AlloCiné
Mon compte
Critiques spectateurs
Critiques presse
Voir les critiques spectateurs de
Toutes les saisons
- Toutes les saisons
- Uniquement la saison 0
- Uniquement la saison 1
- Uniquement la saison 2
Note moyenne
4,3
1485 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Invincible ?
5
19 critiques
4
29 critiques
3
10 critiques
2
3 critiques
1
5 critiques
0
2 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
AlexLaloix
Presque deux ans après la très bonne première saison, la série animée de super-héros "Invincible" est de retour sur Prime Video. Après la révélation choc d'Omni-Man en fin de saison 1, ces nouveaux épisodes nous aventure au cœur de nouvelles sous-intrigues toujours autant passionnantes, bien que parfois dispersées. Entre actions, rebondissements et révélations surprenantes, les enjeux s'intensifient et les personnages évoluent dans cette saison qui continue de nous passionner. La série démontre une fois de plus son talent pour mêler action palpitante et exploration introspective de ses héros, faisant de chaque épisode une véritable aventure. Dans l’ensemble, c’est une saison 2 très réussie et présage une suite ambitieuse qui ne manquera pas de rebondissements.
-
16/20
Critique sur Invincible (saison 2)
Vue du 05.11.2023 au 06.04.2024 sur Prime Video
-
16/20
Critique sur Invincible (saison 2)
Vue du 05.11.2023 au 06.04.2024 sur Prime Video
Une très bonne série d'animation de Robert Kirkman avec des graphismes impressionnants et une bonne histoire de super-héros.
Ce retour d'un dessin animé américain lorgnant plus vers un public adulte est un vrai pied de nez à tous ces mangas d'une niaiserie confondante et dont au final qu'une poignée vaut le coup.
Vinz1
Cette saison n’est constituée que d’un unique épisode pour faire patienter les fans en attendant la saison 2 ! Elle est entièrement consacrée au personnage Atom Eve, protagoniste emblématique et amie chère du super-héros Invincible aka Mark Grayson. Si on en apprend plus sur son enfance et l’étendue de ses pouvoirs, on regrettera toutefois que ce ne soit qu’un one shot !
Dik ap Prale
Trash et cynique. On exhibe tout de suite nos références diverses et variées, de BrightBurn, Deadpool, Hancock, Kick-Ass... à The Boys qui vient évidement derrière, étant en plus créé par la même plateforme; Mais Invincible est bien, cette fois, l'adaptation animée de son comics, réservé aux plus grands pour ses combats assez sanglants, et non pas pour tout autre chose. Le Pitch: un service spécial, chargé de protéger la planète, rassemble un tas de super-gentils au sein d'une même équipe pour combattre des super-vilains et empêcher les menaces extraterrestres; Un dérapage au sein de l'équipe de super va malheureusement tout remettre en cause. Une intrigue qui se met en place dès la fin du premier épisode et qui nous happe, suffisamment en tous cas pour aller au bout des 8 épisodes qui constituent la première saison. Le quotidien de cet ado qui découvre ses pouvoirs, et qui ne change jamais de vêtements au cours de la saison, peut lasser mais bien heureusement tout ne gravite pas autour de lui, bien que c'est ce qui en ressort au bout du récit et ce, dû au fait d'un mauvais équilibrage ado/héros, dans des épisodes... parfois longuets.
Dik ap Prale
Trash et cynique. On exhibe tout de suite nos références diverses et variées, de BrightBurn, Deadpool, Hancock, Kick-Ass... à The Boys qui vient évidement derrière, étant en plus créé par la même plateforme; Mais Invincible est bien, cette fois, l'adaptation animée de son comics, réservé aux plus grands pour ses combats assez sanglants, et non pas pour tout autre chose. Le Pitch: un service spécial, chargé de protéger la planète, rassemble un tas de super-gentils au sein d'une même équipe pour combattre des super-vilains et empêcher les menaces extraterrestres; Un dérapage au sein de l'équipe de super va malheureusement tout remettre en cause. Une intrigue qui se met en place dès la fin du premier épisode et qui nous happe, suffisamment en tous cas pour aller au bout des 8 épisodes qui constituent la première saison. Le quotidien de cet ado qui découvre ses pouvoirs, et qui ne change jamais de vêtements au cours de la saison, peut lasser mais bien heureusement tout ne gravite pas autour de lui, bien que c'est ce qui en ressort au bout du récit et ce, dû au fait d'un mauvais équilibrage ado/héros, dans des épisodes... parfois longuets.
