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Suite à l’annonce de la suppression de cette série, je me suis dépêché de la binge watché. Quelle erreur ! J’ai passé un très mauvais moment devant celle-ci. Le concept est très intéressant mais le scénario n’en fait rien ; la réalisation s’efface au fur et à mesure des épisodes.
Très rapidement, la mise en scène pourrait faire penser à celle de “The Office” sur le côté immersif ; c’est souvent filmé de manière rapproché accompagné de rapides zooms pour plus de réalisme. Mais, cela finit par disparaître pour montrer des images banales sans personnalité ni volonté de transmettre des émotions. Tout finit par être fade dans l’image. En ce qui concerne les musiques, elles ont toutes été piochées sur Tik Tok pour faire plaisir aux plus jeunes. En clair, un début de réalisation très intéressant avec une chouette partie prise pour finir avec une image façonnée pour enchanter les enfants.
Comme expliqué plus haut, l’idée est intéressante mais j’ai l’impression que le basket finissait par n’être qu’une sous-intrigue face à des histoires d’amour, d'amitiés et autres récits peu passionnants. Cela rend la série tout de suite moins prenante à tel point que la deuxième saison m’a profondément ennuyée. D’autant plus que sur la narration, non seulement, c’est répétitif mais en plus les personnages principaux n’ont aucune difficulté dans leur péripéties. D’ailleurs, les protagonistes sont trop stéréotypés pour les lycéennes ; et, le coach a une évolution trop soudaine en plus d’être bâclé. Finalement, l’épisode un est le meilleur, les autres n’ont pas d’intérêt ; le scénario est trop prévisible et le développement des personnages est inexistant.
Évidemment, je déconseille cette série car elle ne va pas au bout des choses. D’autant plus que son annulation n’est même pas frustrante car la conclusion est correcte.
Très rapidement, la mise en scène pourrait faire penser à celle de “The Office” sur le côté immersif ; c’est souvent filmé de manière rapproché accompagné de rapides zooms pour plus de réalisme. Mais, cela finit par disparaître pour montrer des images banales sans personnalité ni volonté de transmettre des émotions. Tout finit par être fade dans l’image. En ce qui concerne les musiques, elles ont toutes été piochées sur Tik Tok pour faire plaisir aux plus jeunes. En clair, un début de réalisation très intéressant avec une chouette partie prise pour finir avec une image façonnée pour enchanter les enfants.
Comme expliqué plus haut, l’idée est intéressante mais j’ai l’impression que le basket finissait par n’être qu’une sous-intrigue face à des histoires d’amour, d'amitiés et autres récits peu passionnants. Cela rend la série tout de suite moins prenante à tel point que la deuxième saison m’a profondément ennuyée. D’autant plus que sur la narration, non seulement, c’est répétitif mais en plus les personnages principaux n’ont aucune difficulté dans leur péripéties. D’ailleurs, les protagonistes sont trop stéréotypés pour les lycéennes ; et, le coach a une évolution trop soudaine en plus d’être bâclé. Finalement, l’épisode un est le meilleur, les autres n’ont pas d’intérêt ; le scénario est trop prévisible et le développement des personnages est inexistant.
Évidemment, je déconseille cette série car elle ne va pas au bout des choses. D’autant plus que son annulation n’est même pas frustrante car la conclusion est correcte.
Après avoir franchement pas du tout apprécié la première saison, je continue dans la torture en regardant cette suite ; en l’occurrence, c’est pire. Le concept n’est plus qu’une ombre qui plane sur la vie de lycéenne imaginée par des gens qui n’ont jamais vu de lycée.
La mise en scène s’absente d’épisode en épisode. Elle se transforme en une série banale avec de légers zooms pour donner un effet réaliste. C’est la seule particularité de la réalisation ; le reste est foncièrement oubliable.
L’histoire est pire que dans la saison précédente ; le basket devient presque anecdotique pour des histoires d’amour entre lycéennes et lycéens et entre des profs. D'autant plus que la narration est trop classique et les différents développements sont carrément bâclés. Que ce soit les nouveaux ou les anciens personnages ; aucun est attachant ; j’avais qu’une envie : en finir avec cette série.
Evidemment et sans grande surprise, je déconseille cette deuxième et dernière saison de “Big Shot”.
La mise en scène s’absente d’épisode en épisode. Elle se transforme en une série banale avec de légers zooms pour donner un effet réaliste. C’est la seule particularité de la réalisation ; le reste est foncièrement oubliable.
