps avant de tuer un fabriquant coéquipier de Walter
). Ainsi, chez le personnage principal, c'est une transformation de sa propre personnalité qui va être perçue ( spoiler: Au point que ses ennemis vont tous passer pour de mauvaises personnes, tandis que lui va passer du gentil père de famille "forcé" de faire des choses illégales pour sa famille, à l'enfoiré qui finit par faire ces choses par passion et le spectateur ne s'en rendra compte qu'à la fin de la série
). L'évolution de Walter White et de son coéquipier dans la "société" des hors-la-loi au fil des saisons va être ressentie très profondément. Les deux protagonistes vont prendre des risques inconcevables, et très souvent avec des conséquences menant à la réflexion, aussi bien le spectateur que les personnages eux-même sur ces risques. La série évolue, sans spoiler, de choses sérieuses mais comiques en choses très sérieuses et pathétiques. Le final de la série montre la valeur de l'odyssée de Walter White, qui choquera profondément le spectateur ( spoiler: on se rendra compte que tout ce qu'a entreprit White, n'aura, dans le fond, servit à rien, que toutes ces pertes (son beau-frère Hank), ces sacrifices n'auront fait que aggraver la vie du chimiste et que lui-même se rendra compte, avant de payer pour ses actes, de l'ampleur de son entreprise, d'où la phrase à Skyler dans le dernier épisode :"J'ai cru faire ça pour vous, mais je me suis rendu compte que je l'ai fait parce que j'aimais ça").
En conclusion, cette série restera digne, à mes yeux, de la valeur qu'on lui donne, et que ceux qui hésitent encore à y jeter un coup d'oeil y aillent illico.
Shékiinä .
Shékiinä .

56 abonnés 678 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 25 janvier 2013
Jusqu’où un père de famille est prêt à aller pour aider ses enfants et sa femme suite à l’annonce d'un cancer ? Là est tout le questionnement de Breaking Bad. Un homme, voyant qu'il ne lui reste que peu de temps à vivre, décide de faire du trafic de méthamphétamine pour assurer un avenir financier confortable à sa famille après sa mort. C'est une série qui sort vraiment de l'ordinaire, l'histoire est unique en son genre, et le lieu où se déroule celle-ci est très bien choisi vu qu'il est ici question de drogue. Ils allaient quand même pas tourner en Pologne ou en Bretagne par exemple, ça serait peu crédible. Certains épisodes sont beaucoup trop lents et inutiles par les dialogues ou par les scènes qui n'apportent rien ; tandis que d'autres instaurent un bon climat, une bonne ambiance oppressante, et un bon suspense sous le soleil écrasant du Nouveau-Mexique. C'est très bien filmé, les paysages sont magnifiques, et la réalisation est digne d'un film. Que dire des acteurs aussi ? Ils sont absolument doués, que ce soit Aaron Paul, Bryan Cranston, Anna Gunn ou les seconds rôles. Ils s'investissent dans leur personnage. Sans l'excellent jeu des acteurs, sans l'atmosphère, et sans ce scénario maîtrisé la série serait bien faible vu les quelques longueurs par moment (dommage que la saison 5 soit un cran en dessous des autres).
anonyme
Un visiteur
Critique de la série
4,0
Publiée le 23 novembre 2013
La meilleure série pour moi. Enfin ! De la qualité comme ça c'est rare en série, ça part d'une vraie idée et c'est assez fort psychologiquement, il y'a plein d'humour, des scènes marquantes qui font bouger la série ce qui fait son intérêt par rapport aux séries trop plates. Des rebondissements, des scènes gores, voila une bonne série qui fait réfléchir et qu'on sent qu'il y 'a un mec à l'intérieur.
anonyme
Un visiteur
Critique de la saison 1
3,5
Publiée le 1 décembre 2013
Le bon démarrage d'une bonne série. Une histoire bien trouvée avec plein de moments d'humour, de choc, des scènes surprenantes inattendues et énormes ! ( spoiler: Je pense à la baignoire qui tombe avec le cadavre dissout dedans xD
) Cette série se prend qu'a moitié au sérieux et c'est ça que j'aime, pour l'instant c'est un petit traffic mais ça va devenir bien plus sérieux après.. Les personnages sont supers, très attachants, j'ai rigolé plein de fois devant ces scènes irréprochables niveau humour.
On pourrait résumer cette saison 1 en deux mots : Drôle et bon.
kal-el 02
kal-el 02

121 abonnés 843 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 25 mars 2014
L'une des meilleures séries vue à ce jour! Les personnages sont vraiment attachants, les acteurs excellent dans le domaine, on ne peut s'ennuyer devant cette série, le suspens est au rendez-vous, l'histoire est juste géniale. Plus les saisons passent, plus celle-ci ainsi que l'intrigue sont meilleures, sachant qu'elles sont déjà très bonnes dès le début. La seule remarque qu'on puisse lui faire c'est que dans les 3 premières saison c'est un peux lassant alors que dans les 2 dernière saison c'est vraiment mieux plus de punch . On revoit l'excellent acteur de Malcolm qui est vraiment extraordinaire de passer a un rôle hyper déjantée à un personnage dramatique et assez. Froid c'est juste énorme . Une des meilleur série au monde mais pas plus que game of throne .
antony Z.
antony Z.

