Avis The Outsider (2020)

5 étoiles pour la mise en scène parfaitement soignée. On voit que le metteur en scène a retourné chaque scène jusqu'à atteindre la perfection. Les acteurs sont tous excellents et justes. Le scénario épaissit le mystère à chaque épisode. Une série de cette qualité on en voit une tous les 5 ans alors vous pouvez y aller les yeux fermés !

Vu les 2 premiers épisodes et cela reste très fidèle au livre de Stephen king. Ambiance très sombre et atmosphère feutrée à souhait. Un grand bravo à la BO et à la réalisation qui font ressortir tous les aspects fantastiques sous-jacents. Je recommande

Super casting, très belle photo qui rend l'intrigue plus lourde et l'ambiance prenante. Dès le premier épisode, on est dans l'intrigue et dans le doute. Belle surprise

Du lourd, du poisseux, de l'irrationnel, du suspense, du dérangeant... bref tout c'que j'aime dans une série ... foncez-y je ne vous en dirai pas plus !!

Certes le roman de King est épais (près de 600 pages), mais 10 épisodes, cela semble fort long ! L'installation de l'intrigue (les 2 ou 3 premiers) "passe" bien - un suspect doué d'ubiquité, et le mystère en découlant : intrigant, prenant. Et puis cela se gâte avec l'introduction de la "PI" ("Holly Gibney"), en familiarité avec les mythes et légendes caribéennes et mexicaines, hyper mnésique et à QI impressionnant (autant que sa coiffure communautariste à dreadlocks) - est-ce elle "The Outsider" ?...
La dimension paranormale, voire carrément fantastique, introduite sans subtilité, va rapidement phagocyter l'affaire, et dénaturer l'enquête policière. Il semblerait que la série soit fidèle à l'intrigue de SK, mais ce qui se conçoit aisément à l'écrit (l'imagination du lecteur étant alors sollicitée en permanence) peut ne pas souffrir un passage à l'image Deux scénaristes et pas moins de six réalisateurs en l'espèce.... et l'on ne peut que constater que c'est bien le cas ici : lourdingue, et sans fluidité !
Très décevant, au global.

9 épisodes d'une lenteur monotone et d'ambiances crépusculaires pour terminer par un 10e qui se veut gore mais n'est que grotesque : si vous deviez aller à la rencontre de la créature El Cuco au fond d'une grotte, vous les auriez un peu plus à zéro que ça....Interminable et pas " crédible ", au sens fantastique du terme, ni effrayant. Grosse déception.

Série terminée. Les premiers épisodes sont très intéressants et bien fichus, sauf qu' à partir de la moité de cette saison le rythme est complètement plombé et l'histoire devient grotesque. Pour arrivée sur une fin terriblement ridicule et dénuée de sens. Dommage.

Pas mal...
Les premiers épisodes sont prenants...
Il y a une bonne ambiance sombre et lugubre...
Puis à partir de la seconde moitié de la saison on s'ennuie pas mal... C est long, lent et dépressif... Ça tourne en rond et je n ai pas accroché à la traque de la créature...
La fin est vraiment bof...
Bref globalement assez déçu malgré un bon début...

C'est LA bonne surprise de ce début d'année 2020 tout y est parfait ou presque (on touche du doigt le nirvana) réalisation aux petits oignons (bateman est vraiment doué et perfectionniste) la BO qui colle parfaitement, une très belle photographie, un casting 5 étoiles parfaitement dirigé et qu'on sent pleinement investi, une ambiance poisseuse et lourde à souhait et pour finir une série qui colle parfaitement au bouquin de Mr King... vraiment n'hésitez pas une seule seconde à la démarrer tant ça fonctionne tout de suite, on est immédiatement pris dans l'intrigue et ses méandres, on s'interroge, on est surpris bref un must à ne surtout pas négliger

Une série fantastico-policière produite pas HBO et tiré d'un roman de Stephen King ? Où est-ce que je signe ? Et après ce 8ème épisode force est de constater que j'ai bien fait de signer ! Des acteurs au top et une réalisation soignée même si le rythme est un poil trop lent à mon gout. Une des meilleure série du moment qui n'est pas sans rappeler la 1ere saison de true detective (avec une touche fantastique en +).

