Avis The Dropout - Page 2

Ce que nous notons a nécessité des heures incalculables de travail. Ils méritent la meilleur note et une critique objective.

Basée sur une histoire vraie, cette série est a voir ne serait-ce que pour votre culture. Elle relate très fidèlement ce qui s'est passé dans la Silicon Valley lorsqu'une jeune femme a créé une entreprise pour révolutionner le monde de la médecine, et s'est enfermé dans le mensonge, trompant la confiance de nombreuses personnes.
Amanda Seyfried tient son rôle à la perfection, montrant les évolutions de cette femme qui souhaitait devenir le Steve Jobs de sa génération. L'approche narrative ne trompe pas le spectateur, il est conscient de tous les rouages de cette histoire ce qui permet de bien comprendre comment un évènement de cette ampleur a pu survenir, une fraude à grande échelle.
De ce fait la série nous captive par notre envie de découvrir le déroulement de ce fait historique et elle se termine sur une suite de faits réels mettant un terme à cette affaire.

Superbe série qui mérite de nous plonger dans un fait divers très récent (pas encore totalement fini d'ailleurs). Elle nous plonge dans l'univers des startups, avec le cheminement de leur financement, et les failles du systèmes.

Je crois que proportionnellement à certaines autres productions cette série mérite largement 4 étoiles (3.7 à cet instant). J'en suis à l'épisode 2. Par exemple le rythme est bien meilleur que dans Severance - (lenteur pénible et cliffhanger abusif à la fin du dernier épisode) - pourtant noté 4.4 par les spectateurs.
Il y a peut-être la question des VF qui joue, moi je ne regarde qu'en VO.

Elizabeth Holmes a de sérieux problèmes. Après une ascension express dans l’industrie de la santé, la plus jeune milliardaire américaine fait l’objet d’une enquête. L’empire biotech qu’elle a bâti prend l’eau et son navire amiral, Theranos, n’est pas loin de sombrer… Pour la star féminine de la tech, l’heure est donc venue de rendre des comptes. L’occasion de remonter le cours du temps jusqu’à son adolescence, berceau d’une obsession quasi pathologique pour la réussite qui va transformer la jeune nerd… en véritable escroc.

À l’âge où d’autres se prosternent dans leur chambre devant un poster de Justin Bieber, Elizabeth Holmes, elle, vénérait le portrait de Steve Jobs. Lycéenne humiliée par les filles populaires, elle n’avait déjà qu’une idée en tête : devenir millionnaire. Admise à l’université de Stanford, elle y fait la découverte d’un programme capable d’analyser le sang à partir d’une seule goutte autoprélevée par ses utilisateurs. Comme d’autres avant elles, elle laisse alors tomber la fac pour créer sa start-up et se lancer, en jeans et en tongs, à l’assaut du nouveau capitalisme américain.
Très mauvais , voir insupportable .

Très bonne histoire, avec du rythme et une plongée passionnante dans l'univers de la silicon valley.
Seul gros point noir, la performance d'Amanda Seyfried très très agaçante.

Très bonne série, avec une Amanda Seyfried époustouflante, qui a pris la mesure du personnage. Série à voir en VO, notamment pour son travail de changement de voix (la vraie Elizabeth Holmes est notamment accusée d'avoir faussé le ton de sa voix, en un ton plus grave).
Les premiers épisodes sont plutôt lents, tout en permettant de tenter de comprendre la genèse du personnage.
Mais les trois derniers épisodes, _où la chute connue et prévisible, arrive inexorablement,_ sont les plus intéressants.
La série permet également de (re) voir une série de comédiens campant de solides seconds rôles, palme au duo Laurie Metcalf/ William H. Macy et au bouleversant Stephen Fry , mais également Sam Waterston, Alan Ruck et Dylan Minnette.