Prometteur. Difficile de discerner dans le premier épisode l'enjeu de cette série et pourtant tout se met en place tranquillement et la fin de l'épisode finit de créer la trame. Malgré les thématiques orientées ado et son aspect visuel, ce n'est vraiment pas une série devant laquelle mettre ses enfants, c'est violent, gore, ça n'hésite pas à aborder de plein fouet et avec cynisme les dommages collatéraux des actions de ces super-héros. Bref, un début qui sans être vraiment surprenant a suffisamment d'originalité pour éveiller notre intérêt.
Après avoir été convaincu par les commentaires je me suis lancé dans ce dessin animé.
Que dire, après m'être royalement ennuyé sur L épisode 1 j ai commencé le deuxième, mais impossible de continuer, c est bien trop inintéressant, aucune originalité avec une réalisation bancale.
Scénario creux de chez creux. Les scènes gores sont d une gratuité sans nom, sont la uniquement pour faire monter la limite d âge... Pour les fans de The Boys passez votre chemin.
Que dire, après m'être royalement ennuyé sur L épisode 1 j ai commencé le deuxième, mais impossible de continuer, c est bien trop inintéressant, aucune originalité avec une réalisation bancale.
Scénario creux de chez creux. Les scènes gores sont d une gratuité sans nom, sont la uniquement pour faire monter la limite d âge... Pour les fans de The Boys passez votre chemin.
Vinz1
Mark Grayson n’en finit plus de grandir dans cette seconde saison, mais il voit bien que cela est bien difficile de combiner vie de super-héros, d’étudiant à l’université et de petit ami ! Il en est donc à l’heure des choix drastiques, alors qu’on entend à nouveau parler des Viltrumites et de leurs intentions loin d’être louables ! Toujours aussi intéressante à regarder, avec ses protagonistes bien fouillés et certaines de ses scènes d’action d’une violence inouïe, la série « Invincible » nous montre un jeune super-héros en plein doute qui va devoir réagir rapidement en prenant des décisions qu’on espère être les bonnes ! Réponse dans la saison 3 attendue impatiemment !
Invincible : Mon Voyage À Travers l'Âme Humaine
Dès le début, "Invincible" m'a capturé avec son audace narrative et sa profondeur thématique, s'aventurant bien au-delà des conventions du genre super-héroïque pour explorer des questions d'identité, de pouvoir et de responsabilité avec une intensité et une complexité psychologique rarement vues dans l'animation pour adultes. La série, basée sur le comics de Robert Kirkman, se distingue par un scénario qui m'entrelace adroitement dans les luttes intérieures de ses personnages avec des enjeux cosmiques, le tout enveloppé dans une animation vibrante et expressive qui amplifie chaque émotion et chaque conflit.
La musique, composée avec une sensibilité aiguisée pour le drame et l'action, enrichit chaque scène, ajoutant une couche supplémentaire d'immersion à cette saga familiale complexe. Les compositions musicales servent non seulement de toile de fond aux batailles épiques mais soulignent aussi les moments intimes de réflexion et de transformation des personnages, créant une atmosphère à la fois grandiose et profondément personnelle.
Au cœur de "Invincible" se trouve Mark Grayson, interprété avec une vulnérabilité et une force convaincantes par Steven Yeun. Sa performance, ainsi que celles de Sandra Oh et J.K. Simmons, apportent une humanité palpable à leurs personnages, rendant leurs dilemmes et leurs choix résonnants sur un plan émotionnel. La complexité de leurs relations expose les nuances de la paternité, de l'héritage et du choix moral, offrant un terrain fertile pour mes analyses psychologiques et sociologiques.
Psychologiquement, "Invincible" me plonge dans la psyché de Mark, confronté à l'héritage oppressant de son père, Omni-Man, et aux attentes conflictuelles de devenir un héros dans un monde où le bien et le mal ne sont pas clairement définis. Cette lutte intérieure est mise en parallèle avec les thèmes sociologiques de la justice, du pouvoir et de leur impact sur la société. L'évolution de Mark, de l'innocence à une conscience complexe de la réalité du monde, reflète une quête d'identité profondément humaine, offrant une critique psychanalytique de la notion d'héroïsme et de sacrifice.
