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Votre avis sur The Outsider (2020) ?
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Wahou... Quelle série basée sur le roman de Stephen King. C'est vraiment du très très bon... excellent. Âmes sensibles s'abstenir.
soniadidierkmurgia
Stephen King voit depuis très longtemps ses œuvres adaptées par l'industrie cinématographique et télévisuelle. Quelques-unes ont été marquantes d'autres plus discutables. L'auteur est peut-être moins en vogue depuis les années 2010 mais il est toujours aussi prolifique. C'est donc l'un de ses derniers romans "The Outsider" paru en 2018 qui a été adapté par le scénariste Richard Price ("La couleur de l'argent" de Martin Scorsese en 1986) pour une diffusion sur la chaine HBO. Une bourgade de l'Oklahoma est chamboulée quand un enfant est tué par un père de famille sans histoire, entraîneur de l'équipe locale de baseball. Les preuves sont accablantes mais progressivement l'inspecteur en charge de l'affaire (Ben Mendelshohn) doit se rendre à l'évidence que
spoiler:
des indices concordants semblent montrer que le suspect était dans un autre endroit au moment des faits
. La rationalité de l'inspecteur lui-même frappé quelques années plus tôt par une évènement tragique similaire est déstabilisée et l'évolution de l'enquête va l'emmener bien plus loin qu'il n'aurait pu l'imaginer. On est chez Stephen King tout de même ! Habilement construite et développant une ambiance cotonneuse rappelant par certains côtés celle de "Twin Peaks", la minisérie qui n'est pas exempte de quelques invraisemblances qui auraient pu être mieux gérées fait son effet malgré un léger essoufflement dans le dernier tiers, racheté par un final assez convaincant. La stratégie de faire jouer les acteurs moderato renforce l'efficacité du suspense et l'on se sent vite en empathie avec chacun des personnages délivrant sa part d'humanité à son rythme. "The outsider" qui s'intéresse à l'ubiquité et à la dualité qui sommeille en chacun d'entre nous pour se réveiller le plus souvent lors de circonstances exceptionnelles est donc tout à fait recommandable.
. La rationalité de l'inspecteur lui-même frappé quelques années plus tôt par une évènement tragique similaire est déstabilisée et l'évolution de l'enquête va l'emmener bien plus loin qu'il n'aurait pu l'imaginer. On est chez Stephen King tout de même ! Habilement construite et développant une ambiance cotonneuse rappelant par certains côtés celle de "Twin Peaks", la minisérie qui n'est pas exempte de quelques invraisemblances qui auraient pu être mieux gérées fait son effet malgré un léger essoufflement dans le dernier tiers, racheté par un final assez convaincant. La stratégie de faire jouer les acteurs moderato renforce l'efficacité du suspense et l'on se sent vite en empathie avec chacun des personnages délivrant sa part d'humanité à son rythme. "The outsider" qui s'intéresse à l'ubiquité et à la dualité qui sommeille en chacun d'entre nous pour se réveiller le plus souvent lors de circonstances exceptionnelles est donc tout à fait recommandable.
Enfin une série qui tient la route. Une histoire bien menée avec des dialogues actuels et sensés face à l'irrationnel. Le côté fantastique c'est que du bonheur, ni trop, ni pas assez. Les acteurs sont parfaits. Juste un peu déçu par la fin mais je recommande vivement pour les amateurs de thriller-fantastique.
Vinz1
Les premiers épisodes mettent très rapidement le spectateur dans l'ambiance stressante de ce thriller qui mélange savamment le suspense, l’horreur et le surnaturel. Le scénario est plutôt efficace (adapté de Stephen King il faut le rappeler) et distille très lentement les éléments de l'intrigue tout en livrant beaucoup de rebondissements en peu de temps. Puis, la série s’essouffle un peu à la fin car elle tire en longueur et aurait pu contenir deux épisodes de moins. Quant à la conclusion, elle semble assez vite expédiée et met à mal tout ce qui avait été construit en pas mal de temps précédemment. Dommage ! Néanmoins, les acteurs sont tous très bons (Ben Mendelsohn en tête), la musique très en phase avec l’ambiance dégagée par les images, ce qui, en plus de tout ce qui a été dit ci-avant, fait de cette série un très bon cru qui n’arrivera pas cependant à la cheville des deux premières saison de « True Detective », mètre-étalon en la matière.
