Première dérivée de la série mère culte, celle-ci à l'unique particularité d'offrir une histoire sanglante par épisodes. Hormis la première étalée sur 2 voir 3 parties, les autres offrent un grand ensemble de visuels et morales bien différentes qui, personnellement et malheureusement, n'ont ni le temps d'explorer ni de se conclure rationnellement. Les histoires ont bien une intro, milieu et fin concrète mais en seulement 40 à 50 min, la logique scénaristique est bien trop "bâclée" et conclu tous les récits de tel sorte qu'il n'y est aucune possibilités d'en découvrir un aperçu minime sur la suite.
L'épisode 4 est un parfait résumé de la société digitale & numérique ou l'ultra présence des réseaux va jusqu'à l'excès le plus extrême dans l'obtention de milliers, millions d'abonnés. le 3 reste un hommage au cinéma d'horreur gore qui, encore actuellement, provoque scandale, nausées et même "meurtres" partout ou son récit et visuel passent. Le 6, tel la zone 51 ou assassinats d'anciens présidents, remet un coup dans les secrets d'états et raisons pour lesquels les parcs nationaux auraient réellement été créer. Hommage non direct à certains récits modernes peu cher traitant des même sujets ("The Descent", "Pyramides", "Chroniques de Tchernobyl"...). Enfin, les 2 premiers ainsi que le dernier restent le même sujet puisque, rendant hommage à la première saison de la série mère, exploitent de tous nouveaux visages, nouveaux points de vue et meurtres mais, finalement, même lieu par évidence avec en "guest", Dylan McDermott
. Globalement réussie, cette première saison rempli le contrat et donne naturellement envie d'en vivre la suite. Avec peut être sur un malentendu, plus d'épisodes.