Philosophiquement, la série questionne l'éthique derrière le pouvoir et la responsabilité, m'invitant à une réflexion sur la nature de la justice et le coût de la sécurité. Les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les personnages servent de miroir aux débats contemporains sur l'autorité, l'interventionnisme et la liberté individuelle, établissant un dialogue avec des concepts philosophiques tels que le bien commun versus le bien individuel.
"Invincible" transcende les attentes, m'offrant une œuvre à la fois divertissante et profondément réfléchie. Son scénario, enrichi de couches multiples d'interprétation, accompagné d'une réalisation visuelle et musicale magistrale, fait de cette série une pierre angulaire du genre. Toutefois, son approche sans concession de la violence et de la complexité morale peut ne pas convenir à tous, soulignant la nécessité d'une maturité certaine pour appréhender pleinement sa richesse thématique.
En conclusion, "Invincible" est une série d'animation qui défie les conventions, offrant une exploration sans précédent de ce que signifie être véritablement héroïque. Elle pose des questions difficiles, refuse les réponses faciles et, ce faisant, s'établit comme un incontournable du genre, m'invitant à une introspection sur mes propres valeurs et sur le monde que je souhaite façonner.
Dès le début, "Invincible" m'a capturé avec son audace narrative et sa profondeur thématique, s'aventurant bien au-delà des conventions du genre super-héroïque pour explorer des questions d'identité, de pouvoir et de responsabilité avec une intensité et une complexité psychologique rarement vues dans l'animation pour adultes. La série, basée sur le comics de Robert Kirkman, se distingue par un scénario qui m'entrelace adroitement dans les luttes intérieures de ses personnages avec des enjeux cosmiques, le tout enveloppé dans une animation vibrante et expressive qui amplifie chaque émotion et chaque conflit.
La musique, composée avec une sensibilité aiguisée pour le drame et l'action, enrichit chaque scène, ajoutant une couche supplémentaire d'immersion à cette saga familiale complexe. Les compositions musicales servent non seulement de toile de fond aux batailles épiques mais soulignent aussi les moments intimes de réflexion et de transformation des personnages, créant une atmosphère à la fois grandiose et profondément personnelle.
Au cœur de "Invincible" se trouve Mark Grayson, interprété avec une vulnérabilité et une force convaincantes par Steven Yeun. Sa performance, ainsi que celles de Sandra Oh et J.K. Simmons, apportent une humanité palpable à leurs personnages, rendant leurs dilemmes et leurs choix résonnants sur un plan émotionnel. La complexité de leurs relations expose les nuances de la paternité, de l'héritage et du choix moral, offrant un terrain fertile pour mes analyses psychologiques et sociologiques.
Psychologiquement, "Invincible" me plonge dans la psyché de Mark, confronté à l'héritage oppressant de son père, Omni-Man, et aux attentes conflictuelles de devenir un héros dans un monde où le bien et le mal ne sont pas clairement définis. Cette lutte intérieure est mise en parallèle avec les thèmes sociologiques de la justice, du pouvoir et de leur impact sur la société. L'évolution de Mark, de l'innocence à une conscience complexe de la réalité du monde, reflète une quête d'identité profondément humaine, offrant une critique psychanalytique de la notion d'héroïsme et de sacrifice.
Philosophiquement, la série questionne l'éthique derrière le pouvoir et la responsabilité, m'invitant à une réflexion sur la nature de la justice et le coût de la sécurité. Les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les personnages servent de miroir aux débats contemporains sur l'autorité, l'interventionnisme et la liberté individuelle, établissant un dialogue avec des concepts philosophiques tels que le bien commun versus le bien individuel.
"Invincible" transcende les attentes, m'offrant une œuvre à la fois divertissante et profondément réfléchie. Son scénario, enrichi de couches multiples d'interprétation, accompagné d'une réalisation visuelle et musicale magistrale, fait de cette série une pierre angulaire du genre. Toutefois, son approche sans concession de la violence et de la complexité morale peut ne pas convenir à tous, soulignant la nécessité d'une maturité certaine pour appréhender pleinement sa richesse thématique.
En conclusion, "Invincible" est une série d'animation qui défie les conventions, offrant une exploration sans précédent de ce que signifie être véritablement héroïque. Elle pose des questions difficiles, refuse les réponses faciles et, ce faisant, s'établit comme un incontournable du genre, m'invitant à une introspection sur mes propres valeurs et sur le monde que je souhaite façonner.