sombre filmė dans un gris avec des personnages phsycologiquent compliqué s mais avec un scénario et des jeux d'acteur qui emportent sur son passage très bien
Ca part super bien au début et puis apres j'ai plus rien compris. Pour ma part j'ai trouvé que ca part dans tous les sens. Mais un brzvo pour l'effort esthetique
Les premiers épisodes sont très biens. On est happé par le suspens et on désire évidemment connaître le pourquoi du comment. Hélas, ça se gâte totalement avec l'entrée en scène de la détective, crispante à souhait, et la direction que prend l'enquête, ridicule. Pas le genre d'intrigues de Stephen King que je préfère, même s'il y a toujours du surnaturel dans ses bouquins. De plus, il n'y a pas le moindre suspens dans les derniers épisodes, ennuyeux au possible. La scène la plus farfelue, c'est celle de la mère qui se déchaîne sur son fils. Un grand moment d'humour involontaire. Dommage que cette série ne donne pas envie de lire le roman de King, qui doit valoir mieux que ça.
Euuh Ouai... euhh franchement celui qui me dit après avoir lu le livre de stephen king que la série a bien repris tout les éléments etc... franchement cet personne devrai relire le livre! Ayant le livre tt frais dans ma tête puisque je l'ai terminer il ya 2 jours, je viens de regarder la série l'outsider! Franchement il ont vraiment fait un peu comme ça leur chanté à certains moments et tout ce passe très très vite! On a même pas le temp de voir ce qui se passe et encore plus important : de COMPRENDRE ce qu'il se passe! Tout est très confus, il manque énormément de scène du livre! ( ne me dite pas qu'il peuvent pas tt mettre parce que si justement ou du moin il aurais pu en mettre bcp plus et profité car c'est une série pas un film). Beaucoup des personnages n'ont même pas le vrai prénoms qu'ils ont dans le livres, je ne comprend pas pourquoi ils ont fait ça! SPOILER!!! Terry Maitland meurt au bout de 2 épisodes comme ça craint! Dans le livre il faudra arriver à 200 pages avant sa mort au moins! Nous avons ensuite une Holly Gibney totalement débile excuser moi si je puis dire alors que dans le roman (effectivement c une femme particulière, avec une façon de travailler particulière très en retrait, solitaire etc...) MAIS elle n'est pas débile et n'a pas le don de savoir combien mesure un gratte ciel en le regardant !! Enfin bref! Personnages surplomber, sans émotions et pas profond... J'ai tellement aimer le livre et l'histoire était tellement bien, je suis vraiment déçu, je préférai largement relire le livre qui est vraiment un chef d'œuvre que revoir encore cette série. Vraiment dommage
Sous forme de thriller sombre et imprégnée d'une thématique fantastique, cette série a des atouts pour, à priori, capter l'intérêt. Mais les investigations se traînent, sur un rythme plan-plan, des scènes de bavardages et le manque de conviction des personnages ne permettent pas de maintenir une tension constante. 10 épisodes qui auraient dû être davantage condensés.
Sous forme de thriller sombre et imprégnée d'une thématique fantastique, cette série a des atouts pour, à priori, capter l'intérêt. Mais les investigations se traînent, sur un rythme plan-plan, des scènes de bavardages et le manque de conviction des personnages ne permettent pas de maintenir une tension constante. 10 épisodes qui auraient dû être davantage condensés.
Vivre avec ce qui nous terrifie
En lançant The Outsider, je ne savais pas dans quoi je mettais les pieds et les deux premiers épisodes furent grisants à tel point que je louais déjà les qualités de la série en en ayant vu à peine 20%. Mais quels 20% !
