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Critiques presse
Votre avis sur The White Lotus ?
Critique de la série
3,5
Publiée le 25 février 2025
"The White Lotus" de Mike White s'impose comme une satire sociale dérangeante qui explore avec une précision clinique l'engrenage des catastrophes et l'omniprésence du malaise. Cette série HBO, sous ses apparences de comédie grinçante, dissèque les rapports de classe dans un cadre paradisiaque qui devient progressivement le théâtre d'un naufrage existentiel collectif.
La série excelle dans sa capacité à générer un sentiment persistant d'inconfort chez le spectateur. Nous observons, souvent impuissants, les personnages s'enfoncer dans des spirales d'autodestruction où chaque tentative de résolution ne fait qu'aggraver leur situation. Cette mécanique implacable, bien que fréquemment exploitée dans d'autres œuvres télévisuelles, trouve ici une expression particulièrement affûtée qui divise nécessairement les spectateurs selon leur tolérance pour ce type de narration anxiogène.
L'aspect délibérément trash de certaines séquences participe à cette expérience viscérale qui ne laisse jamais indifférent. Les excès des personnages, leurs névroses et leurs comportements parfois répréhensibles sont exposés sans complaisance, créant un miroir déformant mais révélateur de certains travers sociaux contemporains.
Le regard porté sur la richesse et le pouvoir constitue l'aspect le plus perturbant et complexe de "The White Lotus". La série entretient une ambiguïté morale troublante, refusant d'offrir des jugements définitifs ou des leçons simplistes. Cette posture équivoque, où les privilégiés sont tantôt ridicules, tantôt fascinants, tantôt odieux, brouille volontairement les repères éthiques du spectateur, laissant la morale de l'histoire volontairement opaque.
La distribution remarquable, servie par une écriture ciselée des dialogues et une mise en scène qui exploite magistralement les contrastes entre la beauté du décor et la laideur des comportements humains, contribue à l'impact durable de cette œuvre.
"The White Lotus" s'affirme comme une proposition télévisuelle singulière, délibérément dérangeante mais indéniablement captivante, qui ne cherche pas à plaire au plus grand nombre mais propose plutôt une expérience intense à ceux qui acceptent de se confronter à son miroir social impitoyable.
Critique de la saison 1
2,0
Publiée le 24 février 2025
Pour ma part j'ai regardé les 3 premiers épisodes. Tres lent, des plans interminables, des dialogues soporifiques, bref un interet tres limite malgré le fait de vouloir aller plus loin. J'avoue ne pas comprendre un tel enthousiasme. Ni drole, ni passionnant, ni décalé.
Critique de la série
1,5
Publiée le 21 février 2025
J'avais adoré les deux premières saisons avec des personnages hauts en couleurs, aux fortes personnalités et surtout excellents dans le jeu... Aujourd'hui, je découvre la saison 3 avec des premières images enchanteresses, magnifiques mais la découverte des nouveaux personnages est catastrophique, après 30 min j'ai lâché prise... Les comédiens sont mauvais, insipides, aucune présence et un jeu 100 % Actor Studio... Quel gâchis dans un environnement pourtant magnifique...
Critique de la série
1,0
Publiée le 12 mars 2025
Oui 1 étoile car cette saison est 100 x en dessous des deux autres. A commencer par le casting franchement insipide. Même Walton Goggins est fade. Le rythme qui faisait la force de la série s'est perdu tant c'est mou. Le lieu choisi pour cette saison est également regrettable car il ne fait pas rêver. Enfin, en essayant de vous teaser à fond le come back de Greg, cela montre bien que le réalisateur n'avait rien d'intéressant à raconter cette saison. Un loupé complet.
Critique de la saison 3
1,0
Publiée le 21 mars 2025
je suis à l'Episode 4. c'est très lent, histoire faible. Dommage les précédentes saisons était top mais la corde est usée. passez votre chemin
Critique de la saison 3
4,0
Publiée le 7 avril 2025
Fini The White Lotus S3 !
Qu'est ce que j'aime cette série profondément. Après Hawaï et l'Italie, cette 3ème saison nous embarque dans un hôtel de luxe en Thaïlande avec de nouveaux personnages intéressants et de nouvelles histoires très prenantes. J'ai préféré cette saison pour son casting et ses protagonistes mais niveau intrigues j'ai préféré la saison 2. Sur le côté performance, tous les acteurs et actrices sans exception font un boulot monstrueux. Jason Isaacs, Carrie Coon, Walton Goggins, Patrick Schwarzenegger et Aimee Lou Wood sont ceux qui m'ont le plus impressionné dans leurs manières de donner vie à leurs rôles qu'on les aime ou pas. Les histoires de chacun auraient méritées d'être plus approfondies et quelques scènes assez ennuyeuses. Un milieu de saison lent et un final palpitant. Mais la saison déborde d'idées et de prises de risques toutes assumées. J'aimerais une S4 avec un peu plus de "dramas" !
Critique de la saison 3
3,5
Publiée le 24 avril 2025
"The White Lotus" revient pour une troisième salve d’épisodes toujours signée Mike White. La série conserve les atouts qui ont fait son succès, c'est-à-dire un décor paradisiaque, une galerie de personnages dysfonctionnels et une satire sociale toujours aussi piquante. En revanche, derrière cette façade luxueuse, l’intrigue laisse à désirer. Les épisodes traînent en longueur, les rebondissements se font attendre, et la promesse d’un final haletant ne suffit pas à compenser une saison globalement creuse. Cette saison 3 semble tourner en rond, recyclant le schéma des saisons précédentes sans réelle prise de risque. Si le regard porté sur les dynamiques familiales toxiques des personnages amuse, l’ensemble reste un peu trop en surface. En résumé, c’est une saison agréable, mais un peu tiède par rapport aux précédentes. On savoure toujours le cadre et l’absurde, mais on s’attendait à bien plus.
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14/20
Critique sur The White Lotus (saison 3)
Vue du 18 février au 08 avril 2025 sur Max
Critique de la saison 3
4,0
Publiée le 15 avril 2025
The White Lotus est une série que j’ai découverte tardivement, en rattrapant les deux premières saisons l’année dernière, et c’est rapidement devenu l’un de mes énormes coups de cœur du moment. J’attendais donc avec impatience cette nouvelle saison. Et même si je la trouve un peu moins percutante que la deuxième – qui reste pour moi la meilleure – on reste malgré tout dans le très haut du panier.