L’histoire est pire que dans la saison précédente ; le basket devient presque anecdotique pour des histoires d’amour entre lycéennes et lycéens et entre des profs. D'autant plus que la narration est trop classique et les différents développements sont carrément bâclés. Que ce soit les nouveaux ou les anciens personnages ; aucun est attachant ; j’avais qu’une envie : en finir avec cette série.
Evidemment et sans grande surprise, je déconseille cette deuxième et dernière saison de “Big Shot”.
J’avoue que le concept me paraissait un peu faible avant de regarder la première saison. Et en ayant binge watché cette saison, j’ai trouvé l’ensemble relativement mauvais. L’histoire et la mise en scène sont bonnes uniquement dans le premier épisode ; après cela se calque sur toutes les séries clichés sur des lycéennes.
Avant tout, la réalisation du premier épisode a des aspects de “The Office” ; avec ses légers zooms et son cadrage rapproché pour faciliter l'immersion. Malheureusement, plus la saison continue ; plus l’image devient fade et sans imagination. Il y a seulement les matchs de basket qui ont un montage énergique et une mise en scène rapide. En ce qui concerne le reste, il n’y a rien de marquant et j’ai eu l’impression de regarder une série digne de “High School Musical”.
Même chose pour l’histoire ; le premier épisode nous présente un potentiel génial pour la saison ; mais, je trouve qu’au fur et à mesure, la vie lycéenne (mensongère) prend une trop grande place en plus d’être extrêmement cliché. Effectivement, tout est basé sur des stéréotypes ; que ce soit les relations amicales, amoureuses, entre profs… Il n’y a rien de crédible. D’autant plus que les personnages n’ont pas le même caractère selon les épisodes et qu’ils ont une évolution soit trop basiques et prévisibles, soit aucune évolution. En clair, l’idée est drôle et offre un grand panel de situation comique et dramatique mais ils n’en font rien.
Pour tout cela, je ne conseille pas cette première saison de “Big Shot” en espérant que la deuxième soit plus dans le développement de ses personnages et dans la volonté de raconter une histoire fidèle à son concept.
Avant tout, la réalisation du premier épisode a des aspects de “The Office” ; avec ses légers zooms et son cadrage rapproché pour faciliter l'immersion. Malheureusement, plus la saison continue ; plus l’image devient fade et sans imagination. Il y a seulement les matchs de basket qui ont un montage énergique et une mise en scène rapide. En ce qui concerne le reste, il n’y a rien de marquant et j’ai eu l’impression de regarder une série digne de “High School Musical”.
Même chose pour l’histoire ; le premier épisode nous présente un potentiel génial pour la saison ; mais, je trouve qu’au fur et à mesure, la vie lycéenne (mensongère) prend une trop grande place en plus d’être extrêmement cliché. Effectivement, tout est basé sur des stéréotypes ; que ce soit les relations amicales, amoureuses, entre profs… Il n’y a rien de crédible. D’autant plus que les personnages n’ont pas le même caractère selon les épisodes et qu’ils ont une évolution soit trop basiques et prévisibles, soit aucune évolution. En clair, l’idée est drôle et offre un grand panel de situation comique et dramatique mais ils n’en font rien.
Pour tout cela, je ne conseille pas cette première saison de “Big Shot” en espérant que la deuxième soit plus dans le développement de ses personnages et dans la volonté de raconter une histoire fidèle à son concept.
déçu de cette suite.. la série est devenue enfantin... plus de charme de la première saison.. on comprend mieux l annulation de la série . dommage, il y avait du potentiel
Je dis un grand "Wow", tout y'es ! Les acteurs sont excellents et la réalisation de cette série est juste magique ! L'humour, la joie, la jeunesse, les amourettes, que demander de plus ? La saison 2 est vraiment sublime car une fois lancée, on va jusqu'au bout pour finir la saison et ça c'est rare venant de ma part. Elle me rappelle aussi la vieille série "Les frères Scott" alias "One Tree Hill" mais en plus jeune. Hâte de découvrir la saison 3, vite vite !
Bon. C'est Disney-fait-du-politiquement-correct sauce USA (neo-féminisme, lesbianisme, "droits des minorités", "black machin truc", etc, blablabla) jusqu'à l’écœurement mais l'histoire centrale (un coach réputé d'équipes universitaires de basket devient persona non grata à la suite d'un petit épisode violent et tente de sauver sa carrière et rebondir en prenant les rênes de l'équipe d'une école de jeunes filles riches) n'est pas inintéressante, même si elle avance si lentement qu'elle ressemble à un prétexte.