J'ai adoré !!! Chaque lundi je me disais "vivement lundi prochain !". Cette série est un succès, les acteurs et leur jeu est parfait. Je suis un peu resté sur ma fin mais c'est une belle fin.

Excellent début de série, bien-sur il faudra confirmer sur la suite (critique rédigée à l'épisode 3). Bon casting, belles images, sombre et dignes d'un polar étiquetée façon Stephen King.

Excellent démarrage sur les 3 premiers épisodes quand soudain, une jeune femme noire à dreadlocks et QI de 383 féministe et susceptible débarque et explique aux enquêteurs chevronnés comment résoudre l'enquête. Le scénario devient paranormal et les longueurs vides s'accumulent sur le reste de la série d'un ennui consternant.

Esthétique mais mauvais, prétentieux, couché devant les SJW, ne perdez pas une minute avec cette fausse bonne série.

En osant le mélange générique (policier, thriller, drama, fantastique) ainsi que la poursuite d'enjeux narratifs utiles seulement au niveau psychologique des personnages (Ralph acceptera-t-il ou non l'existence de la créature) la série prend le risque d'un rythme lent, notamment pour les épisodes centraux alors que le spectateur n'aurait eu besoin que de six ou huit d'entre eux. Cependant l'ambiance brumeuse de cette traque paranormale ainsi que les relations évolutives entre protagonistes sont mises en scène avec grande habileté (mention spéciale à la réalisation excellente de Jason Bateman) tandis que le casting mené par un impeccable Ben Mendelsohn se montre fort judicieux. Ainsi, les étapes du scénario trop balisées atténuent le suspense et l'efficacité de l'intrigue malgré des choix visuels et atmosphériques très efficaces. Pour marquer durablement il aurait fallu condenser, accélérer les chapitres mentaux. Inégal mais intéressant.

Quand j’étais enfant j’étais un lecteur avide de Stephen King. The Shining a été le premier livre « pour adultes » que j’ai lu. Comme je lisais de gros tomes comme je consulterais leurs homologues cinématographiques.

The Outsider en tant que roman n’était pas le plus gros ou le plus difficile à manier des livres de King, en toute honnêteté, un film de deux heures et demie aurait probablement pu faire un travail utile avec lui. Mais heureusement, Richard Price avec les producteurs exécutifs Jason Bateman, Dennis Lehane, Marty Bowen et Jessie Nickson-Lopez, entre autres, des équipes d’écriture et de réalisation ont bien fait The Outsider . Ils ont pratiquement donné à chaque page du livre une minute de screentime dans cette série. Structuré dans le récit d’un roman policier classique, Ben Mendelsohn incarne Ralph Anderson – un détective d’une petite ville pleurant la mort de son fils qui est maintenant confronté à un horrible meurtre et à la mutilation d’un enfant local. Compte tenu d’une mine de preuves, il arrête le seul homme qui aurait pu le faire – le professeur d’anglais et entraîneur de la Petite Ligue Terry Maitland (Jason Bateman). Seul Maitland a un alibi à toute épreuve qui le met loin – loin de la ville au moment du meurtre. Avec des empreintes digitales et des preuves vidéo correspondantes plaçant Maitland aux deux endroits en même temps – comment est-ce possible? Alors que Ralph commence à chercher les preuves qui érodent sa confiance, il a arrêté le bon homme, il est confronté à une solution qui ne peut pas être expliquée de manière rationnelle.