75 abonnés 1 073 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 7 juin 2014
Tout semble déjà dis. Les récompenses en attestent et pour une fois, elles sont vraiment objectives ou en tout cas méritées. Cette série est hypnotique, addictive, bouleversante. Plus encore que d'ordinaire, il est difficile de s'arrêter sur un épisode tant le désir du suivant est puissant. Même si souvent, les tournures des évènements sont assez abracadabrantesques, nous sommes comme hypnotisés en suivant cette histoire aussi passionnante que troublante,sombre et violente. Le scénario est empreint d'un soin méticuleux allant jusqu'aux moindres détails. La réalisation est sublime et captivante. Les personnages sont d'une complexité rare et magnétiques. On ressent rapidement de l’empathie et de l'attachement pour eux. Ils évolueront au fil des saisons. Essentiellement les 2 personnages centraux. Walt, qui va s'enfermer dans le mensonge et le déni jusqu'à devenir un tueur de sang froid cynique et manipulateur. Et Jessie aussi énervant par ses maladresses que touchant par sa sensibilité et sa moralité qui va lui aussi faire une ascension psychologique parfois extrêmement violente. Au fur et à mesure, ces personnages vont être entrainés dans un engrenage infernale où ils prendront des décisions dont les conséquences seront irréversible et dont leurs proches en seront directement impactés. Il y avait une certaine moralité quant aux intentions de départ dénonçant au passage un système de santé injuste et même honteux pour une puissance telle que les USA. Cette moralité cèdera sa place à autre chose... Objectivement, le final spoiler: était inéluctable et parfaitement logique tant la situation se dégradait et devenait irrécupérable. Jessie retrouvant sa liberté. Walt attendant que la mort vienne le délivrer de sa blessure, de son cancer, de sa souffrance, de la douleur d'avoir perdu les siens, qu'elle vienne le délivrer de lui-même tout simplement.
Elle est empreinte d'une immense et profonde tristesse, un intense soulagement et d'une beauté marquante. Mais sur un plan personnel, j'aurais espéré un final spoiler: plus positif mais pour cela, il aurait fallu le faire en fin de saison 4 avec 2 à 3 épisodes de plus. Ce qui n'est pas prolifique à la fois commercialement et peut être aussi pour le spectateur qui se délecte plus longtemps des aventures de ces personnages... La portée aussi en aurait été différente.
L'interprétation juste, sincère et touchante des personnages est l'aboutissement d'une série réussi en tous points.
Der Metzgermeister
Der Metzgermeister

40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 27 décembre 2014
J'admet volontiers que cette série est légendaire, mais la pluie de spoils que j'ai reçus ont gâché mon plaisir et ont donc ruiné ma découverte. Que dire ? Le pilote est parfait, nous mettant l'eau à la bouche dès les premiers pas de Walt dans le business, en nous faisant prendre connaissance de ses motivations et de son objectif. En fait les deux premières saisons sont une mise en branle mais pas dans le mauvais sens du terme. Ces deux saisons sont réalistes en tout point, car la démarche de White et Jesse va prendre du temps à se mettre en place. Gilligan est soucieux de de filmer avec précision l'évolution de l'association entre ce prof de chimie cancéreux et son ancien élève toxico. Ce duo entre dans un monde emplit de violence, où ils devront apprendre à se faire respecter et à s'imposer. Les négociations s'aiguisent ce qui met en valeur les prémices d'une expérience dans le domaine de la méthamphétamine. Souvenons nous du premier deal de Walter et Jesse et souvenons nous de la tournure que celle-ci va prendre. Le visage de Walt, affolé par cette démonstration de cruauté, reflète parfaitement de la situation : il voulait un échange exemplaire mais il a obtenu exactement l'inverse. Cet échange témoigne donc de l'impuissance de ces deux néophytes qui vont au final après moult péripéties, gravir les échelons et arriver au sommet. Malgré tout, je trouve que certains épisodes se ressemblent beaucoup. Je n'ai pu compter le nombre de fois où Skylar va prendre à parti Walter pour lui demander où est-ce qu'il avait passer sa journée. Mais cette répétition va finir par s'estomper quand Walt devra se rendre à l'évidence et finir par révéler son secret. Les doubles vies de Jesse et Walt vont finir par les dépassés, et c'est ce dont je me délecte dans Breaking Bad : qui ira plus loin qu'un tel ? Qui sera plus vicieux que l'autre ? Qui gambergera le mieux ? Une chose qui est glaçante dans Breaking Bad c'est qu'à chaque fois qu'un personnage essaye d'arranger la situation, tout dégénère. C'est quelque chose d'assez préoccupant : une mesure amènera à des échanges violents, des menaces ou au pire des victimes. Autre chose de remarquable dans BB, c'est que l'objectif de Walt, charitable aux origines, devient peu à peu un mécanisme de persévérance accrue à chaque succès, ce