Mike White – qui a pour particularité, quasiment unique à Hollywood, d’écrire cette série entièrement seul – reproduit une nouvelle fois la recette qui fait la singularité de cette série anthologique. Cette fois, il nous embarque en Thaïlande, avec une nouvelle galerie d’ultra-riches, qu’il s’amuse toujours autant à malmener. Il les scrute, les maltraite presque avec un plaisir sadique, mais toujours avec finesse.

On retrouve tous les éléments qui font la force de The White Lotus : une narration inégalable, au rythme lancinant, qui prend le temps de se perdre, de flâner, tout en installant une atmosphère singulière et envoûtante, renforcée par une puissance visuelle remarquable. La série mêle comme aucune autre l’humour, la satire sociale et le thriller, avec un ton léger, presque banal, qui contraste avec un propos souvent très lourd sur la violence sociale, la déconnexion des élites, et plus globalement une étude sociologique de nos travers contemporains.

C’est sûrement la meilleure série comique que j’ai vue récemment – mais une comédie cruelle, caustique, sans concession. L’écriture est d’une maîtrise assez folle : elle renverse les stéréotypes, nous prend constamment à contrepied, tout en restant toujours très drôle, percutante et d’une cohérence rare. Elle jongle habilement entre répétitions et éléments de surprise, refusant le jeu de l’hyper-stimulation et de la gratification immédiate, pour proposer une expérience plus exigeante, mais bien plus gratifiante à long terme.

Le casting est une fois encore impeccable : Jason Isaacs, Charlotte Le Bon, Walton Goggins, Carrie Coon, Aimée Lou Wood ou encore Patrick Schwarzenegger composent une galerie de personnages qu’on prend un vrai plaisir à suivre, à ausculter. Il y a ce trio d’amies hypocrites, cette famille WASP traditionnelle, ce couple bancal ou encore les employés désabusés de l’hôtel. Chacun d’eux porte en lui une faille, un drame, une vérité sur notre époque.

Esthétiquement, la série continue de briller. Sa douceur visuelle, en contraste total avec la noirceur de son propos, participe pleinement à son identité. À cela s’ajoute une signature musicale géniale, qui contribue encore davantage à son unicité.