Le démarrage est odieux et froid et prend le parti de rester à distance de l'horreur, de la suggérer tant les faits parlent d'eux-mêmes. Un enfant retrouvé dans un bois, torturé puis assassiné, le corps parsemé de traces de morsures. On ne nous en montre que très peu mais on imagine la stupéfaction de ce promeneur, immobile devant l'indicible. A peine quelques minutes et l'ambiance est installée, quelques minutes pour être happé.
Puis, tout va très vite alors que tant de routes différentes auraient pu être prises. spoiler: Le coupable est identifié, arrêté, traité comme l'odieux tortionnaire qu'il est, jugé avant même de l'être, trahi par son ADN et plusieurs témoins. Le doute n'est pas permis. Et pourtant... Le doute !
Sous cette enquête policière bien trop rapide aux accents de surnaturel, tout n'est qu'une affaire de doutes. Et le premier épisode sera, dans sa perfection, la première étape de cette longue déconstruction des certitudes de notre monde vers le doute, vers l'impossible qu'on nie, qu'on veut nier absolument car l'accepter remettrait en cause bien trop de choses pour qu'on puisse garder intact ce périmètre rassurant qui fait tenir notre vision du monde et notre personnalité au sein de celui-ci.
The Outsider est l'histoire parfaite pour ceux qui comme moi, se refusent à embarquer pour une quelconque aventure qui viendrait remettre en cause leurs croyances et concrétiser leurs plus grandes peurs. Cette séance de spiritisme que je fuyais adolescent, encore un brun marqué par mes terreurs enfantines, car la simple possibilité de rendre tangible cette peur, alors que je reste convaincu que les fantômes n'existent pas n'est tout simplement pas envisageable. Continuer de craindre mes incertitudes me semble bien plus supportable que de craindre mes certitudes et toute l'adaptation du roman de Stephen King (que je n'ai pas lu), repose sur cette phrase.
C'est ainsi que durant ces 10 épisodes à la recherche de la vérité, on marche côte à côte avec ces policiers qui devront laisser l'impossible s'installer petit à petit dans leur vie, certains plus difficilement que d'autres, Ben Mendelsohn et ses traits tirés incarnant d'un côté ce refus permanent d'accepter l'inconcevable qui fera voler en éclat ses croyances et Cynthia Erivo de l'autre, personnage visant à doucement faire coïncider deux visions du monde que tout oppose, faire fusionner l'explicable et le rationnel avec l'incompréhension et l'intangible : Les peurs d'enfants étouffées dans un corps d'adulte.
Avec eux, on part donc de cet événement sordide aux conséquences ravageuses, résultat avéré d'une réalité impossible à concevoir mais cauchemardesque, pour glisser doucement vers l'altération de nos croyances. The Outsider prend son temps, ce temps nécessaire pour enquêter autant que pour laisser cheminer ses personnages complexes liés par le malheur et la tristesse, ces personnages auxquels on s'identifie, auxquels on s'attache, qu'on suit avec empathie à travers ce meurtre et son auteur qui feront écho à leur douleur.
Et si comme moi, vous vous refusez à toute perspective d'un monde où les monstres et autres "choses" sont tapies dans l'ombre prêtes à nous dévorer, vous ne verrez plus les peurs nocturnes de votre enfant de la même façon, vous vous remémorerez les vôtres et vous repenserez aux mots rassurants de vos parents, vous certifiant que "les fantômes n'existent pas".
Peut-être... En tout cas je n'aurais pas le courage de le vérifier.
Sans être parfaite dans son récit qui bénéficie de l'élan donné par la virtuosité des deux premiers épisodes, cette adaptation signée Richard Price, déjà aux manettes de l'excellent The Night Of pour HBO, réussit à nous ébranler par les remises en question perpétuelles que subissent ses personnages tout en faisant se confondre les monstruosités du quotidien avec les monstres de notre subconscient. Une série terrifiante qui ne vous donnera pas la chaire de poule mais qui la rappellera à votre bon souvenir. Un piège qui se referme doucement et nous pousse à la fuite pour nous réfugier, une fois terminé, dans le confort de nos certitudes.
En lançant The Outsider, je ne savais pas dans quoi je mettais les pieds et les deux premiers épisodes furent grisants à tel point que je louais déjà les qualités de la série en en ayant vu à peine 20%. Mais quels 20% !
