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Voilà : moi je suis un baby boomer, 70 ans, créateur d'une entreprise en 1977. J'en ai un peu marre de me faire traiter de vieux dépassé par les jeunes des start-up. Alors oui bien entendu il y a des progrès considérables mais il est bon de rappeler (ou d'informer) qu'il y a eu aussi des escroqueries.
Ici c'est très bien reconstitué même si ça traîne en longueur. C'est d'autant plus intolérable que cela concerne la santé.
Ici c'est très bien reconstitué même si ça traîne en longueur. C'est d'autant plus intolérable que cela concerne la santé.
Moins percutante que "Dopesick" et moins passionnante qu’"Inventing Anna" de Netflix, la mini-série "The Dropout" – biopic centré sur Elizabeth Holmes, la plus jeune milliardaire autoproclamée du monde – n’est pas si convaincante qu’elle en a l’air. Probablement trop récente, les scénaristes n’ont pas toutes les clés pour raconter cette affaire hors-norme et s’aventurent dans un exercice périlleux qui peine à transcrire de manière la plus pertinente l’histoire de Theranos et sa fondatrice. Avec un scénario qui manque de recul et de rythme, des personnages rarement attachants et une chute vertigineuse assez bâclée, la série d’Hulu faute pleinement à nous satisfaire. Toutefois, l’excellente performance d’Amanda Seyfried dans le rôle-titre suffit à redorer la série et réussit à rendre certains moments plus captivants.
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11/20
Critique sur The Dropout (mini-série)
Vue du 20 au 21.04.2022 sur Disney+
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11/20
Critique sur The Dropout (mini-série)
Vue du 20 au 21.04.2022 sur Disney+
Une superbe série qui met au grand jour une nouvelle fois la noirceur de l'humanité !
une imposteuse qui a créé une monstruosité !
A regarder absolument pour mesurer jusqu'ou on peut aller pour satisfaire son ego !
une imposteuse qui a créé une monstruosité !
A regarder absolument pour mesurer jusqu'ou on peut aller pour satisfaire son ego !
"The dropout" bien noté par la critique, diffusé sur Disney + est une mini-série dramatique convenable. En effet à partir de fait réels, l'histoire relate l'ascension et la chute d'Elizabeth Holmes et de sa société, Theranos, dont les dirigeants ont été inculpés en 2018 pour fraude massive. La réussite de la mini-série doit beaucoup à la performance Amanda Seyfried multirécompensé pour le rôle d'Elizabeth Holmes, l'histoire est bien documenté et s'avère assez intéressante même si l'ensemble comporte des longueurs.
Moins percutante que "Dopesick" et moins passionnante qu’"Inventing Anna" de Netflix, la mini-série "The Dropout" – biopic centré sur Elizabeth Holmes, la plus jeune milliardaire autoproclamée du monde – n’est pas si convaincante qu’elle en a l’air. Probablement trop récente, les scénaristes n’ont pas toutes les clés pour raconter cette affaire hors-norme et s’aventurent dans un exercice périlleux qui peine à transcrire de manière la plus pertinente l’histoire de Theranos et sa fondatrice. Avec un scénario qui manque de recul et de rythme, des personnages rarement attachants et une chute vertigineuse assez bâclée, la série d’Hulu faute pleinement à nous satisfaire. Toutefois, l’excellente performance d’Amanda Seyfried dans le rôle-titre suffit à redorer la série et réussit à rendre certains moments plus captivants.
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11/20
Critique sur The Dropout (saison 1)
Vue du 20 au 21.04.2022 sur Disney+
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11/20
Critique sur The Dropout (saison 1)
Vue du 20 au 21.04.2022 sur Disney+
Amanda Seyfried est épatante dans l'incarnation de ce personnage qui se voile la face, obsédée par la réussite sans s'en donner les moyens concrets. C'est tout ce que le capitalisme nous offre de pire, d'autant plus quand c'est dans le domaine de la santé. C'est assez incroyable de constater que la supercherie a pu tenir aussi longtemps.
la véritable histoire d elizabeth holmes baser sur le podcast audio de abc d elizabeth holmes
de sa réussite jusqu 'a sa chute
un tres bon casting a ne pas rater
de sa réussite jusqu 'a sa chute
un tres bon casting a ne pas rater
deuxième bonne série de Disney avec DOPESICK
pour ce qui est du casting E.Holmes à un visage un peu monomaniaque mais je suppose que cela doit être le choix du réalisateur pour le reste du casting je ne pense pas qu' on les retrouvera un jour tant ils sont transparents
par contre la réalisation est exemplaire c 'est très bien retracée sans avoir recourt a une mise en scène excessive
l' ambiance et l' éclairage ont été aussi très bien traités
DISNEY+ a l' air d' avoir trouvé un créneau sur ce genre de série et c 'est tant mieux car le reste de leur catalogue ne vole pas très haut.
pour ce qui est du casting E.Holmes à un visage un peu monomaniaque mais je suppose que cela doit être le choix du réalisateur pour le reste du casting je ne pense pas qu' on les retrouvera un jour tant ils sont transparents
par contre la réalisation est exemplaire c 'est très bien retracée sans avoir recourt a une mise en scène excessive
l' ambiance et l' éclairage ont été aussi très bien traités
DISNEY+ a l' air d' avoir trouvé un créneau sur ce genre de série et c 'est tant mieux car le reste de leur catalogue ne vole pas très haut.
Beaucoup de raccourcis qui font qu on a du mal à croire cette histoire… où les millions sont levés comme par magie… et où la supercherie, les manipulations etc ne sont pas crédible.
Mais c’est adapté d’un vrai fait … d’une véritable entrepreneuse…
L’interprétation d’Amanda Seyfried est convaincante mais elle incarne un personnage détestable surtout à mesure du récit.