Vanessa L
Je suis super fan de John Stamos depuis 1987 avec la Fête à la Maison donc quand j’ai vu qu’une série avec lui débarquait sur Disney+, il fallait absolument que je la regarde et je dois dire que j’ai été littéralement emballée par cette série. J’ai trouvé le casting super, les jeunes filles de la série sont très bien dans leur rôle. Mention spéciale à la fille du héros jouée par Sophia Mitri Schloss qui est exceptionnelle je trouve. Je pense qu’elle a clairement de l’avenir en tant qu’actrice. Et puis, John Stamos, ce rôle est littéralement fait pour lui. Le gars qui se la pète, qui se croit meilleur que les autres, qui veut être vu, qui se sent important et qui redescend de sa montagne très vite après avoir avoir montré sa fureur lors d’un match de basket. Il doit alors devenir coach pour une équipe de filles dans une école. C’est littéralement une plaie pour lui, il ne veut pas s’investir et pourtant cette expérience va le voir grandir, s’intéresser aux autres, s’ouvrir et surtout retrouver une relation privilégiée avec sa fille. A côté de cela s’ajoute pas mal de petites histoires aussi bien sur la sexualité, les relations ado/parents, l’amitié, la rivalité mais aussi les problèmes familiaux plus compliqués ou encore les différences de classes. C’est touchant comme série, on s’attache énormément à chaque personnage, c’est drôle aussi par moment, franchement une réussite.
En résumé, Big Shot est une excellent série ! Très réussie, j’ai adoré l’histoire, tous les personnages, c’est assez touchant. Par contre, gros défaut la saison 1 est bien trop courte ! 10 épisodes c’est trop peu parce que franchement c’était mon petit plaisir du samedi matin. Certes c’est une série normalement à destination des ado mais franchement ça reste plutôt bien pour les plus vieux comme moi ! Je trouve la morale super et j’ai beaucoup aimé comme Marvin Korn évolue au fur de cette saison. Les thèmes abordés sont importants, rien n’est trop clichés, c’est simple et efficace ! A voir absolument !
En résumé, Big Shot est une excellent série ! Très réussie, j’ai adoré l’histoire, tous les personnages, c’est assez touchant. Par contre, gros défaut la saison 1 est bien trop courte ! 10 épisodes c’est trop peu parce que franchement c’était mon petit plaisir du samedi matin. Certes c’est une série normalement à destination des ado mais franchement ça reste plutôt bien pour les plus vieux comme moi ! Je trouve la morale super et j’ai beaucoup aimé comme Marvin Korn évolue au fur de cette saison. Les thèmes abordés sont importants, rien n’est trop clichés, c’est simple et efficace ! A voir absolument !
Je découvre grâce à Disney + cette série bien sympathique !
C'est assez divertissant et agréable à regarder.
M'option très bien à l entraîneur
C'est assez divertissant et agréable à regarder.
M'option très bien à l entraîneur
Je me suis surpris à apprécier une série Disney+ Original tant la qualité était au-dessus de mes espérances. Je pensais avoir affaire à une oeuvre bateau sur le basket comme « Les Champions » ou autre oeuvre du genre, mais ici, le sport n'est qu'une façon subtile de nous présenter ses personnages de façon bien plus complexe.
spoiler: À commencer par Marvyn Korn, le personnage principal de la série mais aussi un homme extrêmement froid, réservé et montrant très peu ses émotions en parfait corrélation avec un groupe de jeune filles bercées dans l'innocence de l'adolescence à l'énergie débordante, ayant chacune leurs propres problèmes, peurs et appréhensions.
Ainsi, la série nous permet de suivre l'évolution de ce coach, spoiler: déchu au caractère froid, à presque un père spirituel pour tout un groupe de jeune filles, étant à l'écoute de chacune d'elle et s'efforçant de gagner en humanité au fil des épisodes avec des traits de caractères qui lui était jusque-là inconnu comme l'humilité ou la compassion, par exemple
. On finit par comprendre le paroxysme de son évolution durant spoiler: le dernier épisode de la saison 1, lorsqu'il refuse son poste à l'université pour rester au lycée privé de Westbrook.