On pourra peut-être reprocher à cette saison d’être plus sombre, moins “good vibes” que les précédentes, et d’avoir encore davantage ralenti le rythme. Mais à mes yeux, elle n’en perd rien en qualité. Bien au contraire. Tout, dans The White Lotus, semble pensé pour durer, pour marquer, pour faire sens. C’est une œuvre unique, qui a su s’imposer par son style, son regard et son audace. Une leçon de storytelling et de production sérielle. Une des séries les plus cohérentes, lucides et pertinentes sur son époque.
Spirit

15 critiques

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Critique de la saison 3
5,0
Publiée le 9 avril 2025
Réalisation, acteurs, décors, musique... tout est particulièrement bien maitrisé dans cette saison. Mais surtout elle nous questionne sur ce qu'on est prêt à réellement perdre, sur le prix de nos valeurs, sur nos problèmes existentiels. Une véritable introspection. Et c'est ce qui rend cette saison assez unique car elle va plus loin que le simple divertissement, elle nous remue ! Après on adore ou on déteste.
Critique de la saison 3
4,5
Publiée le 9 mai 2025
Préambule
Des coups de feu, une panique légitime puis l’apparition d’un corps inanimé dans le paisible cours d’eau circulant au sein du domaine du « The White Lotus ». A l’instar des deux volets précédents qui nous avaient embarqué pour Hawaï et la Sicile, la série nous propose un voyage en Thaïlande où il s’agira une nouvelle fois de comprendre les raisons de ce drame mortel, d’en découvrir les auteurs ainsi que les victimes. A travers la description des richissimes clients de cet hôtel luxueux, Mike White, l’auteur de cette anthologie passionnante, avait réussi à dresser un portrait corrosif d’une élite oisive et nombriliste, venue en vacances pour se faire servir et assouvir leur insatiable appétit consumériste. Dans ce contexte, on avait fréquenté une myriade de personnages capricieux et résolument imbus d’eux-mêmes que la tonalité sarcastique de la série avait contribués à rendre délicieusement détestables malgré leurs apparentes blessures narcissiques.

Et c’est reparti pour un tour
Pour ce troisième chapitre, le concept de la série reste fondamentalement inchangé. Ainsi, le premier épisode se contente de nous présenter les résidents du White Lotus thaïlandais. Au menu cette fois-ci, un quinquagénaire irascible plus motivé à rencontrer le riche propriétaire de l’hôtel, qu’à profiter des séances de relaxation gracieusement dispensées dans cet endroit paradisiaque. Sa mauvaise humeur, il en fait largement profiter sa jeune et amoureuse compagne, Chelsea, qui semble lui taper sur les nerfs dès qu’elle ouvre la bouche (c’est-à-dire, tout le temps !). Puis, de manière plus classique, ces trois copines d’enfance qui souhaitent fêter leurs retrouvailles en profitant des plaisirs offerts par la généreuse Thaïlande. Enfin, la famille Ratliff au grand complet. Leur richesse, ils la doivent à Timothy, le père, un chef d’entreprise à la probité douteuse rapidement menacé par une sombre histoire de détournement de fonds. Saxon, le grand fils travaille dans l’entreprise de papa. Son projet se résume ainsi à « soulever » le plus de filles possible. Il s’est par ailleurs donné pour mission de faire découvrir la vie à son petit frère Lochlan, un jeune homme qui se cherche et porte l’assurance de Saxon au pinacle. Victoria, la mère, assume pleinement son statut de nantie ce qui ne l’empêche pas de calmer ses angoisses aux anxiolytiques. Et puis, il y a Piper, la sœur. C’est elle qui a choisi de venir en Thaïlande afin d’y rencontrer un moine bouddhiste dans le cadre de ses études. A cela s’ajoutent les parcours des subalternes : Gaitok, le gardien du parc épris de la jeune Hook qui lui reproche implicitement son manque d’ambition et la masseuse Belinda, en formation dans l’hôtel, qui rêve enfin d’ouvrir son propre salon. Les présentations faites peut alors débuter le théâtre des vanités.

Un manque cruel de contenu
Commençons par ce qui fâche. « The White Lotus » nous avait habitué à l’excellence. Derrière les portraits, tous d’une précision diabolique, se dressait la manière d’être au monde de ceux qui ne connaissent pas la privation. Qu’il s’agisse de leur rapport entre membres de leur propre caste ou des liens qu’ils entretiennent avec ceux qu’ils jugent inférieurs, les axes de réflexion étaient multiples et subtils, les émotions qui en découlaient, innombrables. Cette troisième saison est, sur ce plan, beaucoup plus inconsistante. Certes, elle évoque l’idée que, lassés par une vie où rien ne leur est refusé, certains recherchent désormais le plaisir dans le spectacle de leur propre luxure. Par ailleurs, elle interroge les personnages sur leur capacité à se passer du train de vie qui est le leur. C’est déjà pas mal mais c’est aussi assez peu. Globalement, son contenu reprend beaucoup des thèmes qu’elle avait déjà évoqués : le narcissisme, l’arrogance, le besoin de domination et la « débauche » comme moyen de se sentir exister. On perçoit même une ode à l’amitié et à la force des liens familiaux, un message consensuel assez déroutant pour une série jusque-là empreinte d’une noirceur subversive décapante. L’exemple le plus flagrant est celui des trois amies. On assiste simplement à un spectacle assez classique où il sera question de jugement superficiel entre femmes aux parcours de vie et aux idées politiques dissemblables. Cet arc narratif, incontestablement le plus faible de tous, est assez vide de sens.