qui entraîne chez l'antihéros qu'est Walter White, un système vicieux qui tourne finalement au malsain : Fait-il cela pour sa famille ou juste pour satisfaire son ambition débordante ? Les idées doivent se bousculer dans la tête de Walter, qui devient peu à peu un manipulateur hors pair et donc l'homme le plus dangereux de la série. Les méthodes de Walter peuvent paraître répugnantes, mais avouez que l'admiration nous gagne à chaque fois. Dans combien de cas Walt devra t-il mentir, jouer la comédie pour au final tourner la situation en son avantage pour conserver le contrôle ? Je parle du contrôle oppressant qu'il exerce sur Jesse ( l'épisode 12 de la saison 3 ) La crédibilité de Walt repose sur le jeu d'acteur de Bryan Cranston. Bon dieu, voilà bien un acteur hors norme. Un condensé de virilité, d'expression et de comportement. On se souvient tous de la scène où Walt se présente comme personnifiant le danger, avec les tendons de son cou qui se crispent et ses yeux froncés ressemblant à des billes de plombs. Jamais on aura donner autant de profondeur à un personnage. Jamais on ne se sera enfoncer dans les méandres d'un esprit tant guetté par le tourment. Je dois être franc, je crois que cela faisait très longtemps que je n'avais pas été autant assailli par la détresse ou l'insanité qu'à la fin de l'épisode 11 de cette même saison 3. Quand Walt se rue dans son sous sol et cherche avec détresse son argent et qu'il s'aperçoit avec horreur que le fruit de ses efforts s'est volatilisé. La voix de Cranston devient guttural quand il crie, mais lorsqu'il demande une énième fois à sa femme où son argent est passer, j'ai manquer de me faire dessus. Il le gueule avec une telle force, que ça ne m'étonnerait pas qu'Anna Gunn eut été réellement horrifiée par la gueulante de Cranston. Puis vient le moment où Walter part dans un rire hystérique, témoin d'une vésanie engendrée par le stress et les émotions brutales. L'étau se resserre. De plus cette scène contient dans la bande son un battement lancinant ponctuant les rires de Walt et accentuant le message de détresse de Marie, qui m'a presque refiler la nausée. Un des pétage de câble les plus mémorable de l'histoire ( et moi qui croyait qu'on ne dépasserait jamais celui de Nicholson dans Shining, dans le salon Colorado ) En un sens, ces deux scènes s'apparentent beaucoup : Jack Torrance et Walter White sont psychologiquement anéantit, par l'isolement ou par l'attente, et finissent par laisser leur psychose les animer. Certes cela s'observe moins chez White car celui-ci se contient, mais au fond, on ne souhaite par le revoir dans le même état de démence. En tout cas deux interprétations légendaire. Je finis juste sur la scène où Walt perd le contrôle en affirmant que jamais une scène ne m'avait autant atteinte. J'étais presque prit de vertige quand l'épisode se termine. La force de Breaking Bad demeure dans la transformation des personnages. Je n'aime pas parler d'évolution, car il arrive un stade où on arrive à reconnaître nos limites et peut être celles des autres. Si l'on prend un album photo, qu'on observe Jesse dans la première saison et qu'on le contemple dans le dernier épisode ( c'est peut être un mauvais exemple ) ou du moins l'épisode 10 de la saison 3, on est presque choquer par la différence. Comme si le malheur se répercutait sur les traits de Pinkman. Et c'est là qu'on observe avec qu'elle minutie les personnages sont travaillés. Après la série dans son ensemble ressemble à un western contemporain, avec ces plans sur des plaines désertiques ou ces collines baignées dans un soleil ardent, ou bien encore des fois en filmant des entrevues dans le désert. Les gros plan sur les visages ou les inserts font bien penser aux westerns de la vieille époque. Ce que j'adore personnellement. Je vais aborder un point commun que les puristes de la série vont peut être renier mais l'humour de Breaking Bad est un élément majeur dans la série. Omniprésent dans les deux premières série, elle s'amenuise par la suite quand la situation s'envenime, ce qui permet de bien retranscrire la panique générale. Non, franchement des fois j'ai ri de bon cœur. Pas parce que c'était forcément très drôle, juste parce qu'elle était déplacée ou que je ne m'y attendait pas. Quand Walt regarde, éberlué, Krazy 8 courir au beau milieu de la route pour en final se prendre un arbre, j'avoue que je ne m'y attendais pas. Ou encore dans je ne sais plus quelle épisode où Jesse prépare une fournée et que la caméra se décale légèrement pour révéler Walt qui observe son apprenti avec un œil méfiant, j'ai rigoler. Tout simplement parce que l'on connait le tempérament de White et son coté perfectionniste. Voilà. Sinon, incroyablement je n'ai pas été très réceptif au final, triste certes, mais je n'ai pas été émotionnellement atteint. Je ne comprend pas pourquoi. Bref, je boucle car j'ai l'impression d'avoir fait à peu près le tour. Un bijou d'écriture et une grande série.