Cette première saison de Big Shot est une véritable surprise pour la plateforme, en espérant qu'il y aura bel et bien une deuxième saison et qu'elle sera à la hauteur de celle-ci.
spoiler: À commencer par Marvyn Korn, le personnage principal de la série mais aussi un homme extrêmement froid, réservé et montrant très peu ses émotions en parfait corrélation avec un groupe de jeune filles bercées dans l'innocence de l'adolescence à l'énergie débordante, ayant chacune leurs propres problèmes, peurs et appréhensions.
Ainsi, la série nous permet de suivre l'évolution de ce coach, spoiler: déchu au caractère froid, à presque un père spirituel pour tout un groupe de jeune filles, étant à l'écoute de chacune d'elle et s'efforçant de gagner en humanité au fil des épisodes avec des traits de caractères qui lui était jusque-là inconnu comme l'humilité ou la compassion, par exemple
. On finit par comprendre le paroxysme de son évolution durant spoiler: le dernier épisode de la saison 1, lorsqu'il refuse son poste à l'université pour rester au lycée privé de Westbrook.
Cette première saison de Big Shot est une véritable surprise pour la plateforme, en espérant qu'il y aura bel et bien une deuxième saison et qu'elle sera à la hauteur de celle-ci.
Je n'ai vu que deux épisodes pour le moment. J'ai trouvé cette série rafraichissante et très prenante ! J'attends les autres épisodes avec impatience.
Marvyn Korn, entraineur de basketball connu pour son fort caractère et multi titré, se fait virer de la ligue universitaire (NCAA).
Il retrouve un poste dans un lycée privé pour fille de Westbrook (Connecticut), une charmante ville en bord de mer située dans le Maine.
L’entraineur caractériel devra s’adapter à ses jeunes filles et surtout gérer des problématiques d’adolescentes pour mener l’équipe des Sirens à la victoire !
Sur un scénario relativement simple, Big Shot est toutefois une série très prenante et attachante pour peu qu’on soit un minimum intéressé par le sport et ses valeurs. Le chemin de vie du principal protagoniste au travers de ses relations avec son équipe va profondément bouleverser son personnage d’entraineur exigeant, bourru et irascible.
Fans des années 80, vous reconnaitrez l’acteur incarnant Oncle Jesse dans la série la fête à la maison !
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Il retrouve un poste dans un lycée privé pour fille de Westbrook (Connecticut), une charmante ville en bord de mer située dans le Maine.
L’entraineur caractériel devra s’adapter à ses jeunes filles et surtout gérer des problématiques d’adolescentes pour mener l’équipe des Sirens à la victoire !
Sur un scénario relativement simple, Big Shot est toutefois une série très prenante et attachante pour peu qu’on soit un minimum intéressé par le sport et ses valeurs. Le chemin de vie du principal protagoniste au travers de ses relations avec son équipe va profondément bouleverser son personnage d’entraineur exigeant, bourru et irascible.
Fans des années 80, vous reconnaitrez l’acteur incarnant Oncle Jesse dans la série la fête à la maison !
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Série qui transmet de magnifiques valeurs avec toujours des notes positives les décors sont juste magnifiques des vues imprenables sur Santiago vivement la saison 2 je me suis régalée excellent jeu d acteurs !
Une série destinée à un public très ciblé, qui ne se donne à aucun moment les moyens d'élargir sa cible. Certes, il y a quelques bons acteurs qui font leur taf (dont Yvette Nicole Brown, excellente), mais les enjeux de la série sont très faibles et c'est de surcroit très laidement filmé. Les scènes de basket, en particulier, sont très pénibles à regarder.
Idéologiquement, c'est un petit manuel de bien-pensance aux vertus éducatives comme les concoctent si bien désormais Netflix et Disney. Il y est notamment très bien expliqué comment les parents doivent se comporter vis à vis de leurs enfants.
Idéologiquement, c'est un petit manuel de bien-pensance aux vertus éducatives comme les concoctent si bien désormais Netflix et Disney. Il y est notamment très bien expliqué comment les parents doivent se comporter vis à vis de leurs enfants.
J'ai personnellement écouté six épisode de la série habituellement je ne suis pas fan de ce genre de série mais je doit dire que j'ai vite apprécié la série big shot.
C'est une série drôle autent pour les jeunes que les adultes c'est aussi une série qui vient nous cherchez elle sais nous prendre par les émotions sérieusement je recommande sans hésiter.
C'est une série drôle autent pour les jeunes que les adultes c'est aussi une série qui vient nous cherchez elle sais nous prendre par les émotions sérieusement je recommande sans hésiter.
Superbe série américaine qui parle d'une équipe de basket féminine qui est entraîner par un coach assez particulié.