Le démarrage est odieux et froid et prend le parti de rester à distance de l'horreur, de la suggérer tant les faits parlent d'eux-mêmes. Un enfant retrouvé dans un bois, torturé puis assassiné, le corps parsemé de traces de morsures. On ne nous en montre que très peu mais on imagine la stupéfaction de ce promeneur, immobile devant l'indicible. A peine quelques minutes et l'ambiance est installée, quelques minutes pour être happé.
Puis, tout va très vite alors que tant de routes différentes auraient pu être prises. spoiler: Le coupable est identifié, arrêté, traité comme l'odieux tortionnaire qu'il est, jugé avant même de l'être, trahi par son ADN et plusieurs témoins. Le doute n'est pas permis. Et pourtant... Le doute !
Sous cette enquête policière bien trop rapide aux accents de surnaturel, tout n'est qu'une affaire de doutes. Et le premier épisode sera, dans sa perfection, la première étape de cette longue déconstruction des certitudes de notre monde vers le doute, vers l'impossible qu'on nie, qu'on veut nier absolument car l'accepter remettrait en cause bien trop de choses pour qu'on puisse garder intact ce périmètre rassurant qui fait tenir notre vision du monde et notre personnalité au sein de celui-ci.
The Outsider est l'histoire parfaite pour ceux qui comme moi, se refusent à embarquer pour une quelconque aventure qui viendrait remettre en cause leurs croyances et concrétiser leurs plus grandes peurs. Cette séance de spiritisme que je fuyais adolescent, encore un brun marqué par mes terreurs enfantines, car la simple possibilité de rendre tangible cette peur, alors que je reste convaincu que les fantômes n'existent pas n'est tout simplement pas envisageable. Continuer de craindre mes incertitudes me semble bien plus supportable que de craindre mes certitudes et toute l'adaptation du roman de Stephen King (que je n'ai pas lu), repose sur cette phrase.
C'est ainsi que durant ces 10 épisodes à la recherche de la vérité, on marche côte à côte avec ces policiers qui devront laisser l'impossible s'installer petit à petit dans leur vie, certains plus difficilement que d'autres, Ben Mendelsohn et ses traits tirés incarnant d'un côté ce refus permanent d'accepter l'inconcevable qui fera voler en éclat ses croyances et Cynthia Erivo de l'autre, personnage visant à doucement faire coïncider deux visions du monde que tout oppose, faire fusionner l'explicable et le rationnel avec l'incompréhension et l'intangible : Les peurs d'enfants étouffées dans un corps d'adulte.
Avec eux, on part donc de cet événement sordide aux conséquences ravageuses, résultat avéré d'une réalité impossible à concevoir mais cauchemardesque, pour glisser doucement vers l'altération de nos croyances. The Outsider prend son temps, ce temps nécessaire pour enquêter autant que pour laisser cheminer ses personnages complexes liés par le malheur et la tristesse, ces personnages auxquels on s'identifie, auxquels on s'attache, qu'on suit avec empathie à travers ce meurtre et son auteur qui feront écho à leur douleur.
Et si comme moi, vous vous refusez à toute perspective d'un monde où les monstres et autres "choses" sont tapies dans l'ombre prêtes à nous dévorer, vous ne verrez plus les peurs nocturnes de votre enfant de la même façon, vous vous remémorerez les vôtres et vous repenserez aux mots rassurants de vos parents, vous certifiant que "les fantômes n'existent pas".
Peut-être... En tout cas je n'aurais pas le courage de le vérifier.
Sans être parfaite dans son récit qui bénéficie de l'élan donné par la virtuosité des deux premiers épisodes, cette adaptation signée Richard Price, déjà aux manettes de l'excellent The Night Of pour HBO, réussit à nous ébranler par les remises en question perpétuelles que subissent ses personnages tout en faisant se confondre les monstruosités du quotidien avec les monstres de notre subconscient. Une série terrifiante qui ne vous donnera pas la chaire de poule mais qui la rappellera à votre bon souvenir. Un piège qui se referme doucement et nous pousse à la fuite pour nous réfugier, une fois terminé, dans le confort de nos certitudes.
