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Le président Félix Faure vient de mourir. La République, épuisée par l’affaire Dreyfus, prise en étau entre les ligues nationalistes et antisémites et la menace anarchiste, n’a jamais paru si faible. Alors que le préfet Lépine est rappelé pour maintenir l’ordre dans Paris, le cadavre d’une inconnue retrouvé dans la Seine entraîne Antoine Jouin, inspecteur ambitieux de la criminelle, et Jeanne Chauvin, une jeune avocate, au cœur d’une enquête complexe.
8 épisodes
Chaîne d'origine : Canal +
Diffusée à partir de : 8 février 2021
10 photos
| 2 vidéos
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Remarque en tous points: réalisation, scénario, mise en scène, photographie, les acteurs , contexte historique (Affaire Dreyfus, antisémitisme ambiant de l'époque, les techniques de la police , la société de l'époque ... ) . A voir absolument
J'attendais avec impatience cette série compte tenu de la pub faite depuis quelques jours. L'idée de retracer les actions de la police en 1900 était intéressante mais rapidement je me suis demandée si ce n'était pas une série sur les abattoirs. Quel intérêt de nous montrer autant de scènes de bouchers, de viandes et de sang ?
Vinz1
« Paris Police 1900 » est une création originale Canal+ qui dépeint une période historique de la France durant laquelle la police est corrompue, les riches prennent du bon temps dans les salons (drogues et filles de joie) et où les tensions ne manquent pas entre les différents groupuscules politiques ou partisans : les ligues nationalistes, les antisémites, les anarchistes, les bonapartistes, les royalistes, les pros et les anti-Dreyfus. ...
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Voici une très bonne série française qui nous plonge à la Belle Epoque, c'est à dire au début du siècle dernier, dans un contexte historique puissant où se mêlent l'affaire Dreyfus et les ligues antisémites par exemple.
L'ambiance recrée est passionnante grâce à de beaux décors et costumes. Les acteurs ne sont pas en reste et livre de belles performances.
On prend plaisir à regarder cette série.
Son seul défaut est le scénario ...
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Je ne suis pas assez calé en histoire pour connaître l'éventuelle liberté prise par les scénaristes avec la réalité, mais peu importe à vrai dire, car les sujets abordés le sont de façon magistrale. Que ce soit le féminisme, le basculement vers un monde moderne, le traitement de l'antisémitisme ou encore les balbutiements d'une police scientifique, autant de sujet qui auraient pu sembler ennuyeux par moment, tout est savamment ...
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15 Critiques Spectateurs
Paris, 1899. Le président Félix Faure vient de mourir dans les bras de sa maîtresse, Marguerite Steinheil (Meg). Alors que la République est au bord de l’explosion, le préfet Lépine est rappelé aux affaires. Au même moment, à la préfecture, l’inspecteur Jouin est mobilisé sur une enquête d’envergure pour identifier "l’inconnue de la valise" dont le cadavre a été repêché dans la Seine.
La courtisane Meg, devenue espionne pour le compte de Puybaraud, chef de la Sûreté et ennemi juré du Préfet, infiltre les Guérin. À la Sûreté parisienne, Jouin enquête avec le commissaire Cochefert sur l’affaire de la valise sanglante et la disparition de Joséphine Berger. C’est sans compter sur Fiersi, l’âme damnée de Puybaraud, qui lui aussi se fait affecter à l’enquête.
L’inspecteur Jouin s’est épris de Jeanne, une jeune avocate au caractère bien trempé, qui ne peut exercer mais officie auprès de Maître Weidmann dans le quartier juif. Elle décide de l’aider dans l’affaire Berger. Meg reçoit chez elle Mme Lépine dont le penchant pour les paradis artificiels n’a pas échappé à Puybaraud.
À la Sûreté, on s’acharne pour résoudre l’affaire Berger ; la police a besoin de prouver son efficacité. À quelques jours de l’ouverture du procès Dreyfus, la tension monte dans les rues de Paris. Lépine déjoue à son avantage le piège du scandale personnel tendu à sa femme.
Meg est tombée sous le charme de Gabriel Sabran, tandis que de plus en plus d’éléments apparaissent à charge contre lui dans l’enquête sur le meurtre de Joséphine. Ce rapprochement fait d’elle un témoin particulièrement gênant pour les Guérin et le père de Gabriel. Puybaraud a quant à lui reçu l’ordre du Ministre de l’Intérieur de rafler les ligues.
Épuisé par des années d’asservissement et écœuré par l’affaire Berger, Fiersi se désolidarise de Puybaraud. Il fournit à Jouin un élément essentiel dans son enquête, lequel compte toujours sur le soutien de Jeanne pour l’aider dans cette affaire. Jules Guérin, de son côté, s’est retranché rue Chabrol.
Tandis que Maman Guérin organise les derniers détails des émeutes qui doivent converger rue Chabrol, le préfet Lépine reçoit l’aide inattendue des anarchistes. Fiersi est en cavale, Jouin poursuit seul l’enquête et protège Jeanne du meurtre qu’elle vient de commettre pour le sauver lui.
Jouin veut découvrir toute la vérité sur les Sabran, prenant le risque de perdre Jeanne. Meg songe désormais à l’avenir et joue sa dernière carte auprès du Préfet. Lépine, fin stratège sur le terrain, laisse le temps œuvrer en sa faveur dans l’affaire dite du Fort Chabrol. Et il peut compter sur Mme Lépine, qui lui offre un soutien inattendu à la préfecture.