Quelle direction d’acteurs !
Pourtant, malgré des propos qui tournent largement en rond (c’était à craindre), la mayonnaise prend largement. Si on ne trouve pas le temps long en observant les pérégrinations de Jaclyn, Kate et Laurie, c’est que Mike White use intelligemment de plans assez courts pour faire cohabiter sa multitude de personnages en un tout harmonieux et dynamique. Mais il parvient surtout à en brosser délicatement les portraits, aidé en cela par des interprétations d’une incroyable précision. C’est d’ailleurs l’une des forces de cette série que d’être systématiquement pourvue d’acteurs époustouflants. Si on devait n’en citer que quelques uns, notons la performance remarquable (une fois n’est pas coutume) de Walton Goggins en homme rongé par le mal-être et tellement obsédé par sa quête qu’il se montre imperméable à l’amour qui lui est offert. Quant à Patrick Schwarzenegger, il insuffle à son Saxon la dose appropriée de masculinisme sûre de sa force propre à le rendre aussi détestable que démuni au moment de se trouver une « âme ». Enfin, comment rester insensible à la candeur désespérante mais sincère de Chelsea qui espère réparer les maux de son acariâtre amant ? Devant un tel sentiment de perfection qui se répète de saison en saison, impossible de ne pas désigner Mike White comme étant le principal instigateur de cette capacité à traquer l’expression juste des visages. Ainsi, en dehors du gérant de l’hôtel franchement insipide, il est époustouflant de constater que tous les protagonistes de cette histoire sont pourvus d’une personnalité singulière dont on peut louer la qualité d’écriture.

Une narration aux petits oignons
Ce soin apporté à chaque détail, on le ressent également dans la construction du récit qui veut que se rejoignent dans un final très attendu les différents arcs narratifs de cette histoire. Tous, sauf celui « des trois copines » que l’on peut décidément considérer comme le véritable talon d’Achille de cette saison. Le sort réservé à Belinda connaît également une forme d’indépendance mais il a le mérite de boucler astucieusement ce qui avait été entamé au moment de faire sa connaissance sur l’île d’Hawaï. Comme le disait Desproges : « Les riches forment une grande famille, un peu fermée certes, mais les pauvres, pour peu qu’on les y pousse n’en demanderaient pas mieux que d’en faire partie ». Jusqu’à reproduire ce qu’ils ont eux-mêmes enduré. Pour le reste, plus on s’approche du dénouement, plus la tension se fait ressentir ce qui est tout de même un gage de qualité scénaristique. Pendant longtemps, il nous sera bien difficile d’anticiper l’origine des déflagrations à venir tant le danger semble susceptible d’émaner de partout et dans de multiples directions. Et même après que la mort a frappé, une dernière pirouette magistrale se chargera de surprendre le spectateur, rendant particulièrement cruel ce tragique épilogue qui, cette fois-ci, ne prête pas à rire.

Une esthétique inégalable
Cet humour souvent malaisant qui caractérisait « the White Lotus » est bel et bien présent mais beaucoup plus diffus. Ainsi, les trois amies se trouvent en panique devant les tirs répétés d’enfants s’amusant à les arroser de leur pistolet à eau. Leur incapacité à se plier aux coutumes locales et d’en accepter les minimes conséquences se révèlent assez cocasse. Par ailleurs, les postures avachies et le regard hagard de Timothy, drogué aux anxiolytiques plus de la moitié du temps, constituent un élément comique des plus croustillants. Pour le reste, il convient, pour apprécier le burlesque de certaines situations, de se pencher sur la bande-son qui les accompagne. Cette dernière se plaît non seulement à souligner le caractère grotesque des attitudes de chaque personnage mais elle procure à l’ensemble de la série une atmosphère à nulle autre pareille. D’une richesse époustouflante, composée de sonorités qui dépassent largement le cadre de la simple mélodie, elle devient un élément indissociable du récit. Même le générique dont on regrette d’abord que l’ancien n’ait pas été conservé contient une montée en puissance rythmique qui le rend rapidement addictif. Enfin, à cet aspect formel vient s’ajouter une qualité de mise en scène à la hauteur de ce dont la saison précédente nous avait gratifiés. La diversité des paysages de Thaïlande à laquelle personne ne semble prêter attention transpire dans chaque plan de cette œuvre magnifique qui fait honneur à son pays hôte ; la richesse de la pensée bouddhiste sert quant à elle de contrepoint essentiel à la vacuité spirituelle de la plupart des résidents du White Lotus dont les comportements sont considérés avec amusement par les nombreuses figures « divines » qui les côtoient quotidiennement. Alors oui, ce troisième chapitre peine à renouveler son contenu. Mais pour toutes les raisons évoquées ici, elle conserve ce parfum à la fois unique et subversif qui lui est propre. Un parfum sulfureux dont on reste imprégné plusieurs jours durant. On peut la critiquer mais elle est sans conteste ce qui se fait de mieux dans l’univers télévisuel actuel.
Critique de la série
1,0
Publiée le 4 avril 2025
J’ai beau cherché, je ne comprends pas du tout l’engouement pour cette série qui a été encensée par la critique…
Le scénario est creux et aucun personnage n’est attachant, ils sont tous énervants à un niveau où ça en devient frustrant au fil des épisodes. Les images et les dialogues, tout est vulgaire, cru, malaisant et pas du tout drôle ! Soit disant une série comique …
Ils ont sûrement voulu mettre en exergue l’état d’esprit actuel de la société dans laquelle nous vivons mais ce n’est pas du tout divertissant, au contraire !