La série est bien animée et n’est pas inintéressante. Voir la vie somme toute banale des héros, le télescopage des problèmes d’un ado avec les exigences d’un super-héros, et surtout le quotidien de leur entourage. La fracture identitaire du héros (mi-humain mi-viltrumite) est sympa bien que trop superficiellement traitée. Un brin d’humour ado sans être lourdaud est souvent bienvenu.
Cependant la série cumule 3 écueils qui la plombent:
1/ Mark, le héros se fait rosser h24. Il perd littéralement tous ses combats. Ce héros est une victime qui se fait démonter à chaque épisode. On finit par se demander si l’auteur ne voue pas une détestation secrète aux super-héros qui le pousse à malmener son héros dans une joie sadique malsaine.
2/ la trame principale avance bien trop lentement. Impossible de savoir où l’histoire nous mène. Impossible de savoir ce que ça nous raconte.
3/ l’articulation d’enjeux principaux et marginaux rend illisible la trame principale, et vient donner une impression de lenteur accrue.
Et vu que la saison 2 introduit les mondes parallèles, l’impression de fouillis ne nous quitte plus.
De ce point de vue, le Comics s’en sort mieux. Notamment au niveau des enjeux, où la menace viltrumite n’est jamais bien loin. La série, elle, se perd dans des histoires marginales sans intérêt qui ne servent même pas à donner de l’épaisseur au héros. On a clairement l’impression de voir une narration combler du temps. On se croirait à l’époque où l’animé DBZ trainait à longueur d’épisode en attendant que le manga avance.
Reste une série qu’on suit avec plaisir, mais qu’on oubliera (et qu’on n’attend même pas avec impatience), c’est-à-dire un bien de consommation rapide et jetable, sans être désagréable.
Cependant la série cumule 3 écueils qui la plombent:
1/ Mark, le héros se fait rosser h24. Il perd littéralement tous ses combats. Ce héros est une victime qui se fait démonter à chaque épisode. On finit par se demander si l’auteur ne voue pas une détestation secrète aux super-héros qui le pousse à malmener son héros dans une joie sadique malsaine.
2/ la trame principale avance bien trop lentement. Impossible de savoir où l’histoire nous mène. Impossible de savoir ce que ça nous raconte.
3/ l’articulation d’enjeux principaux et marginaux rend illisible la trame principale, et vient donner une impression de lenteur accrue.
Et vu que la saison 2 introduit les mondes parallèles, l’impression de fouillis ne nous quitte plus.
De ce point de vue, le Comics s’en sort mieux. Notamment au niveau des enjeux, où la menace viltrumite n’est jamais bien loin. La série, elle, se perd dans des histoires marginales sans intérêt qui ne servent même pas à donner de l’épaisseur au héros. On a clairement l’impression de voir une narration combler du temps. On se croirait à l’époque où l’animé DBZ trainait à longueur d’épisode en attendant que le manga avance.
Reste une série qu’on suit avec plaisir, mais qu’on oubliera (et qu’on n’attend même pas avec impatience), c’est-à-dire un bien de consommation rapide et jetable, sans être désagréable.
Avec Boys et Génération V on est gâté. La cerise sur le gâteau avec bientôt 2 autres saisons : INVINCIBLE, whaou qu’elle claque entre nous ils ont eu raison de la crée en version animée car certaines personnes auraient tournées de l’œil. Un véritable kiffe, du lourd , les autres supers héros de DC ou MARVEL sont ridicules. Messieurs de chez Disney revoyaient vos priorités merci par avance. Sur ce bon entendeur.
La saison 1 D' Invincible est une bonne saison qui vient nous introduire cet univers de super héros créé par le créateur de The Walking Dead. Les combats sont sanglants et brutaux. La série arrive à alterner entre ses combats, son humour et ses dialogues avec finesse. J'ai trouvé l'histoire très intéressante et l'intrigue très pertinente et me donnait envie d'en savoir plus. Le final est juste super. Je vous recommande cette série si vous avez du temps ou que le thème des super héros vous plaît.
Tout comme la première saison. Cette suite est grandiose avec un scénario constructif et mis en avant. Certaines scènes sont ludiques, mais d'autres demandent plus d'attention dû à ses très nombreux rebondissements notamment avec ses changements d'univers. C'est un vrai régal pour les adultes, car cette série n'est pas destinée à un jeune public.
Très bonne série de dessin animé mais détruit par l'idéologie et, le racisme anti blanc et anti normal.