Peut être le sujet à mal été traité, pas suffisemment en profondeur ou peut être tout simplement que c est le sujet en lui même qui gêne?… on touche à la santé et il n’est pas tolérable de tricher la dessus.
Néanmoins ce n’est pas vraiment le sujet traité ici. C’est avant tout axé sur l’ascension à un tel pouvoir pour une femme. Et c’est d’ailleurs ce qui captive
Mais c’est adapté d’un vrai fait … d’une véritable entrepreneuse…
L’interprétation d’Amanda Seyfried est convaincante mais elle incarne un personnage détestable surtout à mesure du récit.
Peut être le sujet à mal été traité, pas suffisemment en profondeur ou peut être tout simplement que c est le sujet en lui même qui gêne?… on touche à la santé et il n’est pas tolérable de tricher la dessus.
Néanmoins ce n’est pas vraiment le sujet traité ici. C’est avant tout axé sur l’ascension à un tel pouvoir pour une femme. Et c’est d’ailleurs ce qui captive
Série relativement médiocre je n'arrive toujours pas à comprendre comment elle a pu faire tout ça avec rien à proposer ou si ce n'est avec un résultat falsifié.
Dés le premier épisode on lui trouve des excuses à cette fille spoiler: la perte de l’emploi de son père
, son envie de devenir riche comme steve jobs ou bill gates, en fin de compte cette personne n'a rien inventé.L'actrice principale amanda seyfried a rien de particulier, en somme une sorte inventing anna qui sera vite oublié.
Dés le premier épisode on lui trouve des excuses à cette fille spoiler: la perte de l’emploi de son père
, son envie de devenir riche comme steve jobs ou bill gates, en fin de compte cette personne n'a rien inventé.L'actrice principale amanda seyfried a rien de particulier, en somme une sorte inventing anna qui sera vite oublié.
Le sujet des histoires vraies d'escrocs menteurs est passionnant. Comme souvent il ne s'agit pas seulement d'une personnalité narcissique mais de tout un système capitaliste (surtout américain) fasciné par le discours de l'entrepreneur qui s'est fait tout seul en bossant comme un fou sur une idée de génie. La bulle gonfle, gonfle et finit par exploser en ayant fait de nombreux dommages collatéraux quand il s'agit du domaine de la santé. La série décortique en détails tous ces mécanismes, au risque d'être un peu longuette parfois.
Je n’avais bizarrement jamais entendu parle de l’affaire theranos.
Cette très bonne mini série de huit episodes, raconte cette incroyable arnaque de grande envergure, et on se demande vraiment comment cela a pu être possible pendant aussi longtemps dans un domaine aussi sensible et controlé que la santé. (ce qui n’est pas très rassurant…)
C’est bien joué, très rythmé et on ne s’ennuie jamais au cours des 8 episodes.
A voir !
Cette très bonne mini série de huit episodes, raconte cette incroyable arnaque de grande envergure, et on se demande vraiment comment cela a pu être possible pendant aussi longtemps dans un domaine aussi sensible et controlé que la santé. (ce qui n’est pas très rassurant…)
C’est bien joué, très rythmé et on ne s’ennuie jamais au cours des 8 episodes.
A voir !
serie plutôt passionnante sur un des sujets les plus agaçants qui soient : la mégalomanie, la mythomanie et l'escroquerie à grande échelle. on est ébloui de voir comment les plus avertis peuvent se faire avoir. c'est glaçant et très bien jouer.
Elizabeth Holmes a de sérieux problèmes. Après une ascension express dans l’industrie de la santé, la plus jeune milliardaire américaine fait l’objet d’une enquête. L’empire biotech qu’elle a bâti prend l’eau et son navire amiral, Theranos, n’est pas loin de sombrer… Pour la star féminine de la tech, l’heure est donc venue de rendre des comptes. L’occasion de remonter le cours du temps jusqu’à son adolescence, berceau d’une obsession quasi pathologique pour la réussite qui va transformer la jeune nerd… en véritable escroc.
À l’âge où d’autres se prosternent dans leur chambre devant un poster de Justin Bieber, Elizabeth Holmes, elle, vénérait le portrait de Steve Jobs. Lycéenne humiliée par les filles populaires, elle n’avait déjà qu’une idée en tête : devenir millionnaire. Admise à l’université de Stanford, elle y fait la découverte d’un programme capable d’analyser le sang à partir d’une seule goutte autoprélevée par ses utilisateurs. Comme d’autres avant elles, elle laisse alors tomber la fac pour créer sa start-up et se lancer, en jeans et en tongs, à l’assaut du nouveau capitalisme américain.
Très mauvais , voir insupportable .
À l’âge où d’autres se prosternent dans leur chambre devant un poster de Justin Bieber, Elizabeth Holmes, elle, vénérait le portrait de Steve Jobs. Lycéenne humiliée par les filles populaires, elle n’avait déjà qu’une idée en tête : devenir millionnaire. Admise à l’université de Stanford, elle y fait la découverte d’un programme capable d’analyser le sang à partir d’une seule goutte autoprélevée par ses utilisateurs. Comme d’autres avant elles, elle laisse alors tomber la fac pour créer sa start-up et se lancer, en jeans et en tongs, à l’assaut du nouveau capitalisme américain.
Très mauvais , voir insupportable .
Dans la lignée de Dopesick, plus dynamique, un poil moins créatif dans la réalisation. Une série qui prend son temps mais n'est jamais longue, et un beau casting. Sympa notamment de revoir Dylan Minnette (13 reason why), ou l'excellent Naveen Andrews (que j'avais pour ma part oublié depuis Lost).