La première partie de la série raconte une enquête policière plutôt terre à terre, très sombre, réaliste, captivante dans une ambiance lourde avec quelques flashbacks bien pensés. Puis la série bascule peu à peu (comme souvent dans les romans de King) dans un coté un peu plus surnaturelle mais pas non plus d'une manière grossière, l'histoire reste toujours très crédible.
La mise en scène des épisodes est très réussis (excellente scène d'ouverture), c'est très lent (ce n'est pas un défaut ici) et la sauce monte toujours d'une manière très habile. Le casting comprenant beaucoup de second rôle est vraiment excellent.
Ce qui empêche la série d'atteindre les sommets c'est un léger ventre mou au milieu de la série et un final un peu décevant.
La mise en scène des épisodes est très réussis (excellente scène d'ouverture), c'est très lent (ce n'est pas un défaut ici) et la sauce monte toujours d'une manière très habile. Le casting comprenant beaucoup de second rôle est vraiment excellent.
Ce qui empêche la série d'atteindre les sommets c'est un léger ventre mou au milieu de la série et un final un peu décevant.
Comme beaucoup de spectateurs, je vais écrire que seuls les trois premiers épisodes sont bien fichus et donnent par conséquent plutôt envie de voir la suite...
Hélas, à partir du 4è épisode, tout commence à se gater et tout traine en longueurs +++.
J’avoue que si j’avais pu supprimer les scènes qui ont été à mes yeux ”dispensables”, la série aurait pu être pliée en 3 heures. Je ne pense pas que la compréhension de l’histoire en aurait été fortement pénalisée.
Même la fin, tirée par les cheveux, est plus extravagante qu’autre chose...
Certains ont même écrit que l’histoire aurait pu tenir sur un film plutôt que sur 10 épisodes de une heure chacun (et d’ailleurs c’est le cas de beaucoup d’adaptations de romans de Stephen King).
De plus, une fois de plus, pour vendre le produit il était porté ”porté par un excellent casting, la série devrait ravir les férus de frissons”...
Pour le casting, oui, les comédiens offrent un jeu honorable mais pour ce qui est de ravir les férus de frissons, je pense que certains risquent d’être cruellement déçus.
Je vais écrire comme certains : c’est un joli gaspillage pour une intrigue qui démarrait très bien.
Hélas, à partir du 4è épisode, tout commence à se gater et tout traine en longueurs +++.
J’avoue que si j’avais pu supprimer les scènes qui ont été à mes yeux ”dispensables”, la série aurait pu être pliée en 3 heures. Je ne pense pas que la compréhension de l’histoire en aurait été fortement pénalisée.
Même la fin, tirée par les cheveux, est plus extravagante qu’autre chose...
Certains ont même écrit que l’histoire aurait pu tenir sur un film plutôt que sur 10 épisodes de une heure chacun (et d’ailleurs c’est le cas de beaucoup d’adaptations de romans de Stephen King).
De plus, une fois de plus, pour vendre le produit il était porté ”porté par un excellent casting, la série devrait ravir les férus de frissons”...
Pour le casting, oui, les comédiens offrent un jeu honorable mais pour ce qui est de ravir les férus de frissons, je pense que certains risquent d’être cruellement déçus.
Je vais écrire comme certains : c’est un joli gaspillage pour une intrigue qui démarrait très bien.
Un série qui commence très fort et promet. Hélas, le surnaturel s'invite à la fête créant ainsi de la confusion et décrédibilise l'intrigue. Ajoutons à cela qu'on a pas de "réponse" sur le fond de l'intrigue... Ce qui sauve ce programme reste le casting haut de gamme, le fait que les personnages soient très bien écrits et interprété.
Comme d'habitude les séries HBO sont de qualités et a chaque fois plus de 50 minutes par épisode,le début est très intéressant mais au fur et à mesure que l'intrigue avance on se rend compte que c'est une chasse aux sorcières rien de vraiment palpitant.
Le casting est de qualité et bien fournie mais ça s'arrête là.
Le casting est de qualité et bien fournie mais ça s'arrête là.