En résumé je trouve la série agaçante, frustrante et prétentieuse. Tous les personnages sont insupportables, égoïstes, hypocrites ou détestables.
[SPOLER // Il n’y a pas de moral à la fin, pas d’intrigue ni de suspens. Juste des riches qui restent riches et des pauvres qui subissent l’injustice de cette société.
Rien de nouveau quoi… \\SPOILER]

Série ultra sur quotée, sans intérêt
Cette série c’est le vide absolu !!
Critique de la saison 3
4,0
Publiée le 13 avril 2025
Une excellente saison, que j’ai préféré à la seconde finalement (la première est pour moi intouchable). J’ai trouvé la mise en scène splendide, et un suspens bien plus présent que dans les autres saisons. J’ai été davantage touché par certains personnages de cette saison, notamment l’histoire du trio d’amies absolument géniale et quel plaisir de retrouver Belinda ! Le duo thaïlandais est également vraiment joli avec une Lisa à des années lumières de son image de pop star, dans un rôle d’une simplicité et d’un naturel touchant.
Dans le négatif, le rythme est un peu long au milieu de la série, et certains personnages assez anecdotiques car n’apportent rien au propos. Et il manque notre Tonya nationale tout de même (Jennifer Coolidge forever).
Mais j’ai pris beaucoup de plaisir à visiter le White Lotus Thaïlandais ! Et vivement la prochaine destination !
Critique de la série
1,0
Publiée le 24 février 2025
Je suis assez fier d'avoir tenu un épisode et demi de la saison 1. Puis j'ai mis fin à l'expérience.
Le scénario manque parfois de cohérence, l'aspect humoristique est raté (c'est bien sûr subjectif) s'il prétendait ressembler aux codes burlesques des Monty Python, les personnages ne sont vraiment pas attachants et le jeu des acteurs oscille entre superficiel et surjoué. Alors que reste-t-il ?
Enfin, toute cette exagération ramasse tous les clichés d'une société américaine qui m'inspire autant qu'un énorme Hamburger dégoulinant de Ketchup et de fromage fondu industriel.
La caricature est un art que tout le monde ne maîtrise pas.
Critique de la saison 3
1,0
Publiée le 8 avril 2025
Que ce fut long..... franchement pour n'importe quelle autre série j'aurais laché. Mais comme c'est TWL je me dis dit, accrochons nous, la deuxieme moitié de la saison va décollée... puis ça n' pas décollé.
Pire ça ralenti, encore et encore. Les storylines de la famille et des trois amis sauvent un minimum la saison mais même comme ça la fin offerte à celle de la famille est ultra décevante et réchauffée (pas digne de TWL). Et faire de la storyline la plus incipide de la saison, le coeur du dernier épisode, c'est vraiment le suicide ultime. J'ai regardé ma montre plus d'une fois sur le dernier épisode qui dure 1h30... avec 1h de trop clairement.
Tellement déçue. Mike White aurait dû avoir l'humilité de partager la scénarisation de cette 3eme saisons avec d'autres car là, à vouloir faire seul, il a épuisé sa créativité et ça ne marche plus du tout.
Critique de la saison 3
0,5
Publiée le 14 avril 2025
Incroyable, quel ennui, cette troisième saison est tellement creuse et insipide, quel dommage après deux premières saisons grandioses. Il ne se passe absolument RIEN.