Étant donné qu’il s’agissait d’un livre de Stephen King, il n’y avait aucun moyen que The Outsider soit aussi simple. King a tissé ses tendances pour le surnaturel et inexpliqué avec une touche adroite – mais je dois dire que les créateurs de cette série l’ont fait un peu mieux. Alors que je pensais que le roman avait suffisamment bien réussi à explorer les thèmes du chagrin et de la perte, la série en fait un point central bien avant de se préoccuper de ce qui a causé la douleur. La série s’intéresse beaucoup plus à la façon dont la tragédie n’affecte pas seulement une famille, mais tous les membres de la famille connectés – et même la ville dans son ensemble. La peur et la terreur du spectacle ne viennent pas seulement de la créature qui se cache dans l’ombre, mais des regards et des chuchotements persistants de vos voisins.

Ne vous inquiétez pas pour les fans d’horreur, les choses ne restent pas longtemps strictement contemplatives et méditatives. L’horreur et les éléments effrayants commencent à s’empiler assez rapidement, de sorte qu’au moment où la prise de Cynthia Erivo sur Holly Gibney arrive sur la scène, vous êtes complètement ancré dans des choses vraiment effrayantes et troublantes. C’est à ce moment que la série commence à se sentir comme un équilibre de It avec Twin Peaks – seulement sans aucun humour. Ce que j’ai aimé dans cette adaptation au cours du livre, c’est la façon dont ils ont élargi les personnages et leurs personnalités – et ont même créé quelques nouveaux personnages pour faciliter cela. Si vous n’aviez pas lu M. Mercedes, vous seriez perdu avec Holly Gibney comme elle est écrite dans le livre. Elle avait besoin de se développer ici d’une manière que le livre ne fournissait pas. Ce qui nous amène à la fin.

Ne vous inquiétez pas, pas de spoilers ici, mais l’un des éléments essentiels de l’adaptation d’un roman de Stephen King consiste à examiner sérieusement le fonctionnement de la fin du livre. Parfois, c’est génial comme La ligne verte ou Simetiere o et il ne faut pas beaucoup peaufiner ou agrandir. Mais alors vous obtenez It: Chapter Two ou même The Shinning et vous devez trouver un moyen de faire quelque chose qui n’est pas seulement satisfaisant et épanouissant pour le public – mais qui a du sens. Ou vous développez la fin comme The Mist et écrasez absolument votre public. The Outsider était confronté à ce dilemme – encore une fois, vous auriez besoin de connaître M. Mercedes pour comprendre ce qui se passe dans le livre, mais même dans ce cas, c’est plutôt loufoque. Ce spectacle offre certainement une meilleure fin, mais c’est aussi un peu anticlimatique étant donné les événements qui se sont produits immédiatement quelques instants auparavant.

Si j’avais une véritable plainte à propos de cet événement de la série – et c’est celui que j’ai tendance à avoir pour beaucoup de série comme celle-ci – dix épisodes étaient de trop, huit auraient suffi. Au moment où nous atteignons les trois derniers épisodes, il y a eu tellement d’accumulation d’événements que, lorsqu’ils se produisent, une partie du vent a été aspirée par les voiles. Un élément d’horloge à retardement établi perd de son urgence. Pourquoi doivent-ils se rendre immédiatement à un endroit particulier alors qu’il a déjà fallu autant de temps pour arriver là où ils se trouvent? Raser quelques battements superflus, déplacer un peu les choses, et j’ai eu le sentiment que cela aurait établi une nouvelle référence pour les adaptations de King.

Dans l’état actuel des choses, The Outsider est une créature d’horreur imparfaite mais très gratifiante déguisée en une procédure de détective à combustion lente. Même quand je voulais que le rythme s’accélère un peu, j’étais toujours accro et je ne voulais pas quitter les personnages. Même en connaissant l’intrigue en lisant le livre, j’ai été impressionné par la façon dont les créateurs de la série ont réussi à maintenir le suspense et à rendre tout cela frais. Il y a peut-être de la place pour une série de suites – nous devrons donc simplement attendre et voir ce qui se passera ensuite. Pour l’instant, il s’agit d’un événement de série divertissant qui vaut la